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  • Grand maître Demandé le 27 juillet 2025 dans Question de langue

    Il n’y a pas  de raison de faire « sauter » la seconde préposition, en particulier à l’écrit. On entend en effet parfois la formule sans la répétition, mais c’est pure paresse verbale. Donc : « Il s’agit d’autre chose que d’un fantasme. »

    Cette réponse a été acceptée par karine Aubry. le 30 juillet 2025 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 27 juillet 2025 dans Question de langue

    Le passage du style direct au style indirect s’accompagne normalement d’une reformulation de certains éléments temporels et spatiaux. C’est classique : Il viendra demain devient Il dit qu’il viendra le lendemain,  De même, je viendrai lundi prochain devient je dis que je viendrai le lundi suivant.
    En discours indirect, je les dégainerai à la prochaine occasion devrait donc se transformer en Je (me) dis que je les dégainerai à l’occasion suivante.  Mais ce n’est pas le cas dans votre exemple puisque, même déictique (le mot fait débat), votre phrase reste en discours direct. Vous employez donc la prochaine.
    NB Pour distinguer des segments longs conçus comme « déictiques », le plus simple reste de les isoler entre parenthèses. Sinon ils sont invisibles dans le texte courant.  On pense par exemple aux réflexions in petto du narrateur ou aux indications scéniques dans une pièce de théâtre, les didascalies.

    Cette réponse a été acceptée par karine Aubry. le 30 juillet 2025 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 27 juillet 2025 dans Question de langue

    1. Le s locutions comparatives d’un(e) autre que d’aucun(e) autre que et de nul(le) autre que demandent la répétition de la préposition si elle est utilisée pour le premier terme : il ne s’agit de nul autre que de votre terrible ennemi ! (Exemples divers)
    2. On s’empiffre de quelque chose. Il faut donc reprendre le nom par un pronom avec la préposition : ...gorille qui s’empresse de s’en empiffrer avec joie. 
    3. Construit sans la préposition en, le gérondif indique une simple simultanéité mais c’est une construction peu courante. La préposition permet de marquer le lien (ici de causalité) avec la proposition  principale. Sinon il faut la remplacer : …vous videz votre shot d’un trait, mettant ainsi au défi votre adversaire de faire de même.
    4.  C’est un peu alambiqué mais correct. Variante avec l’indicatif  : Il semblerait  (semble) que vous deviez (devez) faire le plein de bananes avant de reprendre votre route. 

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  • Grand maître Demandé le 26 juillet 2025 dans Question de langue

    Si c’est du style direct et dans le genre familier, la négation ne changera rien, voire sera contre-productive s’il s’agit d’un personnage fictif.

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  • Grand maître Demandé le 25 juillet 2025 dans Général

    La formule est correcte et on la trouve dans la littérature, même si elle semble assez moderne  (voir des attestations ici).  Avec un singulier on emploiera  par (une fois par an) mais cela n’est pas d’usage avec un pluriel. Je ne vois donc pas d’autre solution simple.

    Cette réponse a été acceptée par Anne-christine COLIN JORE. le 9 août 2025 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 25 juillet 2025 dans Général

    La préconisation des traits d’union a été formalisée pour faciliter la lecture. Ils permettent d’identifier immédiatement l’ensemble d’un élément numérique dans un texte qui en comporte peu (sinon on utilise des chiffres).  C’est une des raisons d’être d’être de la typographie qui s’adapte au contexte et vise à éviter les ambigüités, surtout en lecture rapide.  Chacun aura son avis mais personnellement, comme correcteur, je la trouve pertinente, que le nombre comporte ou non un et.

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  • Grand maître Demandé le 24 juillet 2025 dans Général

    Comme souvent (trop souvent), « les grammairiens » ne se montrent pas capables de maintenir un raisonnement jusqu’au bout et finissent par semer la confusion chez tout le monde.
    Si l’on impose de construire le complément de se souvenir avec la préposition de, il faut aussi la préconiser avec un verbe à l’infinitif.  Je n’arriverai jamais à comprendre ceux qui changent en permanence de position pour des raisons futiles. Tolérer une incorrection relève du comportement social, expliquer en quoi cela reste incohérent relève de la logique.

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  • Grand maître Demandé le 24 juillet 2025 dans Question de langue

    À lire votre description détaillée, je proposerais fichiers transitoires ou fichiers éphémères. Ils ont en effet pour caractéristique principale de n’être que de passage avant un classement définitif. 
    Par nature, un budget compile des recettes et des dépenses. S’il n’y a que des dépenses, appelez-le Dépenses ou Sorties (qui fait le pendant à un éventuel Recettes ou Entrées).

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  • Grand maître Demandé le 23 juillet 2025 dans Question de langue

    1. Oui, l’emploi de se convulser est correct.
    2. Aussi bien harde que horde ont des sens propres assez précis, le premier pour certaines bêtes sauvages, le second pour des humains, plutôt errants et désordonnés.
    Vous pouvez employer l’un comme l’autre de manière métaphorique pour des végétaux, le second (horde) étant sans doute connu d’un plus large public.

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  • Grand maître Demandé le 23 juillet 2025 dans Général

    La forme courante est « on a échangé des banalités ». La tournure pronominale est plus que familière, un peu « cour d’école »…  On n’échange pas quelque chose à quelqu’un mais avec quelqu’un…

    PS C’est une question de registre et d’usage, pas uniquement de grammaire comme semble l’oublier un autre participant. Par ailleurs son exemple est non pertinent puisque se partager n’est pas un verbe réciproque comme le serait s’échanger. Peut-être sera-t-il capable de répondre en propre à votre question sans perdre son temps à pinailler bêtement celles des autres comme il en a l’habitude sur ce site.

    Cette réponse a été acceptée par DAVID Sophie. le 25 juillet 2025 Vous avez gagné 15 points.

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