Le pronom me doit être ici vu comme un COI (ce qui a pris à moi). En passant à la troisième personne, cela apparaît plus clairement : on dit ce qui lui a pris (COI) (et non ce qui l’a pris (COD)), ce qui leur a pris (et non ce qui les a pris), etc. Donc : « Je ne sais pas ce qui m’a pris. »

Vos deux phrases sont correctement orthographiées. Les deux cas ont déjà été traités :
– ici pour se mettre d’accord (pronominal de sens réciproque, on accorde avec le pronom se qui est COD : elles ont mis elles-mêmes d’accord) ;
– là pour se mettre en tête (elles ne se sont pas mises elles-mêmes dans leur tête, elles ont mis qqch dans leur tête ; en l’absence de COD antéposé, le participe passé reste invariable).

En ouvrant la porte, elle s’est aperçue qu’il s’agissait du voisin.
Le verbe s’apercevoir, au sens de se rendre compte (et non pas apercevoir soi-même), est essentiellement pronominal. Ainsi, le participe passé s’accorde avec le sujet.

La virgule devant les conjonctions mais, donc et car est la règle en français, l’absence de virgule, l’exception. J’ai été formé par Décourt et Colignon, je me fie à l’ouvrage de référence Un point, c’est tout ! (de Colignon). Le Robert, qui est une source fiable en la matière, va dans le même sens, tout comme d’autres sources de qualité.
Cela ne répond pas à la question posée par Az, et je me pose d’ailleurs la même question chaque fois qu’une de ces conjonctions est suivie d’une incise. Si quelqu’un a une réponse, je suis preneur.

Les noms déposés de marques s’écrivent avec une majuscule initiale : une Citroën, un Kleenex, etc. Les noms de série de véhicules suivent la même règle : un Airbus, une fusée Ariane, un Mirage 2000, etc. Donc : un Boeing.
Seules quelques exceptions existent pour des mots entrés dans les dictionnaires et largement utilisés comme noms communs : un caddie, un bikini, du nylon, etc.

Rends-le-moi.
Dans cette situation, on met un trait d’union entre le verbe et les deux pronoms. Voir cet article.
Autres exemples : dites-le-nous, donne-le-moi, laisse-la-lui, etc.

Le verbe « défendre », dans le sens où vous souhaitez l’employer (plaider une cause), n’est pas un verbe introductif de parole, comme « dire », « déclarer », s’exclamer », etc. On ne peut donc pas l’employer ainsi dans ce contexte.
Vous pouvez dire :
– Marc m’a défendue (tout court) ;
– « elle était avec moi, on a fait le travail demandé », a défendu Marc (ou s’est défendu Marc) (« défendre » a ici le rôle de verbe introductif de parole) ;
– Marc m’a défendue : « Elle était avec moi, on a fait le travail demandé ». Ici le deux-points n’introduit pas particulièrement la parole, mais il introduit une explication, une illustration du propos. Un verbe serait néanmoins souhaitable pour introduire la citation, par exemple : Marc m’a défendue : « Elle était avec moi, on a fait le travail demandé », déclara-t-il.

Certaines personnes m’ont transmis leur savoir.

Avec l’auxiliaire avoir, on n’accorde jamais le participe passé avec le sujet. Ici, le COD « leur savoir » est après le verbe. « m' » est COI (elles ont transmis leur savoir à moi). Le participe passé reste donc invariable.

Le participe passé des verbes pronominaux se conjugue de la même façon qu’avec l’auxiliaire avoir. On accorde avec le COD si celui-ci est placé avant le verbe, sinon le PP reste invariable. Ici, le pronom se est COI : les générations ont succédé à elles-mêmes. Donc : sept générations s’y sont succédé.

La question à se poser est : s’il y en avait, y en aurait-il un seul ou plusieurs ? Cela dépend donc du contexte.
Un duel sera sans vainqueur ni vaincu (un seul de chaque), mais tous les autres cas de figure sont possible :  sans vainqueur ni vaincus (s’il y en avait, il y aurait un seul gagnant et plusieurs perdants) ; sans vainqueurs ni vaincus (plusieurs de chaque) ; sans vainqueurs ni vaincu (plusieurs vainqueurs et un seul vaincu).
Voir par exemple cet article.