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Elle s’est attachée à présenter un diaporama.
L’auxiliaire est être : l’accord se fait avec le sujet.Seuls les participes passés des verbes pronominaux qui ont un COD autre que le deuxième pronom, suivent, bien qu’accompagnés de l’auxiliaire « être, la règle du participe passé construit avec « avoir ». Dont un exemple : elle s’est acheté une robe/la robe qu’elle s’est achetée lui va bien
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Autant qu’il est possible*, il ne faut choisir, pour une même phrase, voire un même paragraphe, entre « nous » et « on ».
1 Tant que nous cherchons à être les bourreaux des problèmes, nous en sommes les victimes.
2 Tant qu’on cherche à être les bourreaux des problèmes, on en est la victime.Les deux phrases n’ont pas exactement le même sens. La 1 fait référence à des personnes physiques, concrètes, un ensemble de personnes dont l’énonciateur fait partie, alors que la 2 est généralisante ; le « on » est ici pronom indéfini
*on sursauta, on se leva, on avait entendu des pas derrière …. ? Soi ? Ce n’est pas possible, car le pronom « soi » a une valeur généralisante qui n’est pas voulue ici. Nous ? c’est mélanger les deux pronoms « nous » et « on ». Il vaut mieux réécrire toute la phrase (voire un plus long énoncé) en choisissant le pronom « nous »
Remarque : dans cette dernière phrase, le « on » remplace nettement un « nous », c’est à dire un ensemble de personnes dont l’énonciateur fait partie
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T’avais-je parlé de cette personne ?
C’est correct.
= avais-je parlé de cette personne à toi ?
Vous avais-je parlé… lui avais-je parlé .. leur avais-je parléA la forme affirmative : je t’avais parlé de cette personne. Le pronom « te » est ici COI -= à toi quand il est placé après le verbe)
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des cheveux rouge( flamboyant.
Puisque « rouge » a un adjectif qualificatif (flamboyant) il s’agit forcément d’un nom. Un adjectif n’a jamais un autre adjectif comme épithète.
Donc, rouge est un nom apposé à un autre nom (cheveux) et un nom ne s’accorde jamais avec un autre nom.Il arrive seulement qu’un nom apposé à un autre nom ait un sens pluriel. Il ne s’agit pas d’un accord. Par exemple : des films catastrophe (ce ne sont pas les films qui sont des catastrophes mais ils traitent d’une catastrophe) mais des nœuds papillons : ils sont comme des papillons.
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la manière dont est suscité la peur = la manière dont la peur est suscitée
Règle du participe passé
Auxiliaire être –> accord avec le sujet – le sujet (qui est inversé est « peur » (féminin singulier).Cette réponse a été acceptée par Nathab. le 9 octobre 2024 Vous avez gagné 15 points.
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Ma mère et moi, nous nous promenions le long du lac
Il y a bien ajout d’un pronom :
En changeant de personne cela apparaît nettement : Pierre, il se promène le long du lacC’est pourquoi il faut une virgule après le premier sujet.
Ce redoublement de pronom est une formule d’insistance ou bien il marque la sélection thématique parfois soulignée par « quant à : Quant à) ma mère et moi, nous nous promenions…
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1 Si vérité éternelle il y avait, encore faudrait-il qu’elle fût écrite en langue universelle
2 Si vérité éternelle il y a, encore faudrait-il qu’elle soit écrite en langue universellePour respecter la concordance des temps : si vérité éternelle il y avait, encore aurait-il fallu qu’elle fût écrite en langue universelle : La phrase étant au passé, c’est le conditionnel passé qui est requis
Si vérité éternelle il y avait/il y a,…encore n’entre pas dans le raisonnement. Ce n’est d’ailleurs pas une protase puisque la relation de cette subordonnée avec la principale (qui n’est donc pas une apodose) n’est pas la conséquence mais la concession
La subordonnée à prendre en compte ici est qu’elle fût/qu’elle soit écrite en langue universelle
la principale est : aurait-il fallu qu’elle fût écrite en langue universelle/ faudrait-il qu’elle soit écrite
Le temps de la subordonnée s’accorde avec celui de la principale : Conditionnel passe pour la principale –> subjonctif imparfait pour la subordonnée
conditionnel présent –> subjonctif présentNoter qu’on peut choisir d’autres temps. Le conditionnel choisi ici insiste sur la concession.
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Le singulier est générique : il s’agit de l’horreur en général.
Donc : des scène d’horreur.
A moins qu’on veuille parler de scènes qui présentent des horreurs spécifiques,- 603 vues
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J’avais un crayon dans ma voiture : la phrase est au passé.
L’imparfait est un temps du passé. Son aspect est dit sécant c’est à dire qu’on se place à l’intérieur de l’action, de son déroulement. C’est pourquoi il sert à faire des descriptions, des notations descriptives, à donner des informations. Mais c’est un temps du passé. Par conséquent, si vous sortez de votre voiture, par exemple, et que vous dites : j’avais un crayon dans ma voiture, c’est qu’il n’y est plus.
S’il y est vous direz : j’ai un crayon dans ma voiture : vous utiliserez le présent et c’est le contexte qui permettra de comprendre si vous l’avez ou non depuis un certain temps, ou s’il y est mis au moment précis où vous parlez. –> j’ai toujours/depuis longtemps un crayon dans ma voiture —– Depuis 2021 j’ai un crayon dans ma voiture
En effet :
Le système du passé a deux temps de base : le passé simple qui présente l’action dans sa globalité et qu’on utilise par exemple pour dire une succession de faits et l’imparfait (voir sa valeur plus haut).
Mais le système du présent lui, n’a que le présent comme temps de base;on l’utilise, que l’aspect soit sécant ou global.Exemples :
Système passé Dans ma voiture j’avais un crayon -Un crayon me tomba du ciel > choix entre deux temps
Système présent Dans ma voiture j’ai un crayon – Un crayon me tombe du ciel > un seul tempsRemarque : le passé simple est remplacé à l’oral par le passé composé (à l’écrit aussi parfois, le passé simple est le temps du récit)
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En ce cas l’accord se fait au pluriel comme avec « nous » :
Rien n’est plus bluffant de vérité que ce dont on était déjà convaincuLe singulier est de mise lorsque « on » n’a pas la valeur de nous mais une valeur d’indéfini :
On est convaincu quand son interlocuteur a trouvé les bons arguments.
On n’est jamais mieux servi que par soi-même.- 2509 vues
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