La phrase est correcte du début à la fin.
L’éducation […] aide à identifier et à déjouer les pièges […], à se prémunir des dérives […] et à s’affranchir des carcans idéologiques auxquels les élites du système politico-médiatique tendent à nous soumettre.
——
A.L’éducation […] aide[…] à s’affranchir des carcans […] auxquels les élites du système politico-médiatique tendent à nous soumettre. 
= résultat de la subordination des deux propositions suivantes :
– l’éducation […] aide[…] à s’affranchir des carcans
– les élites du système politico-médiatique tendent à nous soumettre à ces carcans.

Dans la phrase A, on a remplacé le deuxième « carcan » par le pronom relatif « auxquels », évitant ainsi la répétition de ce nom et reliant(subordonnant) la deuxième proposition à la première.

Ils m’avaient pourtant prévenu(e).
Pourquoi l’accord se fait ?
Le participe passé est accompagné de l’auxiliaire « avoir ». S’il y a COD placé avant, il y a accord. C’est bien les cas. m’ = me est un pronom COD.

Eh non. Quand un pronominal a un COD, et c’est le cas ici, on applique la règle comme avec l’auxiliaire « avoir » :
—>

les limites que je me suis imposées

Le COD est placé avant : « que » pronom reprend « limites » qui est féminin pluriel. Il est donc aussi féminin pluriel.

C’est le rouge qui est vermeil. « Rouge »est un nom accompagné de l’adjectif « vermeil ».
—> Des joues (d’un) rouge vermeil.

Il n’y a pas de raison de mettre un trait-d’union entre le verbe et l’adverbe ((de rappel) qu’est donc.
–> vous avouez alors que vous mentez : pas de trait d’union non plus.

La formulation appartient au langage soutenu. Pour « si ce n’est que » : une restriction concernant ce qui précède.
De là une humanité qui, manquant de tout point
de repère moral, ne vit plus que dans l’ordre passionnel et dans la
contradiction qui le conditionne ; chose peu nouvelle, n’était que, grâce au prêche de nos nouveaux clercs, elle en prend conscience ....
---> sauf à considére que[...] elle en prend conscience.

« En dilettante » n’est pas une expression figée qu’on utiliserait comme un adverbe.
« Dilettante est un nom emprunté à l’italien dont le pluriel en cette langue est « dilettanti ». Cependant, il est depuis longtemps dans notre langue et se met au pluriel (« S »)

[…]ses supérieures attendaient en dilettantes qu’Amazon les écrase =  ses supérieures attendaient comme des dilettantes qu’Amazon les écrase.

En grammaire, une préposition (du mot latin praepositio < prae- « avant, devant » + positio « position ») est un mot-outil invariable qui a le rôle, dans un rapport syntaxique de subordination, de relier un constituant de la phrase à un autre constituant, le second étant le complément ou l’attribut du premier.
Wikipédia

Or, un adverbe ne peut jamais être attribut, et quand il est complément d’un verbe, il n’a pas besoin d’être introduit auprès de lui par une préposition :
Il parle beaucoup – il se lève tôt – elle se déplace silencieussement

—> il est donc incorrect d’employer une préposition devant un adverbe.*

On corrige en substituant à l’adverbe un substantif :

Je ne suis pas sûre de l’endroit où elle va.
Je n’ai aucune idée de son état de santé.

*beaucoup de locutions adverbiales sont composées avec une préposition : exemple : à droite – en bas – sur place – de travers

Elle m’a semblé heureuse.
Lorsque l’auxiliaire est avoir, il y a accord du participe passé avec le COD s’il est placé avant.
Ici, le participe passé est construit avec l’auxiliaire « avoir » qui n’a pas de COD.

« Venir » est intransitif également mais se conjugue avec l’auxiliaire « être ». L’accord de son participe passé se fait avec son sujet.