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  • Débutant Demandé le 11 février 2021 dans Question de langue

    Savoir (= « c’est-à-dire ») est la forme abrégée de à savoir, donc sans le à initial.

    Il y a les deux différences suivantes : savoir est plus familier et on l’utilise rarement de nos jours.

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  • Débutant Demandé le 11 février 2021 dans Question de langue

    Pour l’Académie française, c’est clair  :  Il faut le conditionnel et non le subjonctif avec dans le cas où. 

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  • Débutant Demandé le 11 février 2021 dans Général

    Oui, Shazad.

    Je vous prie de bien vouloir envoyer/renvoyer à Mme X cette* convention dûment signée. 

    * … la convention ci-jointe, si elle est adressée par la voie postale.

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  • Débutant Demandé le 11 février 2021 dans Général

    Parce que, dans la théorie des ensembles, « union » et « réunion » (d’ensembles) sont synonymes. Or,  l’utilisation d’un synonyme présente des avantages : éviter la répétition du même mot, notamment.

    N.B. On utilise le plus souvent « union »* (d’ensembles) ; mais  « réunion »  (d’ensembles) est tout à fait sémantiquement correct,  ainsi qu’il ressort de cet extrait du Dictionnaire de l’Académie française :

    Dict. Ac. fr., s.v. REUNION :
    Spécialement. MATHS. Réunion de deux ensembles, qui comprend tous les éléments de ces ensembles. La réunion des ensembles A et B s’écrit A  B, qui se lit « A union B ».

    * Site ALLOPROF   : « L’union (parfois nommée réunion) d’ensembles représente l’ensemble qui contient tous les éléments appartenant à chaque ensemble ou aux deux à la fois. »

    Cette réponse a été acceptée par Dimitris. le 25 mai 2021 Vous avez gagné 15 points.

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  • Débutant Demandé le 11 février 2021 dans Question de langue

    – La note de bas de page 17 à laquelle vous vous référez concerne uniquement le cas où « plus » suit une conjonction de coordination, comme « que », ce qui n’est pas la situation de vos phrases soumises.

    – Règle générale : Quand « c’est » est à l’intérieur de la phrase, on place une virgule devant lui.

    Certaines phrases du Bon usage actuel illustrent cette règle :
    « L’amour, ce n’est pas se regarder l’un l’autre… — Ce geste, c’était lui dire  : « Revenez-moi. […] . » (Montherl.Pitié pour les femmes, L. P., p. 41.) — Si vous prenez cette décision, c’est vous condamner à l’échec. a)— L’infin. est précédé d’un adverbe : L’instruction, c’est beau […] . Mais, comme nous, […] c’est vraiment trop cher payer (DuhamelNotaire du Havrexv ). »

    Selon certains, on peut faire l’économie de la virgule si ce qui  suit c’est… est bref :
    « Ça c’est parler vous êtes un frère (Trioletcit. Trésor, art. parler , I, A, 2, a. » Tel est le cas de votre phrase J’imagine que leur échappatoire, c’est ça. 

    C’est une possibilité mais donc pas une obligation : Vouloir, c’est pouvoir (maxime courante).

     

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  • Débutant Demandé le 11 février 2021 dans Accords

    Bonjour,

    Voyez SVP cet article de la BDL.

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  • La clarté, la simplicité  et la concision  figurent parmi les qualités essentielles du langage. 

    Si l’on dit « deux demi-douzaines », cela correspond à « 12 ». Certaines personnes peuvent-elles penser qu’il s’agit de 66 (deux 6) ?
    Raisonnablement : non. 

    Si l’on veut dire « environ 180 X », peut-on dire « une douzaine de quinzaines de X » ?

    Si l’on tient à s’exprimer en quinzaines et que l’interlocuteur l’accepte, pourquoi pas ?  
    Naguère, la quinzaine était une sorte d’unité de base en ce qui concerne le paiement du salaire. Je suis payé chaque quinzaine. Jai touché un rappel de deux quinzaines. (J’ai entendu mon père dire cela. Il attendait impatiemment la quinzaine, qui était le jour de la paie.)
     

    Peut-on parler de « deux demi-douzaines de quinzaines de jours » pour parler de près de 6 semaines (180 jours environ) ? »
    Deux demi-douzaine est une douzaine. Il conviendrait  donc de dire un peu plus simplement une douzaine de quinzaines de jours ; mais je me demande bien qui  peut parler ainsi  de nos jours… 

    Cette réponse a été acceptée par francais. le 22 février 2021 Vous avez gagné 15 points.

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  • Débutant Demandé le 10 février 2021 dans Question de langue

    L’orateur joint le regard à la parole pour essayer d’être plus persuasif/pour tenter de séduire l’auditoire.

    L’orateur joue des différentes facettes/expressions  de son regard pour rallier son auditoire à ses opinions.

    L’orateur utilise l’expressivité de son regard pour donner plus de poids à son discours.

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  • Débutant Demandé le 10 février 2021 dans Général

    Bonsoir Minouche,
    Oui, on peut parler de fautes de grammaire, de syntaxe, d’orthographe, de vocabulaire, etc.

    Mais on ne dira pas « lesquelles de fautes ». Dans une phrase interrogative, on dira par ex.  quelles fautes as-tu commises ? 

    Cette réponse a été acceptée par Minouche. le 10 février 2021 Vous avez gagné 15 points.

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  • Débutant Demandé le 10 février 2021 dans Accords

    Bonjour,

    Bon, comme hier pour laissé + inf., je crois qu’il convient de rappeler la règle générale (I) et, si elle ne s’applique pas ici(II),  voir si une des exceptions à cette règle s’y applique (III).

    I. Rappel de la règle générale d’accord du PP (employé avec avoir) suivi d’un inf. (précédé ou non par une préposition)

    Pour éviter les palabres à n’en plus finir,   🙂 je reprends la règle gén. telle qu’elle est formulée par le « Bon usage » : « Le participe passé conjugué avec avoir et suivi d’un infinitif (avec ou sans préposition) s’accorde avec le complément d’objet direct qui précède quand l’être ou l’objet désignés par ce complément font l’action exprimée par l’infinitif.« 

    Voici les ex. du B.U. avec la prép. à ou de  précédant l’inf. :
    Les comédiens qu’on a empêchés de jouer, qu’on a autorisés à jouer.  Le C.O.D. est qu’ (que) , mis pour pour « comédiens » ; sont-ce (!) les comédiens qui jouent ? Oui, (du moins quand on  ne les en empêchent pas !) ==> accord des PP au masc. pluriel.

    La matière que  j’ai cherché à pétrir (BarrèsMes cahiers, t. XIV, p. 170). Est-ce le C.O.D. que, mis pour « matière » qui pétrit ? non ! ==> inv. du PP. 

    II. Application de la règle générale à la phrase soumise

    Ce n’est pas le C.O.D que, mis pour « coordonnées », qui protège ! ==> inv. du PP pour l’instant tout au moins. 

    III. Applicabilité d’un cas particulier à la phrase soumise,  susceptible de conduire  à l’accord effectif ?

     Non à l’évidence quant à laissé à,  mené  à, eu à, donné à, porté à, apporté à, mis à , etc., qui ne figurent pas dans cette phrase. 

    Bon, je m’arrête là : je tenais simplement à indiquer ou à rappeler à certains la démarche intellectuelle à mener en la matière.    

     

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