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  • Érudit Demandé le 8 mars 2023 dans Question de langue

    Bonjour à tous !

    Pour répondre à la demande de Ninakim « Je n’avais aucune idée de ce dont elle parlait » (posée en 2020, mais  qui  est toujours utile en 2023…) : OUI, cette phrase est correcte.
    Elle peut se formuler de 2 façons :

    1 – « Je n’avais aucune idée de ce dont elle parlait »

    2 – « Je n’avais aucune idée de ce qu’elle disait »

    Bonne journée à tous et félicitations aux fondateurs et animateurs de « question-orthographe » pour leur aide avisée et précieuse !

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  • Érudit Demandé le 29 septembre 2022 dans Accords

    Contente de te retrouver Tara.
    Merci pour cette réponse vraiment claire, complète et très utile…

    Grand merci à tous !

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  • Érudit Demandé le 28 septembre 2022 dans Accords

    Merci beaucoup Ouatitm pour votre réponse claire et concise. Et merci Joëlle de préciser qu’il y a des exceptions (cas pronominaux) ; je suis à l’écoute de ces cas… Car c’est bien là la difficulté !
    Bonne (nuit) journée à vous ! 😉

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  • Érudit Demandé le 11 juillet 2021 dans Général

    Bonjour et merci à chacun pour son aimable participation.

    Belle idée, Prince, pour agrémenter ce « roman noir »…

    ☼ Agréable journée à tous !

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  • Érudit Demandé le 15 janvier 2021 dans Accords

    Bonjour  Tara !

    Merci pour votre réponse qui apporte des éléments intéressants.

    Je retiens le singulier (« cherchaient » au pluriel peut déranger) avec la formule « UNE impossible permanence » – plus large que « SON impossible permanence » –  qui lève toute ambiguïté.

    Encore merci pour votre soutien éclairé !
    Je vous souhaite une agréable journée…

    ☼ Krystel

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  • Érudit Demandé le 8 janvier 2021 dans Général

    Précision : vos réponses m’ont été utiles, car je ne savais pas trop comment orthographier ces mots étrangers dans mon roman. Merci encore à vous, Jean et Prince !

    ☼ Et à bientôt, car je ne doute pas d’avoir encore besoin de vous prochainement…

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  • Érudit Demandé le 8 janvier 2021 dans Général

    Bonsoir Prince… non pas des ténèbres, mais des nuits étoilées !

    Après étude plus approfondie des différents termes philia, agapê, storgé, celui qui conviendrait le mieux, c’est finalement bien « agapê » (en italique) : l’amour du prochain – qui n’est pas forcément basé sur l’affection et les sentiments, mais sur les ‘principes divins’.

    Selon leur contexte, les nuances entre ces termes peuvent se révéler très fines.
    Voici quelques références bibliques où l’on trouve différentes mentions de l’amour :

    – Amour lié à Dieu, ou basé sur les ‘principes divins’ = grec : agapê,  > 1 Jean 4:9,10 – Romains 5:8, …
    C’est le même terme qui est utilisé pour exprimer « l’amour de Dieu qui a donné son fils pour nous » et pour recommander « d’aimer ses ennemis » (donc sans affection réelle, juste pour ‘faire son devoir’ avec sincérité).

    – Amour fraternel (entre chrétiens) = grec : philadélphia, littéralement “affection pour un frère” > Hébreux 13:1 – 1 Pierre 3:8, … C’est l’amour le plus mentionné dans les Saintes Écritures.

    – Amour au sens ‘plaisirs/satisfactions’ = grec : philia, « amitié », n’apparaît qu’une fois dans les Écritures grecques chrétiennes > Jacques 4:4.

    – Amour filial = grec : philostorgos, signifiant “qui a une tendre affection” (très intime), racine stérgô (en général utilisé dans un contexte affection naturelle, famille’) > Romains 12:10, …

    – Tendres affections, tendre compassion = grec : splagkhna, signifiant « intestins/entrailles » > 2 Corinthiens 7:15 – Philippiens 2:1 – Colossiens 3:12 – Philémon 7, …

    – L’amour de l’argent = grec : philarguria, littéralement, “attachement à l’argent-métal” > 1Timothé 6:10 – Luc 16:14, …

    – Amour charnel = grec érôs, non mentionné dans la Bible.

    Note : il est intéressant de noter que, pour parler de l’amour qu’un mari devrait témoigner à sa femme, c’est le mot agapê que l’apôtre Paul a utilisé. Il a comparé cet amour à celui que Christ manifeste à la congrégation (Éphésiens 5:28, 29). Cet amour est basé sur les principes exposés par Dieu (YHWH), l’auteur de la famille.

    Et pour finir, comment se priver de la plus belle définition de l’amour au monde ? La voici :

    « L’amour est patient et bon. L’amour n’est pas jaloux, il ne se vante pas, ne se gonfle pas d’orgueil, n’agit pas de façon inconvenante, ne cherche pas ses propres intérêts, ne s’irrite pas. Il ne tient pas compte du mal subi. Il ne se réjouit pas de l’injustice, mais se réjouit avec la vérité. Il supporte tout, croit tout, espère tout, endure tout. L’amour ne disparaît jamais. »  (1 Corinthiens 13:4-8)

    Ces renseignements (de source fiable) pourront sans doute se révéler utiles (juste retour des choses) aux utilisateurs de ce merveilleux site qu’est VOLTAIRE ! Et ses adhérents si sympathiques, nos précieux conseillers… ♥

    Avec mes remerciements pour votre écoute et votre aide fidèle !

    Krystel

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  • Érudit Demandé le 7 janvier 2021 dans Général

    Merci beaucoup Jean !

    J’ai rajouté le mot « philia »… s’écrit-il bien ainsi (toujours de façon littéraire) ?

    Merci !

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  • Érudit Demandé le 6 janvier 2021 dans Conjugaison

    Merci beaucoup pour cette confirmation, Grinta. C’était ma formule préférée, mais parfois, le doute…

    Très bonne soirée !

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  • Érudit Demandé le 6 janvier 2021 dans Conjugaison

    Euh… donc : « elles ne sont pas sûres que je les entende » ??

    Merci Tara de bien vouloir confirmer car je ne suis pas sûre d’avoir bien saisi votre réponse.

    Bonne nuit !

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