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  • Amateur éclairé Demandé le 8 septembre 2023 dans Question de langue

    Je parlais en fait du sens du mot « réflexif » en grammaire.

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  • Amateur éclairé Demandé le 6 septembre 2023 dans Accords

    Une personne qui a trébuché n’est cependant pas trébuchée ?

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  • Amateur éclairé Demandé le 4 septembre 2023 dans Accords

    Marcel1, vous n’êtes pas venu pour contribuer mais pour ironiser. Votre réponse et vos trois commentaires se contredisent constamment, et les neuf dixièmes de vos propos n’ont aucun rapport avec ma question. Vos circonvolutions, vos formules humoristiques, vos digressions, la modification de votre première réponse au bout de trois objections, tout cela est méprisable.

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  • Amateur éclairé Demandé le 4 septembre 2023 dans Accords

    Marcel1, ce qu’il y a d’obscur ? rien, tout est très clair, vous expliquez qu’il faut écrire elle s’est refusé à cela, et donc une mort qu’elle s’était refusé à imaginer, comme l’a écrit l’éditeur, et en parallèle vous mobilisez toute votre énergie à développer des arguments demandant l’accord avec le sujet, et à ironiser, en intercalant des questions annexes, c’est de la pure bêtise.

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  • Amateur éclairé Demandé le 4 septembre 2023 dans Accords

    Bonjour Tara, à votre demande, je vous ai relue, et vous avez clairement écrit que quand le verbe « se refuser » est occasionnellement pronominal, le pronom « se » est COD. Je demandais simplement si vous acceptiez la possibilité d’un pronom COI suivi d’un participe passé invariable (elle nous a refusé une chose, elle s’est refusé une chose), si cela pouvait être étendu aux verbes (elle nous a refusé de venir, elle s’est refusé de venir), et si ce pouvait être pour cette raison que l’éditeur d’Annie Ernaux a choisi l’invariabilité dans « elle s’était refusé à imaginer ». Je pense que c’est plus une erreur qu’un choix de l’éditeur.

    Merci Marcel1, vous expliquez dans votre réponse à la fois que le pronom n’est pas analysable, et qu’il faudrait accorder le participe passé avec le sujet, mais qu’ici il faut écrire « elle s’est refusé à cela », parce que finalement il faut tenir compte du pronom. Si vous trouvez que c’est clair, tant mieux pour vous. Je pense que c’est simplement faux.
    – Concernant la construction avec « de », c’est vous qui avez ajouté à la question des considérations sur la possibilité d’écrire « elle se refuse de faire ». Chambaron n’a pas traité cette question, son lien Google ne peut donc pas concerner votre nouvelle proposition. Ce cas pose d’ailleurs moins de problèmes, le participe passé est invariable dans les quelques occurrences qu’on trouve, sauf si vous avez trouvé un exemple contraire dans le manuel de grammaire dont vous parlez, ce ne serait pas totalement illogique, mais ce n’est pas l’usage.
    Refuser à quelqu’un de faire une chose est une construction courante, vous ne pouvez pas dire abruptement, comme vous le faites en commentaire, que la phrase n’a aucun sens. Que ce sens soit moins évident à la forme pronominale (avec un pronom COI), c’est certain, mais c’est souvent le cas (se demander, ce n’est pas comme demander à soi-même, et cependant on construit comme si le pronom était un COI, sans accorder avec le sujet). Vous proposiez en réponse « elle se refuse d’imaginer », mais vous ajoutez en commentaire que la forme pronominale construit en fait un COI : « elle se refuse à ». Ces contradictions ne permettent pas de répondre clairement à une question qui de toute façon n’était pas posée.
    – Apparemment, vous avez enchaîné une réponse fautive et un commentaire humoristique, mais je n’ai pas réussi à y identifier les éléments en lien avec la question.

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  • Amateur éclairé Demandé le 3 septembre 2023 dans Accords

    Merci Marcel1, au début de votre réponse, vous expliquez que le pronom n’est pas analysable syntaxiquement, et en conclusion, vous expliquez que le pronom a un rôle syntaxique. Je ne comprends pas cette contradiction apparente.
    Sinon, je pense qu’on construit « elle s’est refusé de » comme « elle s’est interdit de », sans accord. Avez-vous trouvé un exemple d’accord chez un auteur ? Si l’absence d’accord dans le texte ci-dessus m’a étonné, c’est uniquement à cause de la construction « se refuser à ».

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  • Amateur éclairé Demandé le 3 septembre 2023 dans Général

    Tara, j’ai lu vos commentaires, mais est-ce que vous confirmez que la phrase que j’ai citée dans ma question, et précisément cette phrase-là, et pas une autre, est syntaxiquement correcte ?
    Je sais qu’on dit parfois « qu’est-ce qui ». Je demandais un avis sur une phrase entendue à la radio, qui a certaines apparences de correction syntaxique, et qui ne vous a d’ailleurs pas choqué lors de votre première lecture.
    C’était une phrase un peu comme ça : On qualifie beaucoup de comportements de cortiques. Ainsi, la badance est cortique, et le firage est parfois aussi dit cortique. Mais quelles réalités sont en jeu, que se cache derrière ce mot, et que signifie-t-il réellement ?

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  • Amateur éclairé Demandé le 3 septembre 2023 dans Accords

    Merci à vous trois. Si j’ai bien compris, PhL dit que la phrase est correcte, Chambaron dit que la phrase est incorrecte, et Tara dit que c’est compliqué. Comme ce texte est une présentation de livre par un éditeur rigoureux, je vais considérer qu’il est correct.
    Tara, bien sûr, le pronom « se » ne peut pas être analysé ici comme un COD, mais on cherche s’il peut être analysé comme un COI, c’est apparemment le choix qu’a fait l’auteur du texte. L’emploi pronominal occasionnel du verbe « refuser » ne fait pas forcément du pronom un COD comme vous le dites. N’est-ce pas parfois un COI : « elle m’a refusé de rester, elle s’est refusé de rester » ? Cette interprétation est-elle possible avec « se refuser à » ?

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  • Amateur éclairé Demandé le 1 septembre 2023 dans Général

    Donc je retiens que le pronom « que » peut être sujet. Par contre, je ne suis pas d’accord sur le fait qu’il doit représenter un neutre.

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  • Amateur éclairé Demandé le 30 août 2023 dans Général

    Donc la question avec le pronom interrogatif sujet « que » est correcte ?

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