Bonjour Lulamay
C’est bien « sortir ».

Bonjour cfg

La règle citée par Tara s’applique aux noms collectifs. L’accord du verbe avec « ensemble », qui est pourtant un nom collectif, est particulier selon l’Office québécois de la langue française :

Lorsque le sujet d’un verbe est le nom collectif ensemble suivi d’un complément, le verbe s’accorde généralement avec ensemble. L’accent de la phrase est alors mis sur le tout que constitue l’ensemble.

Exemples :

– L’ensemble des employés doit être présent à cette réunion.

– Le nouvel ensemble de fauteuils de cette compagnie est fort populaire.

– Je parie que cet ensemble de couteaux fera plaisir à ma belle-mère.

– Ces ensembles de serviettes sont vendus à prix réduit.

Même si c’est plus rare, ce n’est pas fautif d’accorder le verbe avec le complément du nom ensemble. On met alors l’accent sur les éléments de l’ensemble. Ce type d’accord est plus courant lorsque ensemble est précédé de l’article indéfini un.

Exemples :

– Un ensemble de raisons a poussé Vincent à refuser cette offre. (ou : ont poussé Vincent)

– C’est un ensemble de facteurs qui ont fait que je suis ici aujourd’hui. (ou : qui a fait)

– L’ensemble de ces renseignements doit être pris en considération. (ou : doivent être pris en considération)

Bonjour Lulamay
Si l’on peut trouver les deux écritures, l’Office québécois de la langue française indique : les mots formés avec le préfixe pré- ne prennent pas de trait d’union. Pré- se joint directement au mot qui suit (nom, adjectif ou verbe) même s’il y a rencontre de deux voyelles.

Bonjour Lulamay
Si vous ne connaissez pas le sexe de votre correspondant et que vous devez laisser « le ou la » utilisez l’accord de proximité en plaçant le pronom masculin à côté de l’adjectif : « que vous êtes la ou le seul à connaître »

Bonjour Karineavec1K
Pour le site Wiktionary, il s’agit d’une locution adverbiale invariable.
Sur la page « année » du CNRTL, « d’année en année » est également au singulier.
Pour Larousse, « d’année en année » est une expression qui s’écrit au singulier et qui signifie : « de façon continue et progressive ».
Avec cette dernière acception, le singulier me paraît nécessaire, mais si l’on veut parler de périodes s’étalant sur  plusieurs années comme des périodes  épidémiques,  de disette, de crise économique, pourquoi ne pas utiliser le pluriel ?

Bonjour Nananne
Si vous voulez mettre l’accent sur la catégorie d’épinard, vous accorderez avec « sorte ».  C’est ce qui semble être le cas dans votre début de phrase.

Bonsoir fcote.
« Ensemble »suggère l’idée de groupe donc de plusieurs personnes. L’accord se fait effectivement au pluriel. Plus forts ensemble équivaut à nous sommes (serons) plus forts ensemble pour cultiver demain.

Bonsoir SpacePuffin.
L’accord du participe passé construit avec l’auxiliaire avoir ne se fait jamais avec le sujet.
L’accord se fait avec le COD s’il est placé avant l’auxiliaire. La vie nous a enseigné QUOI ? que mis pour croyance, placé avant l’auxiliaire. Donc accord au féminin singulier : enseignée.

Bonsoir,
Vous avez posé la bonne question : elle m’a refusé quoi ? Qu’ mis pour l’intimité, placé avant l’auxiliaire donc accord au féminin singulier. L’intimité qu’elle m’a si souvent refusée.

Bonjour incertitude.
Le recours à « soi » tend actuellement à se limiter aux situations où le sujet n’est pas déterminé (pronom indéfini, verbe à l’infinitif ou sujet non exprimé) : dans la vie c’est chacun pour soi.
Quand le sujet est déterminé soi est remplacé par lui, elle, eux ou elles : elle n’a pas une belle estime d’elle-même.
Mais son usage est possible : « M. Leuwen fut content de soi, et ce premier succès lui rendit enfin la confiance en soi-même (Stendhal,L. Leuwen, t. 3, 1835, p. 266) »