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  • Grand maître Demandé le 7 juin 2017 dans Question de langue

    Bonjour, Karapuce.

    Libre à vous de créer un néologisme. Il s’agit après tout d’une figure de style que les auteurs peuvent utiliser.

    Quant à savoir s’il faut mettre un trait d’union, il me semble que le caractère nouveau de cette association de mots ne justifie pas le trait d’union que l’on place plutôt quand le mot est lexicalisé.

    Enfin je mettrais comme vous la marque du pluriel aux deux noms, car on dit « une main en forme de crochet » et donc « des mains en forme de crochets ». Mais je ne pense pas que « crochet » au singulier soit fautif.

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  • Grand maître Demandé le 7 juin 2017 dans Conjugaison

    Bonjour, Minouche.

    Vous avez raison.

    Le conditionnel et si expriment tous les deux le possible ou l’hypothétique. On ne les utilisera donc pas dans la même phrase pour exprimer une condition.

    Si tu venais, je n’irais pas  mieux. (et pas : si tu viendrais, je n’irais pas mieux)

    Ou : Tu viendrais que je n’irais pas mieux.  Mais le conditionnel marque ici la concession, la supposition.

    On peut utiliser le conditionnel après « si » quand il ne s’agit pas d’une condition :

    – dans une interrogation indirecte : « je me demande vraiment s’il aurait pu gagner ? »

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  • Grand maître Demandé le 7 juin 2017 dans Question de langue

    Bonjour, rianeseoul.

    Si vous êtes d’accord, dîtes-lui simplement : « je t’en prie » ou « tu veux qu’on se voie pour en parler ou tu me l’écris par courriel ? »

    Cette réponse a été acceptée par rianeseoul. le 8 juin 2017 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 31 mai 2017 dans Général

    Bonjour JBC,

    Le présent de l’indicatif peut effectivement être employé pour parler d’un fait futur, en particulier quand on veut souligner qu’il s’agit d’un fait futur inévitable.

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  • Grand maître Demandé le 30 mai 2017 dans Accords

    Bonjour Houlon,

    On est un pronom qui peut :

    – être indéfini car représente une ou des personnes dont on ne connaît pas l’identité et que l’on peut alors remplacer par « quelqu’un, tout le monde ». L’adjectif ou le participe passé qui s’y rapporte est alors invariable.

    « On est jamais mieux servi que par soi-même. »

    – représenter une ou plusieurs personnes bien définies. On peut alors remplacer on par un pronom personnel: je, tu, il, elle, nous, vous, ils ou elles. L’accord se fait selon le genre et le nombre du sujet représenté par on.

    « Les amis et moi, on s’était préparés. » (les amis et moi = nous).

    Il est bien sûr préférable d’utiliser le pronom personnel : les amis et moi, nous nous étions préparés.

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  • Grand maître Demandé le 30 mai 2017 dans Accords

    Bonjour Fady,

    « Se montrer » est un verbe occasionnellement pronominal, de sens réfléchi.
    Le participe passé s’accorde selon les règles du participe passé construit avec l’auxiliaire avoir.
    Elle a montré « soi-même » (se) aimable
    Se est donc COD et l’accord se fait avec se mis pour elle : Elle s’est montrée aimable.

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  • Grand maître Demandé le 29 mai 2017 dans Général

    Bonjour Alexandre32,

    Selon différentes sources (Petit Robert, CNRTL, ou l’Office québécois de la langue française) c’est la préposition « en » qui est de rigueur dans la désignation des diplômes concernant le droit, la préposition « de » étant également acceptable.

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  • Grand maître Demandé le 29 mai 2017 dans Accords

    Bonjour alison,

    Vous avez raison, les plumes pourraient être comptées et on utilisera le pluriel.

    Attention toutefois, « en » est d’usage courant alors que « de » est plus soigné ou littéraire : un fourreau de plumes claires.

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  • Grand maître Demandé le 24 mai 2017 dans Accords

    Bonsoir Greg,

    Il s’agit ici du verbe prendre transitif indirect qui signifie : « En parlant d’une envie, d’une idée, venir soudain à quelqu’un : Il lui prend une envie de voyager » selon Larousse.

    « Lui » est COI sinon on aurait écrit « le ».
    Au pluriel : il leur a pris… et non pas il les prend…

    Qu’est-ce qui t’a pris ?
    On aurait pu dire, pour mieux analyser : quelle idée t’a pris ? ou il t’a pris quelle envie ?
    t’ est donc COI : il a pris à t’ (toi).
    Il n’y a donc pas d’accord avec t’ ; qu’est-ce qui (ou qu’il )t’a pris ?

    Cette réponse a été acceptée par Greg. le 24 mai 2017 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 24 mai 2017 dans Général

    Bonjour jumper44,

    Le préfixe re- et ses variantes ré-, r-  et res- servent à former de nombreux verbes et noms.

    Ce préfixe indique :

    – le retour à un état antérieur (refermer, renouer, reboucher),
    – un changement de direction (retourner, rejeter),
    – un renforcement (rechercher, remplir, rehausser),
    – la répétition d’une action (redire, refaire,retourner, renvoyer), etc.

    On utilise ré- ou r- au lieu de re- devant une voyelle ou un h muet.

    Regénérer : si vous utilisez le préfixe re- devant le mot générer, c’est pour indiquer que vous allez recréer le programme, soit de la même façon (répétition), soit différemment (changement de direction).

    générer n’a pas le même sens et ne s’applique pas à l’informatique, c’est, selon Larousse, « reconstituer les tissus après destruction ou rendre à une substance ses propriétés initiales, altérées ou modifiées au cours d’un traitement ».

    Cette réponse a été acceptée par jumper44. le 26 mai 2017 Vous avez gagné 15 points.

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