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  • Maître Demandé le 4 janvier 2019 dans Question de langue

    Pour obtenir X, [Y agit pour que Z]. Le deuxième « pour » dépend du premier. C’est syntaxiquement correct. Il est possible que ce soit mal rythmé, mais la place de votre premier « pour » en début de phrase, suivi d’une virgule, structure très bien vos phrases.

    Phrase 1.
    Votre idée du « afin de » est bonne, car « afin de » est une idée un peu plus globale que le très analytique « pour » (rapport strict entre deux idées). Je ne dis pas que c’est rigoureusement la différence entre « afin de » et « pour », mais c’est ainsi que je perçois. Vous pouvez accentuer le caractère flou et général du premier « pour », avec des formules comme « dans l’objectif de », mais c’est inutile.

    Phrase 2.
    « redessiner A pour adapter les contours de B » peut être inversé ainsi : « adapter les contours de B en redessinant A ». Le gérondif « en redessinant » prend une valeur de moyen, et fait de « adapter les contours » une conséquence. Sans dire formellement que c’est l’objectif, on décrit le processus qui y mène. Que la conséquence soit l’objectif semble évident dans une démarche d’entreprise, surtout avec le mot « choix ».
    – GRDF a fait le choix de redessiner ses régions pour en adapter les contours au nouveau découpage administratif.
    devient
    – GRDF a fait le choix d’adapter les contours de ses régions au nouveau découpage administratif en les redessinant.
    Il y a une nuance dans la présentation (on redessine parce qu’on veut adapter / on veut adapter donc on redessine), mais le rapport entre les deux verbes reste le même.
    Il est possible aussi de mettre le gérondif avant, si l’ordre importe, avec plusieurs possibilités :
    – GRDF a fait le choix d’adapter, en les redessinant, les contours des ses régions au nouveau découpage administratif.
    – GRDF a fait le choix, en redessinant les contours des ses régions, de les adapter au nouveau découpage administratif.
    Une autre façon de supprimer le « pour » est de mettre en avant l’ordre des verbes, avec une simple conjonction de coordination.
    – GRDF a fait le choix de redessiner ses régions et d’en adapter (ainsi) les contours au nouveau découpage administratif.
    Vous pouvez aussi fusionner « redessiner pour adapter » en « calquer » :
    – GRDF a fait le choix de calquer les contours des ses régions sur le nouveau découpage administratif.
    On perd l’idée du processus (constat + adaptation), mais il n’est pas forcément utile.

    Autre idée, plus démonstrative.
    Deux phrases. La première donne l’objectif principal (l’équivalent du « afin que »), sans le banaliser dans un simple complément circonstanciel, mais en l’assénant dans une phrase courte. La deuxième phrase se relie à la première par un « donc » ou un « ainsi » (ou un « deux points », ou un silence éloquent). Ce sont donc ici deux idées qui se succèdent, l’opportunité de le faire dépend du stade de la démonstration.
    – Pour porter efficacement la voix gazière dans le contexte de la décentralisation, GRDF a fait le choix de redessiner ses régions pour en adapter les contours au nouveau découpage administratif.
    devient
    – GRDG veut porter efficacement la voix gazière dans le contexte de la décentralisation. L’entreprise a donc (ou ainsi) fait le choix de redessiner ses régions pour en adapter les contours au nouveau découpage administratif.
    ou en remplaçant le point séparateur par la conjonction « et » :
    – GRDG veut porter efficacement la voix gazière dans le contexte de la décentralisation et a donc (ou ainsi) fait le choix de redessiner ses régions pour en adapter les contours au nouveau découpage administratif.

    On doit pouvoir arriver avec ces méthodes (utilisation d’un équivalent de « pour » plus global, gérondif de moyen, scission de phrase, fusion de deux verbes en un seul, conjonction de coordination, utilisation de « donc » et « ainsi », ordre des verbes induisant un rapport de cause à conséquence…) à distinguer le premier « pour » qui donne un objectif stratégique et le deuxième « pour » qui ne fait qu’articuler un moyen et un résultat concrets.  C’est ce deuxième « pour » qui peut en effet mériter de s’effacer, car il ne devrait plus être à ce stade de la phrase question de compléments de but (déjà exprimé), mais de moyens.

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  • Maître Demandé le 4 janvier 2019 dans Conjugaison

    La forme « vous être trouvé » est valide, mais cette construction pronominale a deux sens possibles.

    Circonstanciellement, « se trouver » peut signifier « vivre une situation » : Il se trouve embarrassé.
    Le sens est celui d’un verbe d’état (il est), mais la forme est pronominale réfléchie (il se trouve lui-même).
    On peut écrire « s’être trouvé » : Après s’être trouvé embarrassé, il s’est repris.

    Géographiquement, « se trouver » peut signifier « être situé » : La clé se trouve sous le paillasson.
    La construction n’est pas pronominale réfléchie (elle se trouve elle-même), mais pronominale passive (on la trouve).
    On peut écrire « s’être trouvé » : La clé, après s’être trouvée sous le paillasson, se trouve maintenant sur la table.

    Je pense que la difficulté de votre phrase ne réside pas dans « s’être trouvé », possible dans les deux cas, mais dans le fait que :
    * « se trouver + circonstance » est du pronominal réfléchi
    * « se trouver + lieu » est du pronominal passif
    * dans votre cas, c’est à la fois circonstanciel et géographique, ce qui crée une ambiguïté.
    Je vous déconseille donc d’utiliser « se trouver » dans le sens réfléchi circonstanciel si la circonstance est justement un lieu.

    Après vous être réveillé à Ouessant, vous avez écouté la météo marine. (pronominal réfléchi, circonstanciel)
    Après s’être trouvé à Ouessant, votre bureau se trouve maintenant à Brest. (pronominal passif, géographique)
    Après vous être trouvé à Ouessant… c’est plutôt maladroit, indécidable ou ambigu.

    Pour lever l’ambiguïté :
    * pour parler de circonstance, préciser le verbe : « après vous être retrouvé » plutôt que « après vous être trouvé »
    * pour parler du lieu, de la réalité de se trouver quelque part géographiquement, préciser le complément de lieu : « après vous être trouvé sur une île, vous êtes maintenant installé à Brest »

    « Vous vous souvenez soudainement de vous être trouvé sur une île minuscule. »
    C’est le souvenir soudain de quoi ? Je ne réussis pas à comprendre. Une impression ? Une réalité ? Y avoir vécu (une localisation qui justifierait « se trouver ») ? Y être apparu (un événement qui justifierait « se retrouver ») ? Le mot « soudainement » s’applique bien à « se souvenir » et pas à « se retrouver » ? Dites-en un peu plus.

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  • Maître Demandé le 4 janvier 2019 dans Général

    1, 2, 5, 6, 7 : joelle a répondu. Dites-nous si un point reste obscur.

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    Elle a été inhumée comme sa famille l’avait souhaité
    Cette actrice a été récompensée comme elle l’a méritée (je croyais que l’accord ne se faisait pas… pourquoi un e?)
    Vous avez raison. Si le pronom « l' » n’était pas un neutre (représentant globalement la proposition) mais un féminin, que représenterait ce pronom ? Il y a une erreur quelque part.

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    Pour savoir si c’est « un vrai cod » ou un complément de quantité, de mesure… posez la question « quoi ou combien » ? Si c’est « quoi », alors vous avez un cod, si c’est « combien », vous avez un complément de mesure.
    Les cent euros que cela m’a coûté : cela m’a coûté combien ?
    Les trois ans qu’a duré cette étude : cette étude a duré combien de temps ?
    La longueur que nous avons mesurée : nous avons mesuré quoi ? et non combien ?
    Les 20 kilomètres que nous avons marché : nous avons marché combien de kilomètres ?
    Donc, nous sommes d’accord pour les deux premiers. Vous vous trompez sur le troisième (« la longueur » est bien un cod puisque c’est la réponse à « quoi », on mesure quelque chose). Et pour le quatrième, vous avez raison de ne pas accorder, on ne marche pas quelque chose, vous avez mal copié comme joelle l’a vérifié.

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    Vous n’avez pas retrouvé la question, mais voici ma réponse.
    * Elle a l’air sérieuse. Elle semble sérieuse. Accordez comme si « avoir l’air » était un verbe d’état.
    * On trouve des cas où « avoir l’air » signifie réellement « avoir l’aspect », et dans ce cas on accorde au masculin. Elle a l’air sérieux et les rides que le temps donne aux sages.

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  • Maître Demandé le 3 janvier 2019 dans Accords

    Faut-il vraiment compter « rosé » au nombre des couleurs ? une lumière dorée claire, une cuillère argentée sombre, une mer bleuâtre foncée… On a là des adjectifs qui décrivent un aspect mais qui ne sont pas des noms de couleur. On ne leur ajoute donc pas un autre adjectif pour faire un couple invariable comme on le fait avec un nom de couleur et un adjectif.
    Et si « rosé » est un adjectif ordinaire, ce serait une grosse anomalie de lui juxtaposer un autre adjectif ou un substantif. Le deuxième aurait une valeur adverbiale et s’appliquerait au premier ? De façon générale, on ne flanque pas les adjectifs d’autres adjectifs ou de substantifs.
    Les noms de couleurs sont une exception : jaune jonquille mais pas doré jonquille, rose bonbon mais pas rosé bonbon, vert clair mais pas verdâtre clair.
    Le nom de couleur est « rose », et on peut écrire « rose clair », invariable.
    Mais « rosé clair » est une juxtaposition d’adjectifs qui n’a pas de validité grammaticale.

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  • Maître Demandé le 1 janvier 2019 dans Général

    « Demain, ce sera le dernier acte de ces 4 derniers jours de cauchemar. »

    Le nombre 4 en lettres : quatre. Il existe des règles, variables, permettant d’écrire les nombres en chiffres, quelqu’un va vous les donner, mais ici les lettres s’imposent.

    La répétition d’un mot dans « le dernier acte des quatre derniers jours » peut certainement avoir du sens, et ce n’est pas forcément une redondance inutile ou fautive. « Le dernier jour du dernier mois » est parfaitement correct, peut-être insistant, mais très précis.
    Pour se convaincre que la répétition d’un mot n’est pas le problème, changeons provisoirement « le dernier acte » en « la conclusion ».
    « Demain, ce sera la conclusion de ces quatre derniers jours de cauchemar. » Il subsiste un problème.

    Il faut réfléchir à « ces derniers jours ». Si « ces derniers jours » sert à désigner quatre jours que vous avez déjà décrits dans les phrases précédentes (ces quatre jours dont je viens de vous parler, ces quatre jours qui ont vu la fin du règne de Lucien Le Petit), la phrase est bonne. Mais si « ces derniers jours » désigne non pas les jours qui viennent d’être décrits, mais comme je le devine les jours qui viennent de passer (il a fait beau ces derniers jours), alors on a affaire à un « déictique » qui ne supporte pas d’être transposé tel quel au futur, et votre phrase est fautive.

    Le vrai problème de votre phrase est donc l’utilisation au futur des mots « ces » et « derniers ».
    Le démonstratif a du sens aujourd’hui et maintenant. On peut dire « ce matin », mais au futur, en s’imaginant demain soir pour parler de demain matin, on doit dire « le matin » (il se rappelle ce qu’il a fait ce matin ; demain soir il se rappellera ce qu’il a fait le matin).
    Même principe pour le mot « dernier », il a du sens par rapport à maintenant (il a travaillé ces quatre derniers jours ; il aura travaillé les quatre jours précédents). Les « derniers jours » ne peut pas inclure demain, c’est forcément un absolu par rapport à aujourd’hui. « Les quatre derniers jours de cauchemar » sont situés par rapport à aujourd’hui, pas par rapport à demain.
    (Pour garder le mot « dernier » on pourrait lui donner un sens relatif, avec un complément : « les quatre derniers jours de sa vie » peuvent être des jours du futur. Si vous voulez utiliser « cauchemar » non pas pour qualifier les jours (des jours cauchemardesques) mais pour désigner une période, alors il suffit de lui ajouter un article pour donner un sens relatif à « dernier » : les quatre derniers jours d’un cauchemar.)

    Donc on commence par remplacer « ces quatre jours » par « les quatre jours » ou « de quatre jours » ou « des quatre jours », selon la construction. Mais par quoi remplace-t-on « derniers » ? Comment supprimer ce mot en conservant l’idée qu’on parle de quatre jours consécutifs dont le dernier sera demain ? Si on était loin dans le futur, on pourrait dire « les quatre jours précédents », « la période de quatre jours qui se terminera », « les quatre jours passés », « les quatre derniers jours qu’il aura vécus »… Mais manifestement, pour demain ce n’est pas possible, puisque aujourd’hui les quatre jours ne sont pas encore passés. Ne trouvant pas par quoi remplacer « derniers », je ne peux que suggérer de supprimer le mot, en faisant confiance au reste de la phrase pour qu’on comprenne qu’il s’agit évidemment des quatre jours « qui viendront de passer ».
    On arrive à « Demain, ce sera la conclusion de quatre jours de cauchemar. »
    Et en rétablissant « le dernier acte » : « Demain, ce sera le dernier acte de quatre jours de cauchemar. »
    En supprimant « ces derniers », on n’a pas forcément perdu d’information (que les jours soient consécutifs et qu’ils se terminent à cette date me semble plutôt évident).

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  • Maître Demandé le 31 décembre 2018 dans Général

    Merci Czardas, nos numéros de paragraphes du Bon Usage ne sont pas les mêmes, mais le texte est le même. Je peux donc vous dire que vous n’avez pas lu au bon endroit. Les premières lignes que vous citez ne sont que le « NB » introductif pour expliquer ce qu’on entend par datif (forme d’un coi) et accusatif (forme d’un cod). Il faut poursuivre la lecture sur quelques lignes pour trouver des préconisations sur le choix du datif ou de l’accusatif.

    Pour l’exemple avec « faire respecter la loi » :
    b) quand l’infinitif a un cod
    b1) avec le verbe « faire » : c’est dans ce paragraphe qu’on apprend que le pronom est « en général » au datif, et « parfois » à l’accusatif, exemples à l’appui. Ma question portait sur la nuance entre datif et accusatif, puisque les deux s’utilisent.

    Pour l’exemple avec « faire changer d’avis », c’est l’inverse :
    a) quand l’infinitif n’a pas de cod : on apprend ici qu’on utilise « normalement » l’accusatif, et « parfois » le datif, exemples à l’appui. Ma question portait sur la nuance entre datif et accusatif, puisque les deux s’utilisent.

    Dans une grammaire, il faut lire le chapitre dans son ensemble, ne pas se contenter de faire une règle du NB introductif.

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  • Maître Demandé le 31 décembre 2018 dans Général

    Prince, vous pouvez recopier tout le livre, mais ça ne sert à rien de copier des paragraphes sans comprendre, pour essayer de noyer le poisson. Dans une grammaire, il faut identifier les lignes qui concernent le cas à traiter, ce qui est fait depuis plusieurs jours.
    + Point 903) Agent de la proposition infinitive objet direct
    + a) sans objet direct
    + b) avec objet direct
    + b1) avec « faire »
    + b1(i) exemples avec le datif
    + b1(ii) exemples avec l’accusatif
    + b1(iii) quand l’agent est nom : NE ME CONCERNE PAS, C’EST ECRIT PRONOM DANS LE TITRE
    + b2) avec autre verbe que faire : NE ME CONCERNE PAS
    + c) cas particuliers : NE ME CONCERNE PAS
    + c1) deux pronoms personnels : NE ME CONCERNE PAS, IL N’Y A PAS DEUX PRONOMS PERSONNELS
    + c2) verbe pronominal : NE ME CONCERNE PAS : TRAVERSER N’EST PAS PRONOMINAL
    + c3) NE ME CONCERNE PAS
    + c4) NE ME CONCERNE PAS
    Vous vous trompez totalement en ajoutant des paragraphes pour y chercher des « distinctions et exceptions ».

    Ma question porte sur le pronom agent de l’infinitif (en particulier si cet infinitif a un cod) suivant le verbe faire.
    Pour mon exemple « Je le/lui ai fait traverser la rue », l’objet de ma question est cadré par les références du Bon Usage que j’ai données dans la question précédente. Et j’ai encore rappelé ci-dessus les lignes qui me concernent. Je les réécris :
    903 Agent de la proposition infinitive objet direct
    b) quand l’infinitif a un objet direct
    b1) avec « faire »
    « Après faire, en général, l’agent se met au datif (i) » puis plus loin : « quand l’agent est exprimé par un pronom personnel, celui-ci se met parfois à l’accusatif (i) ».
    Je suis bien dans le cas du pronom. Ma question est donc de trouver des critères pour trancher entre b1(i) et b1(ii).

    Merci de ne plus intervenir ici. Je vais probablement recréer une question, dont je vous demande de vous tenir éloigné.

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  • Maître Demandé le 29 décembre 2018 dans Général

    Merci Prince. Votre référence « BU 903 b 1 » est précisément la référence que j’ai donnée dans la question précédente. Elle dit :
    « Après (ou plutôt avec) faire, en général, l’agent se met au datif » puis plus loin : « quand l’agent est exprimé par un pronom personnel, celui-ci se met parfois à l’accusatif ».

    Quand l’infinitif a un cod, la règle générale pour le pronom qui lui sert de sujet est donc le datif, mais pour le choix de l’accusatif, le BU cite quand même six cas :
    — Et c’étaient des joies, des douceurs qui la faisaient bénir Dieu de son sort.
    — Les femmes les plus naïves ont un sens merveilleux qui les fait ressaisir bientôt tout l’empire qu’elles ont laissé perdre.
    — L’inquiétude naturelle aux malades qui les fait essayer sans cesse de nouveaux régimes.
    — Des nouvelles un peu moins bonnes les firent précipiter leur départ.
    — Je l’avais fait jurer qu’il viendrait.
    — Il m’est impossible de le faire aborder ce sujet.

    Vous écrivez « Je ne crois pas qu’on puisse faire d’autres distinctions et exceptions que celles prévues dans ces passages ». C’est-à-dire que vous estimez qu’il existe en tout et pour tout six exceptions à la règle générale. Vous vous trompez, ce n’est pas une liste d’exceptions, mais une liste d’exemples. Ce sont des exemples montrant que l’accusatif est possible.

    Vous m’avez déjà donné votre avis dans ma question précédente, j’ai recréé une question pour demander à d’autres contributeurs s’ils voient des nuances de sens dans l’utilisation du pronom agent selon sa forme accusatif ou datif (le ou lui, les ou leur).

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  • Maître Demandé le 29 décembre 2018 dans Général

    L’adjectif s’accorde avec le nom auquel il se rapporte.
    Éclairer les belles choses les rend plus belles, et non plus beau.
    Se compliquer n’existe pas sans complément d’objet.

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  • Maître Demandé le 29 décembre 2018 dans Accords

    Je vois la réponse de Prince, mais il se trompe. Le « ce que » (ou « que ») est bien un cod placé avant le verbe.

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