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  • Maître Demandé le 6 mai 2020 dans Question de langue

    Merci d’avoir porté à mon attention cette note affichée sur le site de l’Académie française, Cathy Lévy. Elle apporte clairement de l’eau à votre moulin.

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  • Maître Demandé le 1 mai 2020 dans Question de langue

    Merci pour ces précisions, Prince. Je vois qu’ici sur question-orthographe.fr je suis entre de bonnes mains. J’aimerais tant parvenir à une maîtrise de la langue française suffisante à me permettre de m’en servir également en dehors de ses assemblages classiques.

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  • Maître Demandé le 1 mai 2020 dans Question de langue

    Merci, Tara, d’avoir confirmé qu’il soit possible d’employer le verbe « écharper » autrement que sous la forme « s’écharper » pour dire « s’entretuer ».

    Quant à « ceci » et « cela », je prends note du fait que ces deux pronoms ne soient pas à utiliser de manière aussi catégorique que : « cela évoque ce qui a été dit précédemment » et « ceci évoque ce qui va suivre ».

    (Au passage, pour amuser la galerie, je vous apprendrai peut-être qu’en italien, « ceci » signifie « pois chiches ».)

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  • Maître Demandé le 28 avril 2020 dans Question de langue

    Merci, Cathy Lévy.

    Je n’avais jamais différencié « ceci » de « cela ».  Je vais dorénavant chercher à tenir compte de cette distinction d’usage. Est-ce que le pronom « ce » peut être employé à la place d’un « cela », d’un « ceci », ou des deux ? Sur la base de ce que vous venez de m’expliquer, j’imagine uniquement à la place d’un « cela ».

    Par contre, d’après mes recherches, il me semble que le verbe « écharper » puisse être employé ainsi que je l’ai fait, sans devoir impliquer un second personnage. On peut « s’écharper » (à deux), mais également « écharper » quelque chose en l’attaquant avec un objet tranchant.

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  • Maître Demandé le 27 avril 2020 dans Question de langue

    Très bien. Merci, Tara.

    D’accord, c’est un pronom et non un déterminant. Je n’ai jamais appris comment se nomment les divers éléments d’une phrase. Je vais devoir le faire un tant soit peu, rien que pour pouvoir vous poser mes questions avec clarté.

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  • Maître Demandé le 1 avril 2020 dans Conjugaison

    Un grand merci, Tara, pour avoir adoubé ma phrase originelle sur la base de votre fine compréhension de la nuance que je souhaitais apporter à sa tournure. Sans votre intervention, j’aurais adopté la forme proposée par Dhumeau, soit « Il m’arrivera de commencer ma journée à minuit, car je me serai couché à seize heures ». Mais le sens initial en aurait été légèrement altéré. Ce n’aurait pas été un drame, pour moi, que de reconnaître une maladresse et amender ma formulation en conséquence, mais, bien sûr, je préfère pouvoir exprimer exactement ma pensée, au poil près.

    Parce qu’il me faut pour cela avoir atteint vingt points sur le ci-présent site, je ne suis actuellement techniquement pas en mesure de noter votre réponse comme la meilleure à mes doutes, mais votre subtilité, Tara, mériterait cette reconnaissance.

    Je suis un étranger, mi-Florentin mi-Budapestois, pas peu fier d’écrire un roman en langue française après tant de découragements surmontés uniquement par les mérites de professeurs de français (Mme Breit, Mme Rœck, Mlle Haus) qui à partir de la classe de 5e, au collège, ont réussi à me donner le goût de ses subtilités (dans Vercoquin et le plancton de Boris Vian, pour commencer). En classe de 6e, j’étais sur le point de totalement lâcher l’affaire.

    Mon roman, rédigé depuis le siècle dernier, fait désormais plus de trois mille pages et n’a jamais été présenté à un éditeur. Je suis en train de le remodeler de fond en comble afin de pouvoir un jour le tendre sans avoir à rougir de rien. Mon style oscille entre langage soutenu et franchement ordurier dans le but de rendre compte de la personnalité complexe du principal protagoniste. Me gardant d’abuser de néologismes, j’essaye d’être créatif dans mes tournures de phrase sans néanmoins basculer dans l’erreur pure et simple. Ce n’est pas facile, et c’est justement en raison de cette patente difficulté à ce faire que je suis ici : pour vous faire valider ou voir invalidées mes prises de risque grammaticales etc. Si je ne pourrai compter sur l’expertise de littéraires plus rompus que moi au maniement de la langue française (à cette adresse, ou sur d’autres sites en ligne bénéficiant pareillement du savoir de « grands maîtres » et d’ « amateurs éclairés »), mon expression se trouvera condamnée à être timorée — de crainte d’être fautive.

    Merci donc Joëlle, Dhumeau et Tara pour votre bienveillance. Comme je l’ai écris ailleurs sur ce fil ou le précédent, je suis conscient de devoir éviter de vous solliciter pour tout et n’importe quoi, car je ne suis pas le seul nécessiteux à fréquenter cette précieuse ressource, question-orthographe.fr.

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  • Maître Demandé le 31 mars 2020 dans Conjugaison

    La formulation qui me convient le mieux pour « réparer » ma phrase bancale « Il m’arrive de commencer ma journée à minuit, car je me serai couché à seize heures » est donc celle-ci, suggérée par Dhumeau : « Il m’arrivera de commencer ma journée à minuit, car je me serai couché à seize heures. » Encore merci. Je dévisage les progrès pourtant basiques qui me restent à faire rien qu’en tentant de maîtriser cette histoire de « concordance des temps », ce qui aurait dû être fait déjà en classe de 5e au collège, voire en 6e, voire au CM2.

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  • Maître Demandé le 31 mars 2020 dans Conjugaison

    Merci pour vos encouragements, Joëlle. Et merci pour votre disponibilité !

    Je viens de supprimer mes réponses superflues.

    J’ai compris mon erreur… Dans la phrase « Qu’est-ce qui se passerait si je ne m’y engageais pas ? », par manque d’attention, j’ai considéré « …je ne m’y engageais pas » comme la conséquence éventuelle de « Qu’est-ce qui se passerait… », alors que c’est bien évidement le contraire ! Quelle bourde ! « Ce qui se passerait » est la conséquence soumise à la condition « si je ne m’y engageais pas ». C’était pourtant évident. Merci de m’avoir tout de même répondu là-dessus.

    Encouragements et admiration aux informaticiens qui continuent à faire fonctionner ce site, et à tous ceux qui continuent à faire fonctionner la France malgré tout.

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  • Maître Demandé le 31 mars 2020 dans Conjugaison

    Merci, Joëlle et Dhumeau, pour vos réponses !

    Je pense que la meilleure solution, la plus proche de ce que je veux faire dire au personnage, est la tournure : « Il m’arrivera de me lever à minuit, car je me serai couché à 16h. »

    J’ignorais cette histoire de « concordance des temps », c’est-à-dire, si je comprends bien, de temps qui se combinent bien tandis que d’autres ne doivent pas se fréquenter. Au collège, je devais être trop occupé à éviter de faire trop de fautes d’orthographe…

    Si vous avez encore la patience, j’en profite pour vous soumettre cet autre problème de conjugaison :

    « Je voudrais que tous les carnets restés dans ma pièce soient détruits. Idéalement, brûlés. Peux-tu t’engager à cela ? »
    « Qu’est-ce qui se passerait si je ne m’y engageais pas ? »

    Encore une fois instinctivement, j’ai conjugué le verbe « s’engager » ainsi : « si je ne m’y engageais pas ». Alors que si j’avais réfléchi, étant donné qu’entre ici en jeu une condition, il me semble que j’aurais dû avoir recours au conditionnel. Mais « Qu’est-ce qui se passerait si je ne m’y engagerais pas ? » sonne affreusement mal à mes oreilles. Si vous me confirmerez que la forme « engageais » est ici la bonne, pourrez-vous avoir l’obligeance de m’expliquer succinctement pourquoi la conjugaison dictée par ma (la ?) raison est incorrecte ? Merci.

    NB : Je suis un magyaro-italien, je n’ai acquis la nationalité française que l’année dernière. J’ai appris le français, avec moult difficultés, de manière instinctive plutôt qu’analytique, ce qui me permet d’écrire votre langue (désormais également mienne) sans trop de fautes mais avec de fort pénibles incertitudes qui m’assaillent à tout bout de champ. J’essaierai toutefois de ne pas solliciter les membres de ce site sans que la réponse au dilemme rencontré ne me soit vraiment importante.

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  • Maître Demandé le 30 mars 2020 dans Question de langue

    PS : Il est vrai que dans ma phrase, une virgule après le mot « quand » serait la bienvenue. Je vais ainsi lui en attribuer une.

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