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Dans cette phrase, seul le pronom a la fonction de COD, le groupe détaché n’a pas de fonction grammaticale (seulement une fonction pragmatique / stylistique > emphase, mise en valeur, redondance…) du moins est-ce la position majoritairement partagée par les linguistes. Certains, éventuellement, accordent à l’élément détaché une équivalence de fonction avec le pronom. voir par exemple ici, page 374 pour quelques éléments de synthèse sur la question).
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C’est le cas de l’accord du participe passé suivi d’un attribut du COD (règle ici).
Dans le cas présent, le non accord me semble plus pertinent, puisque ce qui est trouvé, ce ne sont pas les choses, mais la proposition : que ces choses étaient magnifiques à dire.
J’aurais trouvé beaucoup de choses magnifiques à dire = J’aurais trouvé que beaucoup de choses étaient magnifiques à dire.(Néanmoins, même dans ce cas, l’accord se fait le plus souvent, ainsi que le mentionne le Robert.)
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Pour autant que se faire des clients est correct, oui il faut faire l’accord, puisque ce verbe est transitif et que le COD les mis pour ses fidèles clients est placé avant l’auxiliaire.
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La règle que vous évoquez vaut quand en est COD, par exemple :
– J’ai mangé des bonbons > Des bonbons, j’en ai mangé trois.
En mis pour bonbons est COD.Dans vos phrases, en n’est pas COD, mais COI :
– Faire / Tirer la conclusion de quelque chose (le COD est conclusion).
– Se souvenir de quelque chose.
Elle s’est souvenue de son voyage en Irlande > Son voyage en Irlande, elle s’en est souvenue.
En mis pour son voyage en Irlande est COI.
Le participe s’accorde avec le sujet (« elle »), parce que le pronom réfléchi n’a pas de fonction.– Même raisonnement pour Se sortir de quelque chose.
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On trouve quelques rares occurrences de xxx du doigt, avec xxx = gronder ou des synonymes, dans des textes du XXe ou antérieurs (davantage dans des textes du XXIe), sous la plume d’auteurs – il faut bien l’avouer – un peu obscurs. Si cette association n’est guère courante, elle ne parait pas absolument absurde : on peut bien, en effet, gronder en faisant les gros yeux et en agitant le doigt (il y a peut-être aussi une confusion avec menacer du doigt).
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Pas vraiment, c’est plutôt une erreur de logique : l’addition de choses qui ne peuvent l’être (oui j’ai bien compris qu’il s’agissait d’un calembour).
On ne peut additionner que des entités appartenant à la même espèce ou au même genre : le cheval A + le cheval B + le cheval C = les trois chevaux / Les trois équidés / Les trois mammifères / etc.
Le papier + le bol + le sucre = ensemble vide, ou bien prendre un terme hyper générique > les trois trucs / objets / choses.
Mais cette option est impossible dans notre cas (outre bien sûr le fait que le calembour tomberait l’eau), parce qu’il y a un être vivant, or truc, objet, chose sont des génériques d’inanimés. Vous pouvez écrire en phonétique les trois /so/ tombèrent pour conserver le jeu de mot, mais ça reste toujours parfaitement illogique.Vous avez ici un exemple de flou grammatical : on ne sait pas si le pronom l’ se rapporte à place ou à la proposition créer sa place.
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1) Dans chefs pâtissières, pâtissières n’est pas adjectif, mais substantif, rien de surprenant donc que le terme soit au féminin s’il s’agit de désigner des femmes. Quant à chef, il est épicène, même si la forme cheffe existe, ce qui donne donc au féminin singulier : la chef pâtissière, soit une série d’accords tout à fait réguliers.
2) Pour en rester à votre phrase, je déconseillerais le chez elles, même si je suis tout à fait persuadé que c’est un accord que l’on pourrait lire ou entendre. Néanmoins, je trouve que Les victimes rentraient chez eux, frotte un peu les oreilles.
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Les sources sont unanimes : en présence d’un pourcentage sans déterminant et d’un complément – dénombrable ou non (tous les exemples d’accord avec le pourcentage donnés par Grevisse sont associés à des compléments indénombrables) – , les deux accords sont possibles, mais celui avec le complément est semble-t-il le plus fréquent (d’après la BDL, l’Académie, cette source, mais Grevisse ne fait pas cette mention, ni cette source qui évoque l’intention du locuteur selon l’élément qu’il veut mettre en valeur).

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