Voici une réponse sur la règle : Festival du film court. La majuscule au premier mot.
et un exemple qui la respecte.

Cela m’évoque une approche littéraire critique fondée sur la notion de réception : un auteur émet un texte, une oeuvre…mais elle ne prend réellement sa signification que par la lecture (c’est la réception). Le lecteur – en fonction de ses attentes, de sa vision, de ses pré-requis – va donner une vie à l’oeuvre par son interprétation. On peut ainsi dire qu’il participe à son écriture.
Si vous aimez les théories, voici un lien. 

Le conditionnel exprime l’avis de manière moins affirmée : il vaudrait mieux, ce serait souhaitable,  on laisse la liberté de choix à l’autre.
La nuance entre « je veux » et « je voudrais » : c’est bien l’expression d’un souhait mais atténué au conditionnel.
De même, Pourriez-vous ouvrir la fenêtre ? figure une demande plus polie que « Pouvez-vous … » qui semble interroger sur les capacités.

Vous avez un exemple très connu au subjonctif imparfait ici. 
Je continue les recherches pour le temps composé. 

Pardon, c’est indirect libre que j’aurais dû écrire. Votre phrase n’est pas un discours  indirect ; c’est une subordonnée.
Par ailleurs, l’imparfait ne change rien, c’est bien un temps du récit. Regardez les brefs rappels du discours indirect libre que je vous ai donnés. 

Non, ce n’est pas exact.
Discours indirect libre : le père n’était pas content. Sa fille n’était pas rentrée à 20 heures ! De qui se moquait-elle ?
Alors la colère du brave homme éclata. Non ! Il refusait, il ne voulait pas aller la chercher partout dans la rue…

Voici un petit rappel  du discours indirect libre :
Il n’y a pas de verbe introducteur de parole.
Le discours indirect libre conserve du discours direct les points d’exclamation et d’interrogation, les mots marqueurs d’oralité. Il conserve du discours indirect l’absence du guillemets ou de tirets, les temps du récit et la troisième personne.
Le discours indirect libre permet d’accéder directement aux pensées d’un personnage
Élodie était surprise. Quoi ? Paul irait au cinéma sans elle ?

en même temps et dans le même temps sont synonymes, la première expression est selon moi plus correcte et moins insistante.

C’est plus affreux que tout.
Affreux : un adjectif attribut de « c' »
« Plus … que tout »  : un adverbe (plus) comparatif  amplifiant le sens du qualificatif affreux.
Plus affreux que tout :  syntagme adjectival 
La phrase complète: « c’est plus affreux que tout, plus affreux que tout », une hyperbole ?  – l’hyperbole serait plutôt une horreur absolue, ou le mal personnifié…
Tout dépend du contexte : « Perdre son portable est plus affreux que tout » est une hyperbole mais dire « Perdre un ami est plus affreux que tout » me semble exprimer un sentiment assez raisonnable…

Ils ont apprécié la façon dont nous avons interprété la chanson.
A part les fautes de frappe que j’ai corrigées, c’est correct. Les participes passés employés avec avoir sont bien accordés (apprécié / interprété : les COD sont après, donc on laisse ainsi).

Ceux qui parlent = est la conjonctive sujet ==> c’est un pluriel
se trouvent = le verbe au pluriel

Quand ceux qui parlent se trouvent en fait être des idiots.  (formule un peu lourde : je me trouve en fait être une idiote…)

MAIS

Il se trouve que ceux qui parlent sont des idiots. (formule impersonnelle/ plus appropriée).

Petite précision, moins lourd pour exprimer la surprise ou un fait inattendu  : « Cette personne se trouve être ma voisine » / « Ces personnes se trouvent être mes voisins ».