Au pluriel, j’aurais mis « toutes les tentatives » de vol ; qui a le sens de « la totalité ».

Voir ce lien
S’il accompagne un nom, “tout” peut être soit un déterminant soit un adjectif qualificatif. Si vous pouvez le remplacer par n’importe quel ou chaque ou encore chacun, il s’agit du déterminant, plus spécifiquement de l’adjectif indéfini.

• Je suis disponible à toute heure.

Dans cette phrase “toute heure” peut être remplacé par “n’importe quelle heure”. “Toute” est donc un déterminant qui s’accorde avec le nom féminin singulier “heure”. Vous devez l’écrire “toute”.

Personnellement, je n’estime pas cette virgule utile.
De même, la majuscule à histoire.
Attention à l’emploi du verbe « partager » : je partage avec vous cette critique.

Car j’estime qu’en histoire, il est toujours intéressant d’avoir une vision nuancée et objective des faits. 

J’ai fermé la bouche à moi = je me la suis fermée = accord avec le COD « la » placé avant dans le cas d’un verbe pronominal de sens réfléchi.
Moins élégant que « je me suis tue » mais bon…

Une femme écrira :
Je me suis vu confier la responsabilité, car le COD « me » placé avant ne fait pas l’action de confier (on est bien d’accord que son chef lui a confié des responsabilité ?)

Règle : quand le participe passé est suivi d’un infinitif, il s’accorde avec le complément d’objet direct placé avant lui si ce dernier fait l’action exprimée par l’infinitif :

Les acteurs que j’ai vus jouer. ? On accorde le participe passé avec le COD « que », mis pour « les acteurs », car ce sont bien ces derniers qui jouent.

Dans le cas contraire, c’est-à-dire quand le complément d’objet direct placé avant le verbe ne fait pas l’action exprimée par l’infinitif, le participe passé reste invariable :

La pièce que j’ai vu jouer. ? On n’accorde pas le participe passé avec le COD « que », mis pour « la pièce », car ce n’est pas cette dernière qui joue : elle est jouée !

Chère Tara, cela m’arrive aussi quotidiennement. Il est impossible d’identifier les votants. Toute personne ayant des badges en quantité suffisante peut donner des points négatifs.

En effet, c’est un peu brouillon car contradictoire :
une supposition est un préalable et une conséquence suit …

L’adverbe déjà a un rôle de renforcement ou d’insistance de l’affirmation dans votre phrase

Il n’est pas indispensable mais n’est pas fautif.

s’approprier est un verbe essentiellement pronominal qui s’accorde toujours avec le sujet.

À quoi pensez-vous ? une demande sur les idées qui vous occupent.
Que pensez-vous ? Plutôt à propos de quelque chose.
Ce sont deux demandes différentes.
Toutefois, je ne saurais vous dire comment tradui6 l’anglais.

Il n’y a pas une idée de comparaison dans votre phrase, ce qui aurait donné un rôle syntaxique à la virgule.
Dans cette phrase, il me semble que l’idée est bien d’un sujet pluriel : ce sont les deux « colère+tristesse » qui causent le désastre :
Sa colère additionnée à sa grande tristesse causèrent ce désastre.