Les deux sont possibles selon qu’il y a une ou plusieurs coulées, un ou plusieurs frottements.

Ce sont les plinthes qui sont posées, pas l’allure.

« Les plinthes d’allure correctement posées ».

Elodie a envoyé à qui ? à m’ qui est COI. Donc, pas d’accord.
« un message » est COD après le verbe, donc, pas d’accord.
« Élodie m’a envoyé un message… »

Tout varie en genre et en nombre lorsqu’il est placé devant un adjectif féminin commençant par une consonne ou par un h aspiré :

Elle sont toutes rouge de honte.  
Les serviettes toutes neuves.

Vous avez soutenu quoi ? que mis pour les missions. « que » est COD placé avant le verbe. L’accord se fait avec que c’est-à-dire avec les missions.

« Parmi les missions que vous avez soutenues ».

Qu’est-ce qu’on gagne ?

A) « Je crois « dans » la sinérité… » n’est pas correct.

Pour « je crois à » et « je crois en », la répartition des emplois n’est pas aussi tranchée qu’on peut le penser.. On peut croire en quelque chose, croire en la vie éternelle, par exemple, et croire à quelqu’un, croire à Jésus-Christ.

Croire à quelqu’un signifie tenir pour certaine son existence, admettre son pouvoir : Il croit aux revenants. Il ne croit ni à Dieu ni à Diable.

Croire à quelque chose signifie être convaincu de la réalité, de l’efficacité de cette chose : Croyez à mes sentiments dévoués. Je ne crois plus à ses promesses.

Croire en quelqu’un ou en quelque chose marque un abandon plus confiant que croire, croire à, une adhésion, souvent du cœur, pouvant entraîner un comportement moral ou même religieux. Je crois en Dieu, je crois en l’homme. Croyez à mon entière confiance et en ma fidèle amitié.

B) Votre phrase est parfaitement construite.
On peut très bien rêver quelque chose et dire « les vacances qu’il a rêvées »

Joelle.
C’est un reproche ?

Je n’avais pas lu votre réponse.
Je suis handicapé et j’écris très lentement. Veuillez m’en excuser.

J’ai à peine fini mon texte que vous ou d’autres avez déjà répondu et je n’ai pas le temps de m’en apercevoir.

Votre phrase est plutôt lourde. Ne dites pas « un domaine envers lequel j’ai toujours possédé une forte affinité » mais plutôt « un domaine pour lequel j’ai toujours eu de l’affinité ».

De plus affinité suppose une sympathie, une communauté de goûts entre deux êtres. Le mot est inadapté ici.

Je vous propose :

« Ainsi, j’ai décidé de poursuivre dans un domaine pour lequel j’ai toujours eu une forte attirance : le management et la gestion des entreprises, et plus particulièrement les services comptables. »

Qu’est-ce qu’il vous gêne dans cette phrase ? Tout va bien…