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  • Maître Demandé le 17 octobre 2016 dans Accords

    Czardas,

    M’avez-vous quitté sur la question du coût exprimé en choses abstraites ?

    Cela m’évitera de cliquer à intervalles réguliers sur le sujet…

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  • Maître Demandé le 17 octobre 2016 dans Accords

    Cette virgule après  <c’est elle,> m’a laissé penser que la phrase véritable était :

    [c’est elle] parmi les femmes que j’ai regardé*, …

    …avec donc « elle » le COD, et « parmi les femmes » un GN attribut du COD.

    Vous êtes dures, mais ainsi soit-il.

    Merci, et bonne journée

     

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  • Maître Demandé le 16 octobre 2016 dans Question de langue

    Je vous comprends à cause de l’expression « développer son réseau social ».

    Dans cette expression, on ne fait pas uniquement référence aux dits « réseaux sociaux (du web) », mais à l’ensemble des relations sociales que l’on peut développer, généralement dans un objectif professionnel.

    Cette dernière définition ne tiens qu’à moi, mais je la retrouve sur le site du pole-emploi (« Bâtir et développer son réseau. […] Réseauter devient incontournable, que la démarche soit physique ou virtuelle.« ). 

    Mes recherches dans le dictionnaire se sont avérées infructueuses pour les « réseaux sociaux » et l’expression « développer son réseau social ».

    Je n’ai donc aucune réponse officielle à vous apporter, mais quelques réflexions :

    1) Il est fréquent qu’un terme puisse avoir plusieurs définitions qui flottent autour d’un noyau commun.

    Premier exemple qui me vient à l’esprit :
    – Cet homme avait un chapeau.
    – L’homme  est plus intelligent que l’animal.

    2) Les termes s’entrechoquent car la réalité qu’ils décrivent est elle-même en plein mouvement.

    Nous allons peut-être vers un monde où chaque réseau social (sens large) sera soutenu par un réseau social (sens outil informatique).

    3) Je doute que nous soyons suffisamment matures sur ces sujets pour fixer les termes définitivement.

    Bonne soirée à vous

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  • Maître Demandé le 15 octobre 2016 dans Général

    Personnellement j’aime les phrases courtes.

    J’écrirai :

    Nous avons récemment fait l’acquisition d’une maison.
    Je prends soin de la restructurer depuis quelques semaines déjà.

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  • Maître Demandé le 15 octobre 2016 dans Général

    Je vois des éléments à ajouter 🙂

    Il y a une différence entre la greffe botanique (action ancestrale), et la greffe médicale (usage relativement nouveau pour les organes vitaux).

    En botanique, une greffe ressemble à ça :

    (histoire que l’on soit bien d’accord)

    Il y a rien à redire sur la préposition « sur » dans cet usage. On la ressent bien.

    La  greffe médicale est une action différente. Attention ,maintenant :

    Le terme précis pour « une greffe d’organes vitaux (cœur, poumon…) » c’est une transplantation.

    En revanche, on greffe des tissus, des cellules, de la moelle osseuse…

    Et devinez quoi ? On transplante [quelque chose] dans [quelque chose], ou on transplante [un organe d’un individu] à [un autre].

    Vous voyez où je veux en venir ?

    Quand on dit : « Il s’est greffé à notre équipe », on veut dire : « Il s’est transplanté (lui-même) à notre équipe »

    C’est un usage nouveau, à l’image de la pratique médicale. C’est non-reconnu, mais pas absurde.

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  • Maître Demandé le 14 octobre 2016 dans Général

    1) Méthode « dictionnaire » :

    Il est intransitif.

    2) Méthode « astuce »

    Le verbe implique obligatoirement une préposition « de », quel que soit l’usage qu’on en fait.

    Il diffère de quelqu’un.

    On n’écrit pas : Il diffère quelqu’un.

    Il est donc intransitif.

    3) Méthode « Décortiquons le sens »

    Phrase : Il diffère de son frère.

    On ne peut pas écrire (ni penser) : Son frère est « différé ».

    L’objet de l’action « différer » (son frère) n’acquière pas une propriété quand l’action s’exécute.

    Exemple avec un verbe transitif :

    Je dérange mon frère.

    L’objet de l’action a acquis une nouvelle propriété. :

    Mon frère est dérangé.

    Le verbe est transitif : il transmet une nouvelle propriété à son objet.

    P.S. : Ne vous fiez pas à mon statut de Maître.
    Je suis débutant.

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  • Maître Demandé le 14 octobre 2016 dans Général

    Je doute qu’il soit correct de posséder des dates, cela me semble familier.

    Exemple : « Donnez-moi vos dates, et on verra ça. ».

    Je privilégierais la phrase :

    Quelles sont les dates  de vos vacances ?

    La forme « des vos » n’existe pas.

    PS : Ne vous fiez pas à mon statut de soi-disant « Maître ».
    Je suis débutant.

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  • Maître Demandé le 14 octobre 2016 dans Question de langue

    Vous avez deux questions : une sur la validité de la forme, et l’autre sur la définition.

    1) Pour répondre à la première question, il n’y a rien de tel que l’aide d’un dictionnaire :

    http://www.cnrtl.fr/definition/

    Vous constaterez ci-dessous que l’expression « entrer en résonance » est reconnue.

    Le dictionnaire donne une définition, mais il n’est pas toujours pédagogue.

    2) Pour apprendre un sujet quelconque,  vous pouvez compter sur la qualité des introductions des articles de Wikipédia, qui sont accessibles par votre moteur de recherche favori.

    Bien à vous,

    Bonne journée.

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  • Maître Demandé le 13 octobre 2016 dans Accords

    Le difficulté majeure me semble de deviner qu’il s’agit d’un verbe essentiellement pronominal.

    C’est simple avec un verbe comme « (s’)apercevoir » :
    1- Il y a un premier sens très pragmatique : la vue.
    2- Et un sens abstrait : se rendre compte.

    On distingue immédiatement l’un de l’autre, et dès lors, on peut déclarer : c’est une forme irréfléchi.

    Dès lors, il n’y a donc aucun besoin de rechercher le caractère transitif ou non du verbe (et tout ce qui s’en suit…)

    Pour « (se) tenir », ce n’est pas la même histoire :

    1- Il y a un sens très pragmatique. Tenir un bâton.
    2*- Et des sens abstraits à n’en plus finir : Je tiens à toi. Je tiens mes promesses. Je tiens à rester sage…
    3- Et la forme pronominal abstraite dont on parle : « se/s’en tenir à »

    Comment s’assurer que « se/s’en tenir à » n’est pas la simple déclinaison pronominale d’une des formes abstraites et non-pronominal du verbe (2*) ?

    La raisonnement est démesurément complexe pour un seul mot, au sein d’une phrase, d’un paragraphe, d’un article de presse.

    J’abandonne. Bonne soirée à vous.

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  • Maître Demandé le 13 octobre 2016 dans Question de langue

    Bonjour Silvy,

    Les deux graphies du verbe sont acceptées :
    http://www.cnrtl.fr/definition/r%C3%A9%C3%A9crire

    Bonne journée

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