Test.

« Communiquant » est un participe présent, cad une forme particulière du verbe communiquer.
Il est invariable. Donc vous ne pouvez pas avoir de chambres communiquantes. On communique avec, entre ; on communique quelque chose : Ces trois chambres, communiquant avec la terrasse, communiquant ente elles…

Communicant est un  adjectif. Vous pouvez l’accorder. Vous pouvez construire une phrase avec le verbe être : Ces trois chambres sont communicantes.

Ma question serait : comment cherchez vous ?

Moi, je clique : https://www.google.com/search?q=communicant+communiquant&ie=utf-8&oe=utf-8&client=firefox-b

 Cela étant, il faut aussi connaître la différence entre participe présent et adjectif verbal.

J’applique :
C’est une formation qui vous prend aux tripes.
C’est une formation qui prend du temps.
Je doute que ce soit une formation qui prenne du temps.

Les parents autorisent quoi/qui  ? les enfants ;

Donc, enfants = COD*. Donc utiliser « que ».

Dont est la forme ramassée de « de qui, de quoi ». Souvent  un COI, parfois un complément du nom ou de l’adjectif, jamais un COD.
C’est le fils dont je te parle. COI de parle
C’est le fils dont je suis proche / de qui je suis proche. (compl. de l’adj. proche
C’est le fis dont j’ai gardé le chapeau. (compl. du nom chapeau

————–
*enfin, c’est un raccourci. Le COD, c’est « que ».

« Je pense que Joelle et Jean Bordes a raison. »
Humour, ou coquille ?

De votre part, je pense à humour.
Mais c’est parce que je pense que calme ≠ respect.

Vous écrivez : « Ils sont partis confiants et revenus déçus. Elle en est revenue heureuse. ET « Il ne s’agit pas d’un verbe d’action disant qu’ils sont revenus concrètement, suivi d’un adjectif disant comment ils étaient. Ce verbe opère ici réellement une transformation d’état sur son sujet »

Je suis très étonné de votre analyse.  J’aurais pensé qu’il y avait une ellipse de « étant » dans « Ils sont partis confiants « .

Le Grevisse (§242, d.) est de mon coté, mais signale que des grammairiens seraient du vôtre.
 » Les grammairiens voient souvent un attribut dans des phrases comme les suivantes : Il part furieux. — Il plane cygne après s’être envolé corbeau (Hugo, Châtim., VI, xiii , 2). — Il mourut en brave.
Cette façon de voir nous paraît discutable. Le verbe a ici un sens précis, qui est son sens ordinaire et qui reste pareil si l’on supprime ce qui le suit. [Etc.]

Donc, je garde mes listes de verbes d’état. C’est beaucoup plus simple.

Question délicate !

A priori, on ira vers le pluriel, car il y a deux sujets : Le calme et le respect des habitants sont une priorité…

On peut toutefois soupçonner une ellipse : « Assurer le calme et le respect des habitants est une priorité  … »
Mais il eût mieux valu ne pas la faire.

J’opte donc comme vous pour un pluriel ; ou d’être clair avec « assurer ».

Note : en revanche, vous parlez de sujets neutres. Qu’entendez-vous par là ? D’une part, il s’agit de noms de genre masculin,  et, d’autre part, la « neutralité » n’a pas d’impact sur les accords.
Mais peut-être vouliez-vous dire qu’une proposition sujet était neutre ?

Comment distinguer un participe présent d’un adjectif verbal ?

J’ai deux ou trois clés.
1. S’il y a un COD après, c’est forcément un verbe (donc un p. présent).
2. si je peux le féminiser, c’est que c’est un adjectif : la corneille, entendante ? (gloups !)
3. Si je peux mettre un gérondif, c’est que c’est un p. présent : Le corbeau, en entendant le renard parler…

Errare humanum est.

J’ai découvert un jour avec jubilation une coquille dans un livre de Maître Capelovici : « admnistration « .
Certes, c’était en note de bas de page.
Mais j’ai eu la banane toute la journée.