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  • Grand maître Demandé le 30 mars 2018 dans Accords

    Bonjour, d’un point de vue strictement grammatical, le sujet est type donc il faudrait accorder les adjectifs attributs avec lui (masculin singulier). Cependant avec les mots comme type de, espèce de, sorte de, genre de, il est admis de faire l’accord avec le nom complément (qui est alors considéré comme le sujet réel, type, sorte, etc. n’étant qu’un déterminant). Vous trouverez ici des informations plus détaillées sur ce sujet.

    Vous pouvez donc choisir de faire l’accord avec l’un ou l’autre selon votre goût…

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  • Grand maître Demandé le 30 mars 2018 dans Général

    Bonjour Emma, votre raisonnement est correct et justifie le pluriel, mais on peut aussi arguer qu’il s’agit de la sécurité de l’enfant (vu comme une classe d’individus) et le laisser au singulier. De fait, une recherche des deux formes sur Google donne une quasi-égalité (ce qui n’est bien sûr pas un en soi un critère absolu mais donne quand même une bonne indication) avec un très très léger avantage (3%) pour le pluriel, qui est aussi l’option que je choisirais.

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  • Grand maître Demandé le 30 mars 2018 dans Accords

    Bonjour Tony,

    1) remplacer le participe présent par qui + indicatif présent (comme restant = qui reste) n’est pas un bon test pour savoir s’il s’agit ou non de l’adjectif verbal car cela est toujours possible et non significatif (faites par exemple le test avec des travaux fatigants). Il vaut mieux le remplacer par qui est/sont en train de + infinitif. Dans la deuxième phrase, considérer restant comme participe présent n’est pas faux grammaticalement mais sonne bizarrement si on applique ce procédé et donc l’accorder comme un adjectif est préférable.

    2) il n’y a pas une irrégularité dans ce dossier s’emploie non pour désigner une irrégularité précise mais pour insister sur le fait qu’il n’y en a pas une seule.

    3) dans la deuxième phrase, le COD est bien d’appliquer donc il ne faut pas accorder promis

    Cette réponse a été acceptée par Tony. le 30 mars 2018 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 30 mars 2018 dans Accords

    Bonjour Ingrid, oui, il s’agit ici de la forme réfléchie (se présenter). À la question vous avez présenté qui ? la réponse est vous(-mêmes), le pronom vous est COD et il est placé avant le verbe, donc il faut faire l’accord en genre et en nombre : après vous êtes présentés (si le groupe comprend au moins un homme), après vous êtes présentées (s’il n’y a que des femmes).

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  • Grand maître Demandé le 29 mars 2018 dans Accords

    Bonjour Tony,

    1) On informe quelqu’un de quelque chose, donc on lui a informé n’est pas correct, il faut dire ou écrire on l’a informée ou on l’en a informée (si c’est une fille).

    2) On peut mettre mensonge au singulier pour évoquer la notion abstraite du mensonge (comme vivre dans le mensonge) ou au pluriel si on veut parler des actions de mentir (des mensonges à répétition).

    3) On ne peut pas répondre d’une façon générale, cela dépend dans quel sens le fait que est employé. Dans la première phrase, il s’agit de la locution du fait que qui a le sens de parce que et ne doit donc pas être suivie du subjonctif mais de l’indicatif : elle refuse du fait qu’il y a peu de débouchés. Dans la deuxième, on pourrait remplacer le fait que par simplement que et ici c’est le subjonctif qui s’impose : (le fait) que tu viennes ou non n’y change rien (il ne faut pas de virgule avant n’y change rien).

    Et un petit rappel : on ne dit pas utiliser du subjonctif ou du pluriel ou du futur mais le subjonctif, le pluriel, le futur.

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  • Grand maître Demandé le 29 mars 2018 dans Question de langue

    Bonjour Cyril, pour moi c’est l’ordre des arguments dans votre phrase qui n’est pas logique. L’adverbe particulièrement devrait introduire quelque chose qui représente un élément particulier de ce qui précède, or ici c’est le contenu des cours qui est un élément de la licence et non l’inverse. J’écrirais donc plutôt : Voyant que la poursuite de ma licence et particulièrement le contenu des cours ne correspondaient pas à mes projets futurs, j’ai décidé, etc. (et ici il n’y a pas à répéter que).

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  • Grand maître Demandé le 29 mars 2018 dans Conjugaison

    Bonjour Dylan, votre phrase était correcte sur le plan de ce que l’on appelle « la concordance des temps » (pour l’orthographe, c’est une autre histoire… 😉 ), c’est le raisonnement de votre interlocuteur qui est faux. Vous dites : je lui disais [quand tu es arrivé] que je n’aimais pas [quand tu es arrivé] la personne que j’étais [quand tu es arrivé]. Les trois verbes à l’imparfait (disais, aimais, étais) décrivent trois actions qui se passent au même moment dans le passé. L’autre personne vous dit : « Tu parles au passé » et en déduit que « maintenant tu t’aimes ». Et c’est là qu’il commet une double erreur : premièrement, quand se situe ce passé ? Quand il est arrivé, il y a disons à peine une minute (le temps qu’il vous interrompe pour vous demander de quoi vous parlez ). Non, sérieux, pense-t-il réellement qu’une personne qui ne s’aimait pas il y a une minute doive forcément s’aimer maintenant ? Et plus généralement, même si la conversation que vous rapportiez s’était tenue il y a un mois, ou un an, ou dix ans, ça ne change rien à l’affaire : ce n’est pas parce qu’une chose était vraie dans le passé qu’elle est fausse dans le présent !!! Donc rassurez-vous, sur ce coup-là celui des deux qui est bidon ce n’est pas vous… 🙂

    Concernant l’orthographe, je pense que c’est en partie une question d’attention. Visiblement vous connaissez la conjugaison de l’imparfait puisque votre premier verbe (je parlais) est correctement écrit. Vous auriez donc pu écrire de la même façon je lui disais que je n’aimais pas. Révisez aussi le présent (tu parles, tu t’aimes avec un ‘s’). Et quelques tournures comme c’est moi qui suis, c’est nous qui sommes, etc.

    Cette réponse a été acceptée par DylanNaronfen. le 30 mars 2018 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 28 mars 2018 dans Accords

    Bonjour Tony,

    1) ce n’est pas une question d’accord ici, la loi étant au singulier. Il s’agit de savoir si l’adjectif antiterroriste au singulier doit s’écrire avec ou sans ‘s’. Par acquit de conscience, je viens de consulter le Petit Robert et le Petit Larousse qui ne connaissent que l’adjectif antiterroriste. Il faut donc bien écrire une loi antiterroriste (et des lois antiterroristes).

    2) Simone Veil a toute sa vie mené le combat pour les droits des femmes, elle a mené une vie de combat (le pluriel serait également correct si l’on considère qu’elle a mené plusieurs combats mais ne s’impose pas). Note : il aurait mieux valu (et non fallu).

    Un régime de faveur, un traitement de faveur : ici de faveur est une locution figée qui signifie obtenu par faveur (au singulier,  décision qui avantage quelqu’un : faire une faveur, solliciter une faveur)

    3) la caste politique (politique qualifie la caste) ou la caste des politiques (on parle d’une caste en particulier, celle qui rassemble tous les hommes politiques) ou une caste de politiques (une certaine caste, qui rassemble des hommes politiques, mais pas nécessairement tous). Mais pas la caste de politiques, donc.

    Cette réponse a été acceptée par Tony. le 28 mars 2018 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 28 mars 2018 dans Conjugaison

    Bonjour Xalef, ce type de verbes exprimant un doute (ou la levée d’un doute) peuvent être suivis de l’indicatif ou du subjonctif : vérifiez que votre ceinture soit bien attachée / est bien attachée, donc les deux formes sont théoriquement possibles. Toutefois après s’assurer que j’aurais personnellement une préférence pour l’indicatif (qui marque un plus haut degré de confiance dans le fait dont on veut s’assurer) : … afin de m’assurer que celui-ci vous est bien parvenu.

    Par contre j’aurais une réserve sur votre formulation dans la mesure où ce n’est pas le fait d’envoyer une deuxième fois votre message qui vous permettra d’être sûr que le destinataire l’a reçu. Ne préféreriez-vous pas […] de vous faire parvenir à nouveau mon e-mail au cas où le précédent ne vous serait pas parvenu (et éventuellement ajouter et vous saurais gré de me confirmer la bonne réception de celui-ci ? — à moins bien sûr que vous ne craigniez de paraître trop insistant au risque d’agacer votre correspondant…).

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  • Grand maître Demandé le 28 mars 2018 dans Général

    Bonjour Yukio, on permet quelque chose (COD) à quelqu’un (COI). Donc vos années de Première et de Terminale ont permis à vous d’acquérir (et non permis vous). Le pronom m’ est ici COI (le COD est d’acquérir), il ne faut donc pas faire l’accord, même si la personne qui parle est une fille : Mes années de Première et de Terminale m’ont permis d’acquérir

    Au passage, on peut rappeler que pour la même raison, même si l’on est une femme, il faut toujours dire je me suis permis de… (et non je me suis permise de... qui est une faute que l’on rencontre très souvent).

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