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À mon sens, si « absoluité » ne figure que dans le Grand Robert (réputé pour accepter tout et n’importe quoi…) c’est que le terme n’existe pas, et donc ne s’emploie pas.
Maintenant, je rejoins tout à fait Joëlle et Tara, votre phrase aurait tout à gagner si vous utilisiez des tournures plus simples, et alliez droit au but, sans circonlocutions.
« je peux admettre l’idée que ma vérité puisse ne pas être nécessairement représentative » : redondance de l’incertitude, au lieu de « je peux me tromper »…
D’autant plus que, même si l’on assène ses vérités, on peut se tromper, puisqu’il y a autant de vérités que d’individus sur terre.De plus « avoir la foi » signifie « croire en Dieu ».
Dans ce cas, nulle « vérité », ou alors « très très relative » plutôt que « absolue « . c’est évident, puisqu’il s’agit de croyance.En ce qui me concerne, j’ai la foi, mais je peux comprendre (plutôt que « admettre ») que d’autres ne croient pas en Dieu.
J’ai la foi, mais je peux admettre que je ne suis pas forcément représentative de la jeunesse actuelle.
J’ai foi en ce projet, mais je peux comprendre les doutes des autres.- 1246 vues
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Mary,
C’est évidemment l’adjectif « influent » qui convient.
Un élément influent –> un élément qui influe sur…
N’en déplaise à Marcel, « influençant » n’est certainement pas un adjectif (l’adjectif « influençant » n’existe pas), mais le participe présent du verbe « influencer ».
Dans ce cas, vous voyez bien que la tournure ne serait pas correcte.- 2958 vues
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Avalanche de votes négatifs…. quelqu’un a une folle envie de se défouler ?
Xalef,
Votre nouvelle tournure de phrase ne change pas grand chose, à mon sens c’est votre « niveau de rémunération » qui ne convient pas et nous empêche de vous donner des réponses catégoriques.
Il existe plusieurs « niveaux », plusieurs taux, les salaires sont calculés en fonction de multiples critères.
Encore une fois, ce n’est pas le niveau qui est proposé.
« Sont situées » ne convient pas non plus.
Quand vous n’arrivez pas à trancher c’est bien souvent que la tournure n’est pas bonne. Dans ce cas, mieux vaut ne pas s’entêter et changer de tournure.Ma proposition :
Les prétentions salariales sont supérieures aux rémunérations proposées.- 838 vues
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Electra,
La réponse de Joëlle est très claire, « il en va » ne convient pas ici, pourquoi voudriez-vous que la règle soit différente d’une phrase à l’autre ?
C’est « il y va / il y allait de sa vie » la seule tournure possible pour les deux phrases.- 933 vues
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Je vous comprends Mimi, c’est un véritable casse-tête.
Pour répondre à votre nouvelle question, avec vos deux nouvelles phrases :La police contre laquelle ils se sont battus / les chiens se sont battus / elles se sont battues
Je crois que vous vous compliquez la vie. Ils se sont battus, point.
Que ce soit l’un contre l’autre, contre la police, contre d’autres gens ne change rien, on accorde avec le sujet.
Les enfants se sont emparés de ces jouets / les fillettes se sont emparées de tous les déguisements
Le verbe « s’emparer » ne peut pas avoir de COD (on s’empare de quelque chose), on accorde avec le sujet.- 1922 vues
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Mimi,
C’est justement développé dans l’article dont je vous donne le lien :
Les verbes pronominaux se conjuguant avec l’auxiliaire « être », leur participe passé s’accorde le plus souvent avec le sujet :- Elle s’est évanouie.
- Ils se sont enfuis.
Certains verbes pronominaux peuvent pourtant avoir un complément d’objet direct. L’accord du participe se fait alors avec celui-ci, à condition qu’il précède le verbe :
- Ils se sont lavés. ? Le COD est le pronom réfléchi « se », placé avant le verbe : on accorde le participe passé avec lui.
mais
- Ils se sont lavé les mains. ? Le COD est « les mains », placé après le verbe : on n’accorde pas « lavé ».
Le participe passé d’un verbe pronominal reste invariable quand le pronom réfléchi est objet indirect :
- Ils se sont parlé, car on parle à quelqu’un.
- Elle s’est permis de prendre la parole, car on permet quelque chose à quelqu’un.
De même, le participe passé des verbes « se plaire », « se complaire », « se déplaire » et « se rire » reste invariable :
Elle s’est plu à l’agacer.
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Ce n’est pas le niveau qui est proposé, ce n’est pas non plus la rémunération.
Je vous propose :
Le niveau des rémunérations proposées / des salaires proposés en entreprise a beaucoup baissé ces dernières années.- 838 vues
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Mimi,
Vous vous posez les mauvaises questions, car dans vos exemples, il s’agit de l’accord du PP avec l’auxiliaire « être » : dans ce cas l’accord se fait avec le sujet !
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Votre phrase est plus que bancale en effet.
« Pourquoi » ne convient pas.
On emploiera cette tournure par exemple ici :
Ce métier, c’est ce pour quoi je suis fait.
En d’autres termes « c’est pour ce métier que je suis fait / c’est celui pour lequel je suis fait ».- 1072 vues
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Vous écrivez « mutuellement« , ce qui signifie qu’il y a au moins deux personnes (on s’accepte l’un l’autre / les uns les autres), et également » nous sommes« , marque du pluriel, donc, sans aucun doute « pour ce que nous sommes en tant qu’individus« .
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