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Tara,
Vous m’étonnez beaucoup en écrivant « Cette idée que, pour trouver le sujet il faille se demander qui ou quoi fait l’action me gêne beaucoup. »C’est pourtant bien la règle, et que ça vous gêne ou non n’y change pas grand chose.
Il s’agit du b-a-ba de la construction d’une phrase…Voici ce qu’on trouve dans tous les manuels de grammaire (L’article intégral est ICI ) :
On appelle « sujet », le mot qui représente la personne, ou l’animal, ou la chose, et qui fait l’action, qui existe, ou qui est dans l’état exprimé par le verbe.Pour trouver le sujet d’un verbe on se pose, avant ce verbe, la question :
« qui est-ce qui… ? » pour les personnes,
ou
« qu’est-ce qui… ? » pour les choses, les animaux, etc.
Par exemple :
Pascal étudie l’anglais….Qui est-ce qui étudie l’anglais ? = Pascal ! (donc Pascal est le sujet)
La Terre est ronde….Qu’est-ce qui est ronde ? = La Terre ! ( donc la Terre est le sujet)- 1009 vues
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Votre nouvelle question :
Dans une phrase c’est possible d’avoir deux compléments différents ?Oui, bien sûr, une phrase peut contenir plusieurs compléments circonstanciels :
CC de temps / de lieu / de manière / de but / de cause, etc.
Voir ICIPar exemple :
Ce matin-là, dans le champ du voisin, on a trouvé un petit hérisson blessé, mordu par le chien, qui voulait seulement jouer.- 1009 vues
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1 / On se passionne pour quelque chose.
On se perd dans la contemplation de…
Votre construction est maladroite en effet, et cela nuit à la compréhension de la phrase.
Ma suggestion :
Prétendant ses parents décédés brutalement, désormais il s’est pris de passion pour son futur héritage, qu’il se délecte à contempler.2 / Accord avec le sujet (qui est au pluriel) donc au pluriel.
3 / L’Académie préconise « face à face » sans traits d’union.
« En face à face » ne se dit pas, supprimez le « en ».
À mon sens on ne « dit » pas des chapelets, on les « égrène« .
Et puisqu’il y en a une dizaine, oui, le pluriel s’impose.
Ma suggestion :
Nous priions face à face en égrenant une dizaine de chapelets.Cette réponse a été acceptée par Marisa. le 8 février 2023 Vous avez gagné 15 points.
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Oui, tout à fait correct :
Quelle que soit la cause –> pour quelque cause que ce soit- 1816 vues
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Pour déterminer le sujet d’un verbe, on se pose la question « qui fait l’action exprimée par le verbe ?« .
Dans votre phrase, qui fait l’action d’arracher ? C’est la femelle, qui est donc bien le sujet du verbe.« Aux premiers jours de l’été » ne comporte pas de verbe. C’est simplement un groupe circonstanciel de temps, et il répond à la question « quand ? à quel moment ?« .
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Vous ne diriez pas « après que vous étiez parti » mais plutôt « après que vous êtes parti » n’est-ce pas ?
Le seul bon choix est le passé composé :
Après que vous avez quitté les lieux, l’assemblée s’est déchaînée.Maintenant, « il eut été » plus léger d’écrire « après votre départ » ;°)
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Thomoios,
Vous confondez peut-être avec les tournures à l’impératif, comme « donnes-en un peu à ton frère / gardes-en pour toi ».Voici la règle (Français facile)
Attention à l’euphonie, ce trouble-fête de la conjugaison :
Si, verbe + en ou y, on doit garder le « s » (ou ajouter un « s » à ceux qui n’en ont pas déjà).
Ex: Discutes-en avec tes voisins – Vas-y, raconte (impératif : va)Si, verbe + en ou y + un verbe à l’infinitif, il faut impérativement supprimer le -s- et ne pas mettre de trait d’union, ou parfois mettre un -t- euphonique.
EX.: Alors, va faire fortune si tu veux ! Va-t’en d’ici ! Vas-y !Les formules « vas-en » ou « va-t-y« ne sont pas correctes en français.
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1 L’évènement est reporté à une date ultérieure / sine die
2 Je crois comprendre que le français n’est pas votre langue maternelle, et peut-être que « lever son genou du cou » est un calque d’une expression en anglais ?
En tout cas, en français elle ne signifie pas grand chose. On dira plutôt « cesser d’étrangler / oppresser / cesser de harceler la France » mais tout dépend de ce que vous voulez dire, vraiment.3 il faut recentrer le débat sur un certain nombre de problématiques essentielles
4 Ce qui a des répercussions sur la vie des Anglais
IMPACTER / Impacter sur (au secours !)
Ne parlons pas du Larousse, ni du Robert, qui acceptent beaucoup de choses, et souvent à tort.
« Impacter » n’est pas une forme familière, c’est bel et bien un barbarisme.
Voici ce qu’en dit l’Académie :
Une forme verbale fautive Impacter a été créée sur le substantif Impact. Or l’impact est le point de chute d’un projectile et ne doit pas s’employer au sens d’ « effet », de « conséquence », de « résultat ». Rien ne justifie donc la création et l’usage d’Impacter.
On ne dira pas « la crise impacte l’activité économique, impacte la vie quotidienne, impacte la rentabilité. »5.Nous n’avons pas d’échanges avec les puissances étrangères, nous n’en discutons avec aucune d’elles
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Parlotte,
Désolée mais je ne suis pas d’accord avec vous, ni convaincue par votre démonstration.
De devoir travailler, ce n’est pas le pire, c’est d’être mal payé qui me dérange.
Non, pas d’accord. On dira plutôt : Devoir travailler… c’est être mal payé qui….
De se convaincre qu’on aime son travail, ça peut aider à le supporter.
Non, pas d’accord. On dira plutôt : Se convaincre qu’on aime son travail aide à le supporterOn dit bien « Travailler c’est trop dur, et voler c’est pas beau, demander la charité….. »
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Coucou Nonobstant,
Je sens que ça va vous énerver, je reviens sur l’emploi abusif du subjonctif :
Je vérifie qu’il n’y a pas de bombes (et non pas « qu’il n’y ait pas »)
Je vérifie qu’ils ne sont pas dangereux (et non pas « qu’ils ne soient pas »)
Je vérifie que les sacoches sont vides (et non pas « soient vides »)Quelques autres impropriétés dans votre texte :
L’amour de cette dame porte sur le pain que son travail lui permettra d’acquérir » : la tournure est très maladroite, ou le verbe mal choisi.À noter que vous n’avez pas besoin de mettre « pain » entre guillemets (et l’apostrophe ne peut pas se substituer aux guillemets !)
De plus, le verbe « pâtir » est intransitif, on pâtit de quelque chose.J’ai bien compris que votre personnage se complaît dans le style pompeux et les tournures alambiquées, mais elles n’aident pas à la compréhension, et vos phrases gagneraient beaucoup en qualité, si vous les allégiez un peu.
Alors pour répondre à votre question, pas de « de » dans votre phrase.
Ma suggestion :
Il est clair que se convaincre qu’on aime son travail permet de moins souffrir à la tâche.- 1555 vues
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