Bonjour Cathy33,

Il y a une explication tout à fait simple pour la question que vous vous posez : quand un titre commence par un article défini, le nom qui suit s’écrit avec une majuscule et s’il a un adjectif qui le précède, il s’écrira aussi avec une majuscule : Le Petit Chaperon rouge.

Votre exemple sert aussi à démontrer que l’adjectif derrière le nom n’a pas de majuscule. Ce sont des règles de typographie.  Peut-être aurez-vous aussi remarqué, dans le texte que vous avez lu, que le titre était écrit en italique ou alors entre guillemets.

J’espère que cela vous rend service.

Bonjour Coline,

Est-ce que « Postes divers » est un compte d’un excercice comptable ?

Je remercie Orthographiste pour confirmer ce que Joëlle a écrit. Cela tombe bien, car je viens de lire un écriteau sur une porte « Assurez-vous que la porte soit fermée ! » ; on aurait donc dû la formuler *Assurez-vous que la porte est fermée ! » ou « Assurez-vous que la porte se referme ! » ?

Joëlle,

Vous avez parfaitement raison, la phrase est affirmative et n’émet aucun doute, aucune supposition ! Je vous remercie. Prince a changé le début de la phrase et c’est cela qui fait la différence. Je vous remercie une fois de plus ! Cela veut dire que l’autre phrase à laquelle j’ai pensé aurait dû se formuler :
– on peut penser que le système est corrompu ;
– il se peut que le système soit corrompu.

Je vous remercie tous les deux.

Bonjour JBMorel1655,

Je signale que dans le cas où vous avez une phrase qui cite l’auteur à l’intérieur de la citation, comme celle que vous proposez : «On doit penser aux autres,» déclara-t-il, «car c’est notre devoir.» , il faudrait la rédiger ainsi : «On doit penser aux autres,  déclara-t-il, car c’est notre devoir.» (Les guillemets ne sont utilisés qu’une seule fois.)

En ce qui concerne la ponctuation, si vous avez une citation isolée, le point vient avant le guillemet (on le voit bien dans les exemples présentés par Prince),  alors que si vous les alignez – comme vous le faites dans votre texte – il faudrait le mettre  après le guillemet.

J’espère que cela vous rend service.

Bonjour Joëlle et Prince,

Je précise que la phrase n’est pas de ma production. C’est intuitivement que je me suis dit qu’il faudrait un subjonctif. La réponse de Joëlle me fait vaciller car si je dis « je pense qu’elle dit la vérité », phrase affirmative, il est évident qu’il faut un indicatif présent, un subjonctif ne va pas du tout ; alors que si je dis « je ne pense pas qu’elle dise la vérité », le subjonctif est de mise. Joëlle, je vais faire attention une prochaine fois lorsque je m’exprimerai de la sorte. Je ne pense pas que je fasse toujours attention à utiliser dans ce cas le subjonctif !

Pour le cas présent, je me dis que Prince explique mon intuition, à moins que je ne désire à tout prix avoir raison, et je dirais  » … On peut penser que le véritable système de communication du corps humain et du monde dans son ensemble ne soit pas basé sur la chimie… » Ou alors est-ce que les deux versions sont possibles ? Je prends un autre exemple : on peut penser que le système est corrompu – on peut penser que le système soit corrompu.

J’espère ne pas vous embêter. À force de lire, je me dis que la phrase proposée n’est pas réellement affirmative puisqu’il y a une négation « ne soit pas basé sur la chimie… » Auquel cas vous auriez raison tous les deux.

Bonjour Virginie,

Je vous propose :
Si votre phrase est liée à une autre phrase précédente,  vous pourriez écrire : Parce qu’on nour présente les choses de façon à ce que nous ne nous rendions compte de rien et que nous vivions « endormis ».

Si ce n’est pas le cas : La façon dont on nous fait voir le monde a pour but d’éviter que nous ne nous posions des questions et que nous soyons en quelque sorte « endormis ».

J’espère que cela vous rend service.

J’aime toujours vos interventions, Czardas.   L’explication de l’immuabilité des quatre points cardinaux est intéressante. Il me semble qu’il vous a échappé, mais je peux me tromper, que l’on écrit  XVI^e siècle.

Linée, à propos du nombre quatre, l’un des experts sur cette plateforme, Chambaron, explique qu’au Moyen Âge il signifiait quelques, plusieurs. C’est de là que viennent les expressions avec ce nombre.

Bonjour Lilasdps740,

Je peux vous apporter quelques éclaircissements : votre instinct est bon, vous avez écrit correctement « ne sauraient perdurer ».
Est-ce que la question que vous avez vue est celle-ci ?  

En ce qui concerne la procédure, il doit y en avoir plusieurs. Mais, là encore, vous avez eu raison de chercher à savoir si la question avait été traitée. Je suis passée par votre cas et j’ai procédé comme ceci ; j’ai repris la question et lui ai accolé un nombre. Dans votre cas, j’aurais mis « serait ou saurait. 2 ? ». Mais, il doit y avoir d’autres façons. Certaines personnes posent des questions à l’intérieur d’une question et parfois elles reçoivent des réponses ; cela n’a pas toujours été le cas pour moi.

Cela mis à part, il vous a échappé une ou deux petites choses :  Au préalable, j’ai vérifié et la question avait déjà été traité. Il vous a manqué l’accord « traitée » ;
Aussi, me suis je permise de poster un nouveau sujet. Ici, c’est « je me suis permis », en effet, on permet à quelqu’un. Si vous permettez à une amie d’entrer chez vous, vous dites « je lui ai permis d’entrer ».

Pour l’histoire de la règle, je n’ai pas compris. Vous vouliez dire « à l’aide d’une règle » ?

J’espère que cela vous rend service.