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On n’a pas là un nom composé mais un nom apposé à un autre et il n’y a ni trait d’union ni accord entre eux (un nom ne s’accorde jamais avec un autre nom). C’est le sens qui décide.
Comme il y a plusieurs découvertes, le pluriel est déjà là au singulier de « sortie ».
Une sortie découvertes / des sorties découvertes- 576 vues
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On a là une sorte de métaphore. Un jeu de mots sur l’origine des voitures et un gentilé (une Américaine). C’est pourquoi il faut une majuscule.
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La place de l’adverbe détermine l’emploi d’une des virgules :
la qualité de la relative détermine si on la met ou non entre virgules
on peut donc avoir dans le cas où l’adverbe est classiquement après le verbe :
si la relative est descriptive : Dans la pièce, qui accueillait auparavant les amours furtives, le décor était resté le même.
si la relative est déterminative : Dans la pièce qui accueillait auparavant les amours furtives le décor était resté le même.Mais si on déplace l’adverbe, il doit être entre virgules et cela donne :
si la relative est descriptive : Dans la pièce, qui, auparavant, accueillait les amours furtives, le décor était resté le même.
si la relative est déterminative : Dans la pièce qui, auparavant, accueillait les amours furtives le décor était resté le même.La relative descriptive ajoute à son antécédent (ici « pièce ») une qualification
La relative déterminative ou restrictive sélectionne ici une pièce parmi les autres qui n’accueillent pas, etc.- 320 vues
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Il ne faut pas confondre se prendre à quelque chose et la locution verbale : s’y prendre
Se prendre à qqc signifie « se laisser séduire par quelque chose ».
Exemple du TLF : Elle s’exaltait, se prenait à la plaidoirie (Cocteau).Voir : ♦ Se prendre au jeu. Synonyme de se piquer au jeu.S’y prendre signifie « agir d’une certaine manière en vue d’obtenir un résultat déterminé ». La locution verbale est synonyme de procéder, se débrouiller.
Exemples du TLF :
S’y prendre bien, mal.
Comment m’y prendre pour chanter de telle manière? (Barrès).
Il savait comment s’y prendre pour l’amener à se rendre (Peisson).Comme vous voyez il ne faut pas supprimer le « y » quand il y a complément ; il faut partie de la locution :
Pour répondre à cette question je m’y suis pris (ou prise si le sujet est féminin) à deux fois
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« Moi » est complément circonstanciel d’accompagnement du verbe » venir ». Il est introduit auprès du verbe par la préposition » avec ».
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Ce n’est sans doute pas ce que vous cherchez mais je pense au suffixe -issime. Comme c’est un suffixe d’adjectif on aurait : violentissime.
Cette rébellion a été violentissime.
Ce suffixe est souvent employé de façon ironique ou plaisante, mais pas toujours.- 401 vues
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Oui. Dans une proposition subordonnée COD (soulignée), on emploie le subjonctif quand la principale (en italiques) est à la forme négative ;
parce que le fait énoncé dans la subordonnée n’est pas considéré comme réel. Il est seulement envisagé.je ne pense pas que révéler son identité soit opportun.
Avec une principale à la forme active le fait de la subordonnée est considéré comme inscrit dans la réalité.
Je pense que révéler son identité est opportun
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Les meilleurs fous rires, c’était avec elle
Ce qui est présenté, ce n’est pas « elle » mais bien « avec elle ». « C’est » annonce une information nouvelle (on change de thème) « avec elle » il ne peut donc s’accorder avec « les meilleurs fous rires » : ici le présentatif est figé en nombreVous avez bien noté qu’au présent, on n’aurait jamais ce sont ». —>Les meilleurs fous rires, c’est avec elle.
On peut remarquer que « avec elle » n’est pas attribut de « les meilleurs fous rires »
Contrairement à : M et Mme X, ce sont mes parents.Cette réponse a été acceptée par Solpa. le 30 avril 2025 Vous avez gagné 15 points.
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les articles 1245 et (les articles ) suivants
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Il est vrai que certains participes présents n’ont pas donné d’adjectifs verbaux reconnus par les autorités compétentes.
Pour certains verbes, leurs participes présents ne peuvent donner d’adjectifs ; c’est le cas par exemple, de faire> faisante, poser> posante, mettre > mettante, coudre> cousante, exprimer> exprimantes. C’est le sens qui interdit au verbe de donner un adjectif.L’adjectif verbal est un participe présent employé comme adjectif qualificatif : un sujet brûlant ; une histoire plaisante ; des remarques cinglantes
L’adjectif qualificatif exprime une qualité de l’être ou de l’objet nommé.
Ce n’est pas le cas des formes ci-dessus.Lorsque c’est possible, l’usage opère aussi une sélection ; mais on peut considérer l’ensemble des verbes qui pourraient avoir un participe présent employé comme adjectif mais qu’on ne trouve pas comme tels dans les dictionnaires, comme un des champs des possibles qui existent dans toute langue vivante. Le cas échéant, un locuteur de la langue française peut faire preuve d’audace et créer un néologisme, pourquoi pas ?
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