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Amateur éclairé
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  • Amateur éclairé Demandé le 24 octobre 2019 dans Accords

    À Tara sur son commentaire à la réponse de Prince. Il n’y a pas de rapport avec le sexe dans la réponse de Prince. Les mains ne sont pas mises au féminin parce qu’assimilables à des femmes. Le cou et le visage ne sont mis au masculin parce qu’assimilables à des hommes. C’est une notion grammaticale totalement indépendante du sexe. Dans certains pays où il y a deux sexes comme dans l’ensemble de l’humanité, il pourrait y avoir un seul genre grammatical, ou trois genres. Sortez-vous de la tête toutes ces références sexuelles quand vous parlez de grammaire. Consultez au besoin.

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  • Amateur éclairé Demandé le 24 octobre 2019 dans Conjugaison

    On devine que le texte principal est au passé simple : « Je lui ouvris la porte et la fis entrer. Elle m’avait appelé le matin et… » Effectivement, tout ce qui précède le temps du récit, au passé, est censé être conjugué au plus-que-parfait.

    L’imparfait n’est pas acceptable pour exprimer l’antériorité sur le temps passé du récit.
    – Je lui ouvris la porte à midi. Elle m’avait appelé tôt ce matin-là. Bon.
    – Je lui ouvris la porte à midi. Elle était inquiète ce matin-là. Pas bon.
    Il n’y a pas d’exception pour les actions qui durent. L’antériorité dans un récit au passé ne peut pas s’exprimer par l’imparfait. Bien au contraire, dans un récit au passé, l’imparfait exprime la sumultanéité. Je lui ouvris la porte à midi, elle était inquiète = à midi. À midi, elle m’informa qu’elle était inquiète = inquiète à midi, pas inquiète ce matin-là.
    Et pourtant « être inquiet », comme le « ne plus savoir » de votre exemple, se prête mal à un temps composé et ponctuel (elle avait été inquiète, elle n’avait plus su). Donc à ce stade, il faut simplement renoncer à cette phrase, ou la modifier : elle m’informa qu’elle s’était inquiétée…

    MAIS
    L’imparfait se justifie comme temps de simultanéité au passé (quel que soit ce passé) :
    – Elle m’a dit qu’elle était inquiète.
    – Elle m’avait dit qu’elle était inquiète.
    Même s’il n’y a pas de subordonnée comme ci-dessus (rapport explicite), vous pouvez faire la concordance des temps à l’imparfait non pas avec le temps du récit mais avec le dernier verbe exprimé si le rapport est aussi clair qu’un rapport de subordination.
    – Je lui ouvre. Elle m’a appelé ce matin et elle paraissait inquiète.
    – Je lui ouvris. Elle m’avait appelé le matin et elle paraissait inquiète.
    C’est le cas dans votre texte. L’imparfait « ne savait plus » est valide si vous le rattachez clairement à « m’avait appelé ». La logique est bien là : « quand elle m’avait appelé, elle était… elle paraissait, elle ne savait plus… ». Le sens de votre paragraphe le permet.

    — Deux choses à rectifier —
    – Je l’ai appelé et lui ai demandé. On voit que les deux pronoms sont différents. Les pronoms le/lui deviennent me/me à la première personne, mais ils restent des pronoms différents. On ne peut pas les mettre en commun : elle m’a appelé et m’a demandé.
    – Dans un récit au passé, en principe, on remplace « ce matin » par « ce matin-là » et « hier » par « la veille ».

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  • Amateur éclairé Demandé le 24 octobre 2019 dans Accords

    Si « pas vu » signifie « pas compris », « pas deviné »… et que le pronom « l » signifie « que c’était de la vigne », alors il n’y a pas d’accord à faire. Et c’est bien ainsi qu’on comprend votre phrase, avec son introduction.

    Si par contre vous vouliez dire dans un sens concret « voir la vigne », qui lui était cachée quand il était en haut et qu’il voit en descendant, le pronom « l » serait mis pour « la vigne » et il faudrait accorder « il ne l’avait pas vue ».

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  • Amateur éclairé Demandé le 22 octobre 2019 dans Général

    Si le jour J est un lundi, J + 2 c’est le mercredi. De même H + 10 = dix heures après l’heure H. Si l’événement de référence a lieu à 11h, H+10 c’est 21h. Si l’heure H est l’heure de l’assaut, on dresse un inventaire des munitions 10 heures après l’heure H, au bout de 10 heures. Cette chronologie avec des heures relatives est très pratique.

    Cette réponse a été acceptée par French. le 24 octobre 2019 Vous avez gagné 15 points.

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  • Amateur éclairé Demandé le 21 octobre 2019 dans Accords

    Le deuxième pronom « nous » n’est pas COI. On ne peut pas dire « nous lui avons fait du souci », donc dans « se faire du souci », « se » n’est pas COI.

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  • Amateur éclairé Demandé le 21 octobre 2019 dans Question de langue

    Aucun « ne » n’est acceptable dans cette phrase, ce n’est pas une question de « pas obligatoire ici ».

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  • Amateur éclairé Demandé le 21 octobre 2019 dans Accords

    Le complément du nom ne passe pas au pluriel en mettant son support au pluriel.
    Les deux nombres sont indépendants l’un de l’autre.
    – une procédure d’achat, des procédures d’achat
    – un plan d’action, des plans d’action
    – un chronogramme d’activité, des chronogrammes d’activité

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