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Érudit
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  • Érudit Demandé le 8 août 2022 dans Question de langue

    Bonjour Tara,

    Je ne conteste pas la qualité d’attribut du groupe qui suit le verbe, je conteste sa qualité d’attribut du sujet (analyse de Benezet), pour en faire un attribut du COD (« se »).

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  • Érudit Demandé le 8 août 2022 dans Question de langue

    Bonjour Benezet,

    J’aurais voulu laisser un commentaire sous votre réponse, mais je ne peux pas. Vous dites : « dans « il se porte candidat, « candidat » est attribut du sujet », j’y vois plutôt un attribut du COD « se », ainsi que l’analyse Joelle.

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  • Érudit Demandé le 22 juillet 2022 dans Accords

    Bonjour Benezet,

    Je ne sais pas pourquoi, mais je ne peux pas vous répondre en commentaire.
    Perso, je pense que dans la présente expression, il ne faut pas analyser « à cœur joie » en tout cas pas par rapport au verbe  « donner » pour lequel il a une fonction adverbiale.  Si on veut pousser l’analyse plus loin, on peut en effet avoir « joie » en fonction de COD, mais d’un autre verbe, celui d’une subordonnée réduite, c’est ce que j’avais exprimé dans mon premier message : Ils se donnent du plaisir / jusqu’à avoir de la joie au cœur –> Ils s’en donnent (en = du plaisir) / jusqu’à en avoir de la joie au cœur –> Ils s’en donnent / à cœur joie.
    Peut-être peut-on faire l’économie d’une proposition réduite, et avoir simplement un complément du verbe : à cœur joie = avec de la joie au cœur.

    Si on retient votre analyse, quelle fonction donnez-vous à « de quelque chose » ?

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  • Érudit Demandé le 21 juillet 2022 dans Accords

    Même si on est en présence d’une expression devenue un peu opaque et dont le sens global n’est plus tout à fait équivalent à celui de l’addition de ses parties, je crois qu’il est tout de même possible de l’analyser : donner à soi de quelque chose jusqu’à en / au point d’en avoir de la joie au cœur, où l’on voit que le pronom réfléchi est COI et que « en » est COD et a pour antécédent « de quelque chose ».

    D’ailleurs, aussi bien le tlfi que le Littré font mention de l’antécédent représenté par « en » :

    Tlfi, à l’article « en » : e) S’en donner (du plaisir). Nous nous en donnions à cœur joie (Schaeffer, Rech. mus. concr.,1952, p. 41).

    Littré, à l’article « joie » : Se donner au cœur joie, ou à cœur joie de quelque chose, en jouir pleinement, abondamment, s’en rassasier.

    On dit dans le même sens : s’en donner à cœur joie.

     

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  • Érudit Demandé le 20 septembre 2020 dans Question de langue

    Merci Prince.

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  • Érudit Demandé le 19 septembre 2020 dans Question de langue

    Merci beaucoup Tara !

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  • Érudit Demandé le 13 septembre 2020 dans Général

    Merci beaucoup à vous trois !

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  • Érudit Demandé le 12 septembre 2020 dans Accords

    Jean Bordes, merci pour votre avis.

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  • Érudit Demandé le 12 septembre 2020 dans Accords

    Merci beaucoup !

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