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Ils sont courants. Une virgule après le guillemet fermant.
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Bon, je vais essayer d’être plus explicite. 🙂
Quand l’incise (dit-il, cria-t-elle, etc.) est intercalée au sein de la phrase ou rejetée à la fin, on met une virgule. D’où la question de savoir si l’incise placée en début de phrase doit être suivie d’une virgule. Ex. : Elle cria vers lui, — Je suis Nina ! Par une sorte de logique analogique, on pourrait répondre qu’en l’espèce, la virgule est de mise.
Toutefois, le « Lacroux » et le Dictionnaire de la ponctuation française (Jacques Drillon, Gallimard) ne répondent pas à cette question car ils ne l’envisagent pas.Conclusion :
Je me garderais de qualifier de fautive la présence d’une virgule dans votre texte, devant le tiret cadratin.
Mais pour être certain de ne pas me tromper : j’aurais recours à une ponctuation admise, par ex. un deux-points suivi d’un tel tiret.Elle a crié vers lui : — Je suis Nina !! OU
Elle a crié vers lui :
— Je suis Nina !!Joëlle, on ne peut pas mettre en facteur commun « Elle a crié vers lui : » car « C’est la casquette de David ! je vais à Pitchipoï !! » a déjà sa propre incise (« lui a-t-elle lancé »).
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De nos jours, on utilise en effet de plus en plus le tiret cadratin dans ce cas.
Avez-vous consulté le « Lacroux » ?
Cette réponse a été acceptée par valnet. le 31 mars 2020 Vous avez gagné 15 points.
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Tiret et virgule : principe et exception
En principe, on ne met pas de virgule avec les tirets, qu’ils soient longs (tirets cadratins), moyens ou courts. Mais, dans certains contextes, elle s’impose. Le cas échéant, la virgule se colle normalement au tiret fermant, sans espacement devant. Certains scripteurs choisissent aussi de mettre la virgule devant ce tiret, un espacement séparant les deux signes de ponctuation. Ces deux façons de faire sont correctes.
Exemples :
– Je pensais devoir remettre le voyage à plus tard – les billets d’avion étaient vraiment trop chers –, mais j’ai pu profiter d’une réduction à la toute dernière minute.
– René n’était pas d’accord avec ma proposition – il n’est jamais d’accord avec ce que je propose, de toute façon, – mais il s’est rallié à l’opinion de la majorité.
Source : BDL
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- Ensuite, pour la rédaction d’un mémoire d’un Master un ou deux, voici qui pourra vous aider
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On peut dire aussi Ils sont poètes dans l’âme.
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Voyez cette réponse https://www.question-orthographe.fr/question/marque-ou-nom-commun/
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Bonjour Jean,
Excepté, etc., sont perçus est considérés comme des prépositions et restent donc un variables. https://www.projet-voltaire.fr/regles-orthographe/excepte-les-garcons-ou-exceptes-les-garcons/
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Note : Avant la réforme de 1990, des spécialistes de la langue, dont Littré, avaient déjà proposé de laisser invariable le PP laissé suivi d’un infinitif.
Pour la énième fois, on ne peut pas dire que « Le participe passé du verbe « laisser » suivi d’un infinitif est – depuis la réforme de 1990 – invariable.
En effet, l’application de cette réforme n’est pas obligatoire. C’est si vrai que l’Académie française(qui a approuvé l’invariabilité dans ce cas en tant que POSSIBILITE, n’a pas renoncé à l’accord :Dict., art. laisser, in fine :
« RemarqueLes exemples ci-dessus* respectent la règle habituelle d’accord du participe passé suivi d’un infinitif. Cependant, l’application de cette règle étant parfois malaisée, particulièrement dans les formes pronominales, et l’accord restant incertain dans l’usage, on pourra, comme pour le verbe faire, généraliser l’invariabilité du participe passé de laisser dans le cas où il est suivi d’un infinitif. Il est donc possible d’écrire : Elle s’est laissé mourir comme Elle s’est fait maigrir ; Je les ai laissé partir comme Je les ai fait partir.Orthographe
◇ Peut s’écrire on les a laissé mourir ; ils se sont laissé mourir de faim, de soif ; je les ai laissé aller ; je ne les ai pas laissé faire, selon les recommandations proposées par le Conseil supérieur de la langue française.[règle §5] Participe passé de laisser suivi d’un infinitif ».
* Ex. : Ils se sont laissés ◇ mourir de faim, de soif. On les a laissés ◇ mourir.
Ma conclusion :
Ne pas être catégorique (dire On peut; il est possible de**), d’autant que des auteurs et des écrivains font encore l’accord de laissé suivi d’un infinitif.
** comme l’écrivent l’Académie française, H. Briet (L’accord du participe passé, coll. « Grevisse Langue française », p. 202, etc.). La BDL va dans le même sens.
Bonne nuit.
Cette réponse a été acceptée par Prisca. le 27 mars 2020 Vous avez gagné 15 points.
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Tara a raison.Autre ex. :
Il adore cette ville et il en connaît tous les quartiers.
On peut dire aussi : Il adore cette ville et il connaît tous ses quartiers .J’ai des références en cas de nécessité.
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