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  • Débutant Demandé le 30 mars 2020 dans Général

    Ils sont courants. Une virgule après le guillemet fermant.

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  • Débutant Demandé le 29 mars 2020 dans Général

    Bon, je vais essayer d’être plus explicite.  🙂

    Quand l’incise  (dit-il, cria-t-elle, etc.) est intercalée au sein de la phrase ou  rejetée  à la fin, on met une virgule. D’où la question de savoir si l’incise placée en début de phrase doit être suivie d’une virgule.  Ex. : Elle cria vers lui,  Je suis Nina ! Par une sorte de logique analogique, on pourrait répondre qu’en l’espèce, la virgule est de mise.

    Toutefois, le « Lacroux » et le Dictionnaire de la ponctuation française (Jacques Drillon, Gallimard) ne répondent pas à cette question car ils ne l’envisagent  pas.

    Conclusion :
    Je me garderais de qualifier de fautive la présence d’une virgule dans votre texte, devant le tiret cadratin.
    Mais pour être certain de ne pas me tromper : j’aurais recours à une ponctuation admise, par ex. un deux-points suivi d’un tel tiret.

    Elle a crié vers lui :  Je suis Nina !!  OU

    Elle a crié vers lui :
     Je suis Nina !!

    Joëlle, on ne peut pas mettre en facteur commun « Elle a crié vers lui : » car  « C’est la casquette de David ! je vais à Pitchipoï !! » a déjà sa propre incise (« lui a-t-elle lancé »).

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  • Débutant Demandé le 28 mars 2020 dans Général

    De nos  jours, on utilise en effet de plus en plus le tiret cadratin dans ce cas.

    Avez-vous consulté le « Lacroux » ?  

    Cette réponse a été acceptée par valnet. le 31 mars 2020 Vous avez gagné 15 points.

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  • Débutant Demandé le 28 mars 2020 dans Général

    Tiret et virgule : principe et exception 

    En principe, on ne met pas de virgule avec les tirets, qu’ils soient longs (tirets cadratins), moyens ou courts. Mais, dans certains contextes,  elle s’impose. Le cas échéant, la virgule se colle normalement au tiret fermant, sans espacement devant. Certains scripteurs choisissent aussi de mettre la virgule devant ce tiret, un espacement séparant les deux signes de ponctuation. Ces deux façons de faire  sont correctes.

    Exemples :

    – Je pensais devoir remettre le voyage à plus tard  les billets d’avion étaient vraiment trop chers –, mais j’ai pu profiter d’une réduction à la toute dernière minute.

    – René n’était pas d’accord avec ma proposition  il n’est jamais d’accord avec ce que je propose, de toute façon,  mais il s’est rallié à l’opinion de la majorité.

    Source : BDL

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  • Débutant Demandé le 27 mars 2020 dans Général

     

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  • Débutant Demandé le 27 mars 2020 dans Question de langue

    On  peut dire aussi Ils sont poètes dans l’âme.

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  • Débutant Demandé le 27 mars 2020 dans Accords

    Bonjour Jean,

    Excepté, etc., sont perçus est considérés comme des prépositions et restent donc un variables. https://www.projet-voltaire.fr/regles-orthographe/excepte-les-garcons-ou-exceptes-les-garcons/

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  • Débutant Demandé le 26 mars 2020 dans Accords

    Note : Avant la réforme de 1990, des spécialistes de la langue, dont Littré, avaient déjà proposé de laisser invariable le PP laissé suivi d’un infinitif.

    Pour la énième fois, on ne peut pas dire que « Le participe passé du verbe « laisser » suivi d’un infinitif est – depuis la réforme de 1990 – invariable.
    En effet, l’application de cette réforme n’est pas obligatoire. C’est si vrai que l’Académie française(qui a approuvé l’invariabilité dans ce cas en tant que POSSIBILITE, n’a pas renoncé à l’accord :

    Dict., art. laisser, in fine :

    « Remarque
    Les exemples ci-dessus* respectent la règle habituelle d’accord du participe passé suivi d’un infinitif. Cependant, l’application de cette règle étant parfois malaisée, particulièrement dans les formes pronominales, et l’accord restant incertain dans l’usage, on pourra, comme pour le verbe faire, généraliser l’invariabilité du participe passé de laisser dans le cas où il est suivi d’un infinitif. Il est donc possible d’écrire : Elle s’est laissé mourir comme Elle s’est fait maigrir ; Je les ai laissé partir comme Je les ai fait partir.

    Orthographe

    Peut s’écrire on les a laissé mourir ; ils se sont laissé mourir de faim, de soif ; je les ai laissé aller ; je ne les ai pas laissé faire, selon les recommandations proposées par le Conseil supérieur de la langue française.

    [règle §5] Participe passé de laisser suivi d’un infinitif ».

    * Ex. : Ils se sont laissés  mourir de faim, de soif. On les a laissés  mourir. 

    Ma conclusion :

    Ne pas être catégorique (dire On peut; il est possible de**), d’autant que des auteurs et des écrivains font encore l’accord de laissé suivi d’un infinitif.

    ** comme l’écrivent  l’Académie française, H. Briet (L’accord du participe passé, coll. « Grevisse Langue française », p. 202, etc.). La BDL va dans le même sens. 

    Bonne nuit.

    Cette réponse a été acceptée par Prisca. le 27 mars 2020 Vous avez gagné 15 points.

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  • Débutant Demandé le 26 mars 2020 dans Général

    Tara a raison.

    Autre ex. :
    Il adore cette ville et il  en connaît tous les quartiers.

     On peut dire aussi : Il adore cette ville et il connaît tous ses quartiers .

    J’ai des références en cas de nécessité.

     

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