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  • Débutant Demandé le 19 janvier 2021 dans Général

    Avec se passer, les deux tournures sont possibles .

    Article clair net et concis de la a Banque de dépannage linguistique : 
    « Avec le verbe se passer, la tournure impersonnelle ce qu’il est fréquente, bien que l’on puisse également utiliser ce qui.

    Exemples :

     –  Que se passe-t-il? Tout le monde se demande ce qu’il se passe. (ou : ce qui se passe)

    –  Nous ne nous doutions pas de ce qu’il se passait. (ou : de ce qui se passait) »

    Vous avec donc le choix ; mais vous pouvez préférer ce qu’il se passe, qui est plus fréquent.

    -Bonne nuit !  🙂

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  • Débutant Demandé le 18 janvier 2021 dans Accords
    En fait, le pluriel et le singulier sont admis notamment par le Bon usage , qui indique ceci et donne de très nombreux ex. du pluriel : 

    « Du point de vue de l’accord, on a le choix, généralement, entre les deux possibilités.

    Accord avec l’expression de pourcentage :  10 % de sang frais deviendraient nécessaires à chaque génération (H. BazinBienheureux de la Désolation, p. 242)61 pour 100 de la population française sont accaparés par l’industrie, le commerce (Bainvilledans le Lar. mensuel, nov. 1937, cit. Høybye, p. 297). — 10 p. 100 de la superficie cultivée étaient inondés (Lar. xx, Suppl., art. Pays-Bas ). — Quatre-vingts pour cent de la masse totale des engins sont occupés par le combustible (Ch.-N. Martindans le Figaro litt., 19 sept. 1959). » ETC. 

    ==> 5 % du parc (est) couvert par la garantie.  OU : 5 % du parc (sont) couverts par la garantie>.

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  • Débutant Demandé le 18 janvier 2021 dans Question de langue

    Bonsoir Absalon.

    (Je simplifié un peu vos phrases.)

    Vous en souvient-il ? Le  verbe se  souvenir  est employé impersonnellement.  Dans la seconde phrase, il est employé à la forme  personnelle.

     – Vous vous en souvenez « convient mieux quand  le souvenir est voulu,  sollicité, rappelé » ;  il vous en souvient :  « cette volonté est moins sensible ».

    Lecture intéressante ici. 

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  • Débutant Demandé le 18 janvier 2021 dans Conjugaison

    A mon sens, il ne s’agit pas d’un futur simple* ( ou futur de l’indicatif), mais d’un conditionnel d’atténuation.

    * Je relèverai dans l’avenir/demain/dans 3 mois, etc.

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  • Débutant Demandé le 18 janvier 2021 dans Question de langue

    Le pluriel commence ici à 2 ; j’écrirais donc : 1,2 million d’habitants.

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  • Débutant Demandé le 18 janvier 2021 dans Général

    Bonjour Flo,

    Les deux constructions sont grammaticalement correctes. 

    Toutefois, on peut considérer que l’une est plus élégante que l’autre. Pour moi, c’est celle qui se construit avec où. ==> La première fois où je lai rencontré, il était blond.

    Réponse complète ici.

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  • Débutant Demandé le 18 janvier 2021 dans Accords

    Bonjour,

    L’appellation « doyen » a officiellement disparu depuis 1968, en France. Elle s’est toutefois maintenue, par tradition notamment, dans certaines universités pour désigner le directeur d’une U.F.R. 

    « Certains dictionnaires ont féminisé cette appellation ; d’autres, non. Par ex., le grand Robert écrit

    Madame le professeur X, doyenne de la faculté de droit.

    © 2017 Dictionnaires Le Robert – Le Grand Robert de la langue française »

    Mais l’Académie française ne l’a pas féminisé, comme on pouvait s’y attendre :

    « II. Nom masculin. »
    […]
    « 2.  ENSEIGNEMENT. Jusqu’en 1968, professeur désigné par élection et chargé, dans chacune des facultés d’une université, de fonctions administratives et directoriales. Le doyen de la faculté des sciences. Doyen honoraire. Elle est doyen de la faculté. Madame le doyen. Aujourd’hui. Nom parfois donné au directeur d’une unité de formation et de recherche. »

    Rem. : L’article du  TLFi a été rédigé avant l’intervention du guide d’aide pour la féminisation des noms de métiers, titres et grades. Ses ex. sont anciens. Il n’est pas actualisé. Son supplément (tome 17) n’a jamais été publié.
    Dès lors, on ne peut pas savoir si, aujourd’hui, il féminiserait « doyen ».
    TLFi  (pour info) :
    « 2. Homme ou femme qui administre et dirige une faculté. Doyen de la faculté des lettres, des sciences. Le clan des universitaires a mis en avant la candidature du doyen de la faculté des lettres : quinze voix de perdues, pour le moins (Martin du G.Thib.,Pénitence, 1922, p. 720).Un monsieur bien habillé qui lui demanda où se trouvait la maison du doyen de la faculté de droit (GreenJournal,1946, p. 236). »

    Si j’avais à parler à ou de  un(e) responsable d’U.F.R., je suivrais la tradition si elle existe. Sinon, j’emploierais l’appellation officielle (éventuellement adaptée : féminisée et/ ou abrégée : ex. : Madame la Directrice, / Comme suite à votre lettre du…).

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  • Débutant Demandé le 17 janvier 2021 dans Général

    Dans le cas contraire, le locuteur imposerait-il à l’interlocuteur de satisfaire à une ou à plusieurs conditions ? Une seule condition : Sans condition. Plusieurs  conditions : Sans conditions.

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  • Débutant Demandé le 17 janvier 2021 dans Accords

    Je partage la manière de voir de Joëlle, et j’ajoute une référence dictionnairique
    :

    « En difficulté dans une situation difficile. Être en difficulté. Mettre qqn en difficulté.

    © 2017 Dictionnaires Le Robert – Le Grand Robert de la langue française »

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  • Débutant Demandé le 17 janvier 2021 dans Accords

    Bonsoir DEMOULIN.
    Règle générale : Si le nom collectif est précédé de l’article défini (le, la), d’un démonstratif (ce, cet, cette), d’un possessif (mon, sa, etc.) ou s’il est employé avec un adjectif épithète, l’accord se fait généralement avec le nom collectif au singulier car on considère qu’il est alors mis en relief.

    Ex. : Le nombre de victimes est élevé (le sens impose le singulier : c’est le nombre qui est élevé).

    « N ombre » (que je considère  ici comme un collectif) est d’autant plus mis en évidence que c’est le nombre (de femmes, etc.) qui rend la rue impraticable, et non pas les femmes, etc., en soi (si leur nombre n’était pas élevé ou très élevé, la rue ne serait pas impraticable).

    J’écrirais donc : Limiter le nombre de femmes, d’hommes et d’enfants qui rend la rue impraticable.

    N.B. « QUI », pronom relatif est le sujet, dont l’antécédent est « le nombre de femmes, d’hommes et d’enfants », qui, lui, est, in fine,  le donneur d’accord pour le verbe « rendre ».

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