Selon Jacques DRILLON  (Traité de la ponctuation française, Gallimard, 1991, p. 277), on a le choix de mettre ou non « une » espace.
On peut donc écrire : (des choux, des tomates… )  OU (des choux, des tomates…). 

Cas particuliers : les points de suspension sont entre parenthèses, on ne met pas d’espace avant la parenthèse fermante : (…).
Il en est de même quand les points de suspension  sont entre crochets : […].

Pour ma part, je fais, comme Joëlle et dans tous les cas,  suivre immédiatement les … de la ).   « La tradition se perpétua sans défaillance (…) jusque vers le milieu du XIXe siècle. » (G. P.)
C’est plus cohérent et plus esthétique. 

« Suite à » appartient à la langue commerciale.
On dit mieux : «Comme suite à ». Comme suite à notre conversation téléphonique,…

Coco,
C’est toi qui devrais le savoir, sauf si tu n’es pas l’auteur de la phrase.
La finalité peut être aussi visée.

… Une partie de la règle ! Voir ma réponse.  🙂

BBFolk, vous pouvez donner un ex. à votre façon ?  Merci.

Il n’est pas impossible qu’on ait affaire à une élève qui a répondu ainsi pour mettre le prof devant son inattention, son irréflexion !… C’était ce que je voulais faire entendre par ma note de bas de page…

En tout cas, elle n’est pas très douée en orthographe : elle écrit « porte monet » !

Bonsoir Lola,

On est d’accord : Elle s’est découvert une passion pour la chasse.

Elle a découvert une passion en elle-même (ou pour elle-même).  Dans ce cas, se est C.O.I.

Pour rappel, si le complément d’objet indirect répond le plus souvent aux questions à qui/à quoi ? de qui/de quoi ?, il peut aussi répondre aux questions pour qui/pour quoi ? en qui/en quoi ? contre qui/contre quoi ? etc.

==> les dernières écritures de la société d’assurance contiennent/comportent des allégations mensongères et de nombreuses contradictions ainsi que des incohérences,