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Questions
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Bonjour CParlotte,
Il y a un temps pour lire les réponses en diagonale, et un autre plus long pour les étudier. J’avoue que je ne suis pas familière avec les termes que vous utilisez dans votre analyse, tels que « agent de l’infinitif », « pronom datif » ou « pronom accusatif ». Dans la mesure où l’on ne parle plus guère de déclinaisons pour le français. Toutefois, je comprends ce que vous expliquez. Je prendrais bien un cours particulier !Cordialement,
Karine- 692 vues
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Bonjour,
Les verbes pronominaux autonomes. Ces verbes existent aussi à la forme non pronominale, mais leur sens est différent : n’est-ce pas le cas du verbe acquitter ? Il s’accorde avec le sujet.
Cordialement,
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Merci à tous pour vos avis…
La citation se trouve à l’avant-dernière page du « roman », page 121 du Folio :
» Aucun monarque, si je ne me trompe, n’a jamais publié de livre.
A ces mots, la reine le tança du doigt, ce qui était l’un des tics favoris de Noel Coward, elle s’en souvint brusquement. »On pourrait, en suivant Marcel1, parler de « licence poétique », même s’il ne s’agit que de celle du traducteur. Mais je vous laisse retrouver la formulation en anglais par l’auteur.
Amicalement,
Karine- 351 vues
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Merci de votre explication qui clarifie et précise un point qui n’était pas tout à fait élucidé à mon niveau. J’avais trouvé dans mes sources, que si EN pouvait être retiré, alors il y avait accord, avec l’exemple : les nouvelles que j’en ai reçues. Mais effectivement, EN est ici complément indirect : pour les nouvelles que j’ai reçues de lui. D’ailleurs dans votre exemple, on ne peut pas vraiment retirer EN de votre exemple, mais il n’est effectivement pas le COD de la phrase… ce qui rend ma règle un peu bancale.
En revanche, vous n’avez pas répondu à ma question, et vos explications ne me rendent pas complètement certaine de ce que je dois en inférer pour mon exemple. J’aurais tendance à maintenir l’invariabilité : Une sensation de liberté telle que je n’en avais pas connu. EN remplace bien la sensation de liberté.
Pouvez-vous confimer ?- 652 vues
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Je vais compléter la citation :
« Tu avais prévu d’appeler le bureau (…). Ce ne fut pas nécessaire, il répondit au bout de quelques sonneries. Il proposa un rendez-vous dans les heures qui suivraient, sans que tu aies à justifier la raison de ta demande. Ton seul nom – à la vérité, celui de ton père – avait suffi. »
Je veux bien que vous essayiez de me donner davantage d’explications. Je ne connais pas le futur du passé… Comment le distinguer du conditionnel ?
Effectivement, si la phrase s’était poursuivie comme vous en donnez un exemple (qui suivraient son arrivée), alors cela ne m’aurait pas troublée.Mais si je vous comprends, la phrase précédente « justifie » ce temps.
A vous lire, et en vous en remerciant,
Karine- 511 vues
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Je relève dans Ce que je sais de toi, d’Eric Chacour, la phrase :
« A son instar, tu fis comme si de rien n’était. »
Effectivement, cette tournure avait attiré mon attention, et je n’avais rien trouvé dans le ROBERT, ni dans le Dictionnaire historique de la langue française d’Alain Rey qui corroborât cette tournure. Mais je vois qu’elle n’est donc pas fautive à vous lire.
Merci- 2478 vues
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Je note que dans LE ROBERT, deux exemples au participe passé sont donnés pour le verbe réapparaître, l’un avec l’auxiliaire être, l’autre avec l’auxiliaire avoir. Réapparaître est de la même famille que paraître, mais la notion de parution éditoriale en est absente pourtant…
La distinction entre être paru et avoir paru est légère….
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Eh bien déjà… ce livre pointu devra me permettre de différencier « plu » et plus » 🙄
Disons que très souvent, lors de réponses à mes (nombreuses) questions, les uns ou les autres se réfèrent au Grévisse pour appuyer leurs dires. En cherchant sur internet, je vois qu’il existe un Grévisse pour les étudiants et un pour les enseignants. Je ne suis pas persuadée que celui de l’enseignant soit forcément plus pointu que celui de l’étudiant, car l’enseignant peut, selon son niveau, se suffire de bonnes bases pour enseigner… Et j’avoue qu’en ce qui me concerne, je cherche souvent « la petite bête »… Mais peut-être y a-t-il mieux encore que le Grévisse ?
Pour vous donner un exemple, je travaille en ce moment sur Bardadrac de Genette, et, bien qu’il me semble posséder un certain niveau de vocabulaire, je vois qu’il oppose des termes (cf son article médialecte) qui ne me semblent pas opposés. Alors je cherche l’étymologie, l’histoire des mots (merci Alain Rey) pour connaître l’évolution. Depuis l’écriture de ce livre, il s’est encore passé quelques années qui ont imprimé leur marque sur des mots dont les définitions évoluent avec l’usage. Mais j’aime bien connaître ces subtilités.
En la matière, il est plus question de vocabulaire que de grammaire, mais de même, mes lectures me conduisent vers des auteurs classiques, et parfois, certaines tournures n’existent plus, même dans un registre châtié. J’aime bien comprendre, retrouver la source…
Voilà…Que me conseillez-vous ?
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Merci de vos retours. Le Grévisse auquel vous vous référez est-il « Le Bon Usage » ?
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Bonjour Chambaron,
Si je me réfère à l’exemple que vous me proposez : « Seule la loi et la justice divines sont victorieuses« , j’accepte que « seule » soit alors au singulier.
Mais dans ce cas, ne retireriez-vous pas le pluriel de « divines » ? « la loi seulement et la justice divine sont victorieuses. » L’extrait semble effectivement évoquer la loi et la sécurité que font respecter les hommes, et ne ressortent donc pas du divin…
@AntM : « en » lorsqu’il est COD peut entrer en jeu dans l’accord du participe passé : « Des fautes, combien en avez-vous faites ? »
Amicalement,
Karine- 778 vues
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