61572
points
Questions
11
Réponses
9024
-
La langue française est assez riche pour proposer différentes formulations et diverses prépositions : les élèves français ont ces exemples en tête ; s’ils sont étrangers, il doivent les retenir en fonction du contexte. Les prépositions sont souvent un casse-tête pour tous (francophones et non).
Il travaille dans un magasin, il va au magasin (on ne dirait pas « il va dans le magasin »), alors que « il est entré dans le magasin » ,
j’ai acheté ce produit au marché (on entend souvent « sur le marché » – contestable – ou dans le marché – plus logique si celui-ci est couvert).
Bref, vous comprenez que je n’ai pas la réponse philologique à votre question…
Toutefois, mettez en garde vos élèves sur des dérives actuelles courantes :
– SUR : il vit sur Paris, il va sur Paris au lieu de « il vit à Paris » et « il part pour Paris »
– AVEC : je commence avec cette pile au lieu de « commencer par cette pile ».- 441 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
Si c’est l’infinitif, c’est bien « indiquer »- Vérifiez que tout est à l’infinitif s’il y a d’autres phrases de ce type.
Si c’est l’impératif (on s’adresse directement au lecteur), ce sera « indiquez »- 2619 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Sans déterminant : c’est plus général, une chambre d’enfant, qui convient à …
Avec déterminant : plus défini, par ex. la chambre des enfants, ce sont bien des enfants déterminés.- 399 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Les présentatifs sont des mots ou des locutions servant à présenter, à annoncer quelque chose ou quelqu’un.
Les principaux présentatifs sont :
c’est, c’est… qui/que :
C’est lui le coupable.
C’est moi qui l’ai fait.
C’est pour elle que j’ai fait ça.Ils donnent un effet emphatique, une mise en relief de « cette grange abandonnée ».
——————————-Je complète mon message, impossible à modifier hier.
On peut considérer « C’était dans une grange abandonnée » comme la principale puisqu’il y a un verbe conjugué et « qu’elle avait passé la nuit précédente » comme une subordonnée relative, complément du nom « grange » ; comme dans la structure normale d’une relative : le petit chat que je vois est mignon, c’est le petit chat qui est mignon.
Une relative (introduite par un pronom relatif) complète un nom commun.- 521 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Quelle que soit la place du sujet, le participe s’accorde avec le COD placé avant, en raison de l’emploi de l’auxiliaire avoir.
Matthieu a fait quoi ? des pâtes. ..Les pâtes / les tartes / les … qu’il a faites / cuisinées / achetées étaient délicieuses.
- 334 vues
- 1 réponses
- 0 votes
-
Les déterminants numéraux cardinaux sont invariables (un, trois, quatre, trente, cinquante, mille…) sauf cent et vingt lorsqu’ils sont précédés d’un multiplicateur mais non suivis d’un autre nombre.
Ex. : quatre cents mais quatre cent trois.
Attention : trois cents millions = cent conserve le « S » devant million ou milliard qui est un nom commun et non un numéral.• Faut-il ou non y insérer un trait d’union ?
En orthographe traditionnelle, on en met un pour tous les nombres inférieurs à 100 (trente-trois, soixante-six), sauf lorsqu’ils sont écrits avec et (trente et un).
La nouvelle orthographe recommande d’en ajouter partout : deux-cent-trente-et-un. … mais pas devant les mots million ou milliard.
- 2227 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Non que je veuille t’obliger à quoi que ce soit, mais j’aurais grand plaisir à ce que tu me dises merci quelquefois.
Il faut le subjonctif après non que …..
Je vous donne quelques exemples mais en réalité, je ne comprends pas bien votre phrase ni ce que vous souhaitez exprimer !!!
Ce n’est pas que tu fasses parfois des erreurs mais tu pourrais faire un effort tout de même.
Je sais bien que tu ne m’aimes pas ; non que je t’en fasse le reproche, après tout tu es libre de tes sentiments.
- 373 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Selon l’Académie, Avec les verbes susceptibles d’être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu’il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu’il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable. Ainsi : ce qui restait d’élèves… (Pagnol) ; ce qui lui reste de sainteté (Maurois) ; ce qu’il lui restait à faire (R. Rolland) ; ce qu’il vous reste à découvrir (Duhamel).
On peut donc écrire aussi bien : nous verrons ce qui se passera ou ce qu’il se passera.Je complète pour les autres verbes :
il faut : toujours impersonnel, on écrit : ce qu’il me faut et non « ce qui me faut ».
Je fais ce qui me plaît (personnel) et ce qu’il me plaira de faire (impersonnel).
Dans votre phrase, c’est bien un emploi personnel puisque le sujet est « ce » : ce qui t’arrive, ce qui va t’arriver, ce qui va finir par t’arriver.Cette réponse a été acceptée par BeN. le 24 mai 2025 Vous avez gagné 15 points.
- 296 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
à opter pour celles-ci, pour de telles pièces…
pour en choisirL’usage du pronom donne parfois lieu à des équivoques.
Il faut tout d’abord citer l’élément (les pièces de grande tailles) puis ne pas le faire suivre immédiatement d’un pronom qui ne s’y réfère pas et pourrait être source de confusion.
Ainsi, si vous écrivez « elles », on pourrait croire que le pronom reprend les pièces en question….
Donc, « les clientes sont nombreuses à opter pour celles-ci (à condition que « pièces » soit cité juste avant) pour celles-là (si « pièces » est mentionné avant dans la phrase précédentes). »
ou opter pour elles (éventuellement, à condition de supprimer « elles » comme sujet)ou opter pour de tels modèles, pour ce type…
ou … à en choisir- 244 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Le bébé est en couche, (il porte une couche).
Une femme en couches : qui vient d’accoucher.Cette réponse a été acceptée par Cracray. le 22 mai 2025 Vous avez gagné 15 points.
- 296 vues
- 2 réponses
- 0 votes
