Employés comme adjectifs, « ci-annexé », « ci-inclus » et « ci‑joint » s’accordent : « Veuillez trouver ci-jointes les photocopies. » ‑ « Les modifications ci‑jointes »

Exceptions : il y a toutefois deux cas précis où il ne faut pas accorder, étant employés sous forme adverbiale :

‑ s’ils sont placés en tête de phrase : « Ci‑joint les modifications »

‑ s’ils sont placés immédiatement devant le nom, c’est‑à‑dire quand le nom en question n’est pas précédé d’un déterminant : Je vous envoie ci-joint photocopie… ».

Ci-inclus la demande de bourse à remplir.

D’autre part, j’ai acquitté me, donc dont je me suis acquitté. (Rmq : je me suis acquitté de quoi ? des factures. Des factures est COI
Donc : 

Vous trouverez ci-jointes les factures dont je me suis aquitté.

Tout à fait correct.

Le pronom il est inutile
Comment se déploie le dialogue entre Borges et Kafka…

eh bien.

L’accent est mis sur notamment, la virgule, sans être obligatoire, est souhaitable.

Le COD est qu’ mis pour des écrivains, il faut donc accorder le participe :
II arrivait également que des écrivains qu’il avait fréquentés à Paris…

Le perticipe passé s’accorde avec le groupe du nom qui précède. Ici, on accode avac la montre de ma grand-mère.

Dans ce cas de figure, vu  doit rester invariable.

Cette expression, tout à fait correcte, peut être  très bien employée, à bon escient.

Il est dans notre intérêt que ces pays se développent et ce, à maints égards.
L’Afrique du Sud possède l’une des Constitutions les plus récentes et, à maints égards, les plus libérales du monde.

Vous avez  rraison : une femme est COD du verbe avoir vu. Donc il faut  écrire une femme qu’il  n’a jamais vue.