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Certains travers sont difficiles à guérir. C’est comme une ornière qui attire invinciblement.
Merci pour ce rappel. Je vais faire de l’ouvrage de Lacroux mon livre de chevet.- 171 vues
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Je vous remercie pour tous ces apports qui illustrent bien le casse-tête que représente ce sujet des majuscules.
L’absence de vrai consensus m’incitera, pour mon récit de fiction, à un peu d’autorité personnelle (merci Bruno), suivant ainsi mon penchant pour la minimisation des majuscules chaque fois qu’il est raisonnable de le faire, et à privilégier le bon sens, tel qu’il me semble présent dans la position de Chambaron, plutôt que l’académisme qui me paraît parfois sujet aux travers du mandarinat et qui multiplie comme à plaisir les cas d’exception rendant la matière hermétique au commun des mortels (car comment justifier logiquement à la fois « le fleuve Jaune » et « la Forêt-Noire » ? par exemple).
Merci à AntM d’avoir fourni un élan de contradiction et ainsi suscité cet échange fort enrichissant.- 201 vues
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J’ai abondamment cherché avant de poser ma question et je n’ai jamais trouvé une réponse aussi claire et concise.
Un million de fois merci, Chambaron.- 201 vues
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Au temps pour moi : l’origine est militaire, si je ne m’abuse.
Un rapport avec la marche au pas…- 555 vues
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Ce n’est pas la forme qui est gênée, c’est vous. Donc : « C’est juste la forme qui m’a gêné ». (qui a gêné moi)
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Pourquoi ne pas écrire : Il ne trouvait aucune réponse satisfaisante.
Cela permet en outre d’éviter un « qui » toujours alourdissant.- 350 vues
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Mille merci. Je peste régulièrement contre l’envahissement des majuscules, à la mode anglo-saxone, mais il faut croire que j’étais moi-même un peu contaminé.
Encore merci.- 698 vues
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