Le profil de Chambaron
Grand maître
23221
points

Questions
27

Réponses
2882

  • Grand maître Demandé le 24 novembre 2024 dans Accords

    Si les réponses sont comprises  globalement, comme un collectif, on peut très bien employer le singulier.
    « Les analyses du rapport Meadows constituent la première réflexion structurée sur l’épuisement des ressources planétaires. »

    • 926 vues
    • 4 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 23 novembre 2024 dans Conjugaison

    Le verbe se mettre à est en effet à classer dans les verbes réfléchis ce  qui provoque l’accord du participe éventuel avec le sujet qui est aussi  C.O.D. 
    PS  Le verbe peut évidemment se rencontrer sous une forme non réfléchie : les  pâtes qu’il a mises à cuire,.

    Cette réponse a été acceptée par Bidibulle. le 24 novembre 2024 Vous avez gagné 15 points.

    • 1096 vues
    • 4 réponses
    • 1 votes
  • Grand maître Demandé le 21 novembre 2024 dans Accords

    Sur un plan strictement grammatical on peut envisager aussi bien l’un que l’autre.
    Sur un plan sémantique, l’apport d’un simple s est très ténu car faute de compléments marquant clairement un pluriel l’esprit humain perçoit prioritairement le singulier. Non seulement la différence ne s’entend pas dans l’immense majorité des cas mais elle ne se lit parfois même pas : le ciel se teinte de gris et de roux.
    Comme dans toutes les tournures de ce type, le singulier est générique et le pluriel, s’il a un intérêt quelconque, doit se marquer autrement : le ciel se teinte de nuances orange et bleues, le ciel se teinte d’un dégradé de bleus , le ciel se teinte des oranges propres à cette heure de la journée. 

    • 508 vues
    • 3 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 21 novembre 2024 dans Général

    La phrase est correcte, à la seconde virgule près car elle n’a pas lieu d’être (on ne casse pas le lien entre le sujet et le verbe). Inutile alors de reprendre le sujet par un pronom.
    Cerise sur le gâteau, lui qui avait déjà la tête comme une citrouille se ramasse une châtaigne.

    • 442 vues
    • 1 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 21 novembre 2024 dans Général

    Je ne suis pas certain que la phrase en exemple soit pertinente pour dire « tout est une question de choix ».
    Cela dit, on trouve en effet couramment la forme c’est tout + substantif féminin. Elle utilise en général tout comme adjectif au sens de complet, en soi , entier ce qui entraine l’accord : c’est toute une histoire, une affaire, une vie, une journée, une série, etc.
    Mais comme la langue orale fait souvent l’élision du e devant une voyelle ou un h muet, on constate parfois son absence à l’écrit, ce qui à la longue est devenu une tolérance.

    • 1528 vues
    • 1 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 19 novembre 2024 dans Général

    Si vous tenez  à conserver lui en complément indirect vous pouvez utiliser lui causait, lui occasionnait, 
    Vous avez plus de choix avec chez luiprovoquait chez lui, créait, suscitait, produisait, entrainait, faisait naitre, engendrait, déclenchait, donnait lieu.

    Cette réponse a été acceptée par Lyn. le 20 novembre 2024 Vous avez gagné 15 points.

    • 313 vues
    • 1 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 19 novembre 2024 dans Général

    Sauf  dans le cas rare des noms ne s’employant qu’au pluriel*, aucun(e) ne s’utilise qu’au singulier.
    Donc : « Aucune des dates proposées ne convient. »

    *Représailles, frais, obsèques par exemple :  « Aucunes des funérailles auxquelles j’ai assisté n’étaient nationales. »

    • 2091 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 19 novembre 2024 dans Question de langue

    On peut indifféremment habiter l’ile de Ré, sur l’ile de Ré, dans l’ile de Ré.
    La forme habiter à l’ile de Ré est rare sans qu’in puisse la condamner. On la rencontre occasionnellement dans la littérature (voir des attestations dans cette liste).

    PS Rien n’interdit d’employer habiter en Ré, même si cela est peu courant sauf dans les toponymes comme Les-Portes-en-Ré ou  Ars-en-Ré.
    Les formes supprimant les mots ile de des appellations insulaires sont courantes mais familières et peuvent porter à confusion (comparez J’habite l’ile d’Aix avec j’habite Aix). 

    • 890 vues
    • 4 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 18 novembre 2024 dans Question de langue

    Il n’y a pas d’autre règle en ce domaine que l’usage, d’abord oral puis écrit.
    De nombreux facteurs peuvent jouer, notamment les critères phonétiques : pourquoi la prochaine année ou l’année prochaine mais seulement  l’an prochain ? À cause du hiatus dans le prochain an selon toute vraisemblance.
    À noter quelques différences de sens selon la place de l’adjectif (grand homme vs homme grand, un enfant curieux vs un curieux enfant ) bien que cela reste limité à un petit nombre de couples de mots.

    • 875 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 18 novembre 2024 dans Question de langue

    Comme expliqué en réponse à votre précédente question, n’utilisez la majuscule de nom propre que si le mot caractérise l’objet astronomique. Or soleil, terre et lune sont aussi des noms communs (une lune de Jupiter, un soleil dans ma vie) et ont de nombreux sens figurés sans majuscule.
    Le mieux pour marquer la différence est d’employer, si possible, l’article défini : « Dans ce monde, il n’y avait plus ni la Lune, ni le Soleil. La Terre s’était arrêtée de tourner. »

    • 404 vues
    • 2 réponses
    • 1 votes