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  • Grand maître Demandé le 13 mai 2021 dans Général

    Bonjour,

    Pour ma part, je suis confrontée à une très longue énumération verticale, et ce, dans un récit d’expérience de vie personnelle. Le texte est donc censé être peu ou prou « littéraire »…
    Cette énumération me pose problème parce que, bien qu’elle soit annoncée par un deux-points, elle est constituée de phrases complètes, parfois longues, voire doubles (deux phrases complètes qui se suivent dans le même alinéa).

    J’ai tenté de le convaincre par divers moyens :

    – Lui + verbe, sujet, compléments. Sujet, verbe, compléments . Et pour quelqu’un qui ne sait pas tracer une droite, c’est un sacré exploit !

    – Lui promettre que+ compléments, enfin, juste un petit peu (mais rien qu’un peu).

    – Lui dire que je voyais (suivent environ vingt mots) mais je ne voyais rien du tout. Ne le lui dis pas, je compte sur ta discrétion.

    – Le harceler (première phrase complète comportant au moins trente mots). (Deuxième phrase complète). (Troisième phrase complète)…

    – Lui faire boire (même genre de contenu).

    etc.  (suivent plusieurs autres points de l’énumération qui sont tous constitués de phrases complètes)

    Dois-je laisser les points ou mettre des points-virgules ? C’est une question que je me pose depuis très longtemps. J’aimerais bien avoir un texte de référence ayant force de « loi » si on peut dire, mais je n’en trouve pas vraiment ou bien les divers intervenants se contredisent.

    Que fait-on dans ce cas-là ? Je mettrais des points, car je ne trouve pas logique de mettre des points-virgules et des minuscules puisque l’ensemble est constitué de phrases complètes.

    Pour un peu, je proposerais une révision complète, en évitant l’énumération verticale, puisque c’est du texte courant.

    Quel est  votre avis ?

     

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  • Grand maître Demandé le 29 mars 2021 dans Question de langue

    Oui, merci, mais « provoquer » ne peut convenir, n’est-ce pas ?

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  • Grand maître Demandé le 24 mars 2021 dans Conjugaison

    Pas de subjonctif ici, c’est bien « qu’elle lui opposa ». Cependant, j’aurais écrit « qu’elle lui avait opposé »

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  • Grand maître Demandé le 20 mars 2021 dans Général

    Salle de bains, selon le « Jouette », une des bibles des correcteurs.

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  • Grand maître Demandé le 4 décembre 2020 dans Question de langue

    Ce n’est pas tant le subjonctif qui gêne (son emploi ici est néanmoins discutable* à mon sens) mais le fait qu’il soit au présent… alors que dans la proposition principale il y a un passé et, qui plus est, un passé simple ! (action lointaine et révolue) Ce n’est pas du tout logique.

    Si l’on s’en tient à vouloir un subjonctif, il faut qu’il soit à l’imparfait : « J’allai donc à Ubud, puisqu’il me fallait un endroit où je pusse trouver des Occidentaux. »

    * Le subjonctif confère toutefois ici une notion d’incertitude qui  ne me paraît pas aller de soi.  À mon avis, il n’y a pas de doute : à Ubud, on trouve – c’est sûr – des Occidentaux. Il faut bien réfléchir au sens des mots pour savoir quel mode utiliser : indicatif ou subjonctif. La simple présence de « puisqu’il » exprime l’idée d’une relation de cause à effet, d’une évidence (puisque l’on trouvait forcément (on en est certain) des Occidentaux à Ubud, je m’y rendis.)

    Par conséquent, l’indicatif « pouvais » me semble faire l’affaire, non ?
    J’allai donc à Ubud, puisqu’il me fallait un endroit où je pouvais (avec certitude) trouver des Occidentaux.
    (dans le sens de : J’allai donc à Ubud, puisqu’il me fallait un endroit où je savais pertinemment/où j’avais l’assurance de/ pouvoir trouver des Occidentaux.)

    D’ailleurs, pour la même raison, si on mettait (mentalement) toute la phrase au présent, le subjonctif sonnerait faux :
    Je vais donc à Ubud, puisqu’il me faut un endroit où je puisse trouver des Occidentaux.
    Cela ne me convient pas mais je peux me tromper…
    Un présent de l’indicatif ou un futur me semblent justes :
    Je vais donc à Ubud, puisqu’il me faut un endroit où je peux /je pourrai trouver des Occidentaux.

    Quelqu’un pour confirmer ou infirmer ?

    Cette réponse a été acceptée par PMF. le 4 décembre 2020 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 3 décembre 2020 dans Général

    J’avais bien dit « Normalement », ce qui impliquait que quand on ne peut pas écrire en petites capitales, on choisit une autre façon d’écrire, forcément. Encore une fois, cela dépend des capacités de votre logiciel.

    Effectivement, on peut aussi choisir de procéder autrement, le tout c’est d’être cohérent et de conserver la même façon d’écrire du début à la fin du texte…

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  • Grand maître Demandé le 3 décembre 2020 dans Général

    1. Un coucher de soleil peut nous offrir des jaunes orangés et des roses enflammés (substantifs) de toute beauté.
    C’est un substantif suivi d’un adjectif qui s’accorde avec lui

    Mais si on  a affaire à un adjectif, on écrira :
    des fleurs jaune orangé, des fruits jaune orangé, des couchers de soleil jaune orangé
    parce que jaune orangé ne serait plus, dans ces cas, un substantif suivi d’un adjecti, mais un adjectif de couleur composé qui vient qualifier « fleurs », « fruits », « couchers de soleil ».
    Comme dans :
    un foulard bleu turquoise/des foulards bleu turquoise/des écharpes bleu turquoise
    une voiture gris métallisé/des voitures gris métallisé /un capot gris métallisé
    une chaussette rose pâle/des chaussettes rose pâle
    une peinture blanc cassé/des papiers peints blanc cassé

    2. Aussi, voyant que l’acheteur se montre hésitant, le vendeur lui promet monts et merveilles.
    C’est dans un style non littéraire, mais parfaitement correct. C’est la présence d’une proposition entre  la « Aussi »  et « le vendeur, etc. » qui gêne un peu pour la forme avec l’inversion verbe+sujet.

    Mais je préférerais alléger cette phrase de son pronom relatif et ferais alors l’inversion :
    Aussi, voyant l’acheteur se montrer hésitant, le vendeur lui promet-il monts et merveilles.
    voire :
    Aussi,  l’acheteur se montrant hésitant, le vendeur lui promet-il monts et merveilles.
    L’acheteur se montre hésitant. Aussi le vendeur lui promet-il monts et merveilles.

    3. « C’est ici ? » demande Jean qui, avec Lucie, a été dépêché sur les lieux.

    Grammaticalement, le relatif « qui » se rapporte uniquement à Jean. C’est Jean qui a été dépêché sur les lieux, « avec Lucie » est un élément qui apporte une précision.
    On pourrait d’ailleurs écrire, sans changer le sens :
    « C’est ici ? » demande Jean qui a été dépêché sur les lieux avec/en compagnie de Lucie. »

    Cette réponse a été acceptée par Marisa. le 3 décembre 2020 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 3 décembre 2020 dans Général

    Normalement on n’écrit pas les siècles en majuscules (lettres capitales) et encore moins en minuscules. Les siècles, en théorie, s’écrivent en petites capitales (petites majuscules)

    Quant au « e » en exposant, cela dépend de votre logiciel… Dans Word et dans la plupart des logiciels de composition, on peut mettre n’importe quel signe en exposant grâce à la barre d’outils.

    Les abréviations admises en typographie sont « er » et « re » pour premier et première, puis uniquement « e » à partir de « deuxième », jamais de « ème » ou de « ième ».

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  • Grand maître Demandé le 16 novembre 2020 dans Accords

    le XIIe et le XIIe siècle ; au XIIe et au XIIe siècle
    les XIIe et XIIIe siècles ; aux XIIe et XIIe siècles

    durée de plusieurs siècles abrégée :  Xe-XIVe siècle

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