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Le Tlfi est une excellente ressource, mais comme il n’est plus mis à jour depuis 1994, il est parfois obsolète. Il ne prend notamment pas en compte les rectifications orthographiques. Vous avez donc le choix entre deux graphies, la traditionnelle et celle recommandée depuis les rectifications orthographiques.
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L’absence de déterminant n’indique/n’implique pas du tout le pluriel, c’est le sens qui décide du nombre (j’ai gardé des compléments de lieu) : Elle habite en banlieue, mais aujourd’hui, casquette en tête, elle va en ville acheter de la confiture en bocal pour l’apporter à son fils qui est en prison.
Pour revenir à nos cartons, l’utilisation de la préposition en associée à un substantif sans déterminant par rapport à la préposition dans + déterminant a pour effet d’éliminer quasiment toute fonction référentielle à carton, ce qui fait que mettre en carton(?) ≃ ranger (encartonner) forme un tout figé et non deux syntagmes distincts. Comparer :
Je feuilletais mes albums de photos avant de les mettre dans un carton/dans des cartons complètement bousillé(s) de couleur verte.
Je feuilletais mes albums de photos avant de les mettre en carton(s) complètement bousillé(s) de couleur verte.Quant au nombre, la logique voudrait qu’on mette plutôt le pluriel (mettre en cartons = mettre des affaires dans des cartons – voir par exemple ici ou là), c’est d’ailleurs ce nombre qui semble le plus fréquent, néanmoins on trouve pas mal de singuliers.
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Les occurrences ne sont pas nombreuses, mais on en trouve, notamment une où ce terme est clairement défini :

Mais ce sens est ancien (et n’est plus usité), et je ne pense pas que ce soit cette acception qui est retenue dans votre passage.Votre ouvrage traite-t-il de linguistique ? Si oui, on peut facilement dériver superlation de superlatif, comme on a :
Négatif / Négation = fait de nier.
Affirmatif / Affirmation = fait d’affirmer.
Péjoratif / Péjoration = fait de prendre, de présenter une dénotation ou une connotation défavorable.
Mélioratif / Mélioration = fait de prendre, de présenter une connotation favorable.
Comparatif / Comparaison = fait de comparer.
Superlatif / Superlation = fait de prendre, de présenter les choses à leur degré extrême / de façon superlative / en usant de superlatifs.En reprenant votre phrase et en remplaçant superlatif/superlation par un autre duo attesté : Il y a plusieurs façons d‘écrire des degrés de comparatifs et cela dépend de la comparaison employée (un peu abscons peut-être mais le contexte est court et la substitution pas forcément possible).
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Formule(s) tout compris est la forme élidée de formule(s) dans laquelle/lesquelles tout est compris, donc : formule(s) tout compris.
(On trouve quelques rares « formule(s) toute(s) comprise(s) », où l’ellipse n’est sans doute plus perçue, et où tout compris est senti comme complétant directement formule et s’accorde dès lors logiquement avec ce substantif, donc au féminin singulier ou pluriel. Ceci n’a rien de délirant, et se trouve dans de nombreuses formulations : place assise, jours heureux, bal masqué, position couchée, jours travaillés, et plein d’autres.)
Point de trait d’union, puisqu’on n’est en présence d’aucun des cas listés ici.
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Vous avez là la négation de la phrase affirmative Il y a du mal à cela, – expression non figée que vous pouvez par conséquent décliner négativement à votre gré :
Il n’y a pas de mal à cela,
Il n’y a rien de mal …,
Il n’y a guère de mal …,
Il n’y a point de mal …,
Il n’y a aucun mal …, etc.- 950 vues
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Oui, prévenir est transitif direct (prévenir quelqu’un), le pronom l’ – qui est donc en effet COD – étant placé avant l’auxiliaire, l’accord se fait régulièrement ; et partant, si l’ représente une personne de sexe féminin (ou un substantif de genre féminin), l’accord se fait naturellement au féminin > On l’a prévenue.
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Pour ce qui est de maxillo-facial, il s’agit d’un adjectif, par conséquent l’accord se fait régulièrement avec le nom complété, ici donc au masculin + pluriel > Mes confrères chirurgiens maxillo-faciaux.
Vous pouvez l’orthographier sans trait d’union (maxillofacial), mais il semble que cette graphie soudée soit pour l’heure moins fréquente que celle avec le trait d’union.Pour ce qui est du trait d’union entre chirurgien et dentiste, sa présence ou son absence sont également possibles, mais l’usage professionnel semble massivement privilégier le trait d’union (les universités, Doctolib, etc. l’emploient).
Cette réponse a été acceptée par trestraou. le 8 juin 2024 Vous avez gagné 15 points.
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– En première impression, l‘usage semble mettre les deux formes au coude-à-coude ; ce n’est guère surprenant, puisqu’on peut aussi bien dire :
L’opinion des sondés diverge sur ce point.
Les opinions des sondés divergent sur ce point.– nous est COD de conduit (X conduit Y à Z), il est placé avant l’auxiliaire, par conséquent le participe s’accorde selon le sexe des personnes désignées par nous.
nous collectif
que des hommes / groupe mixte : nous a conduits.
que des femmes : nous a conduites.
nous singulier (de majesté/de modestie) : nous a conduit(e).- 498 vues
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