C’est du subjonctif, pour vous en convaincre, remplacer « croire » par un verbe qui fait bien entendre le subj.

Mais cela ne me dérange pas que vous ne me « regardiez » ==>croyiez pas : vous pouvez tout à fait rester dans le faux… »

Règle : un verbe exprimant un sentiment ou une émotion est suivi du subj.

On a dû tout faire : on a été obligé de tout faire.
On n’a rien dû écouter : c’est une hypothèse.
On a dû tout écouter : c’est une obligation.
On n’a dû rien écouter.  C’est moins correct.

Elle a accepté quoi ? de partager les coordonnées.
Dans votre phrase, le COD n’est pas « les coordonnées », c’est logique sur le plan du sens et donc sur le plan grammatical.
Donc : les coordonnées qu’elle a accepté de partager.

Très bien : on accorde avec « nous » qui sont deux femmes. « opposées »

En effet, les guillemets sont utilisés pour mettre en valeur un mot comme dans votre exemple, pour un mot étranger, ou pour une citation.

1) les points de suspension ou les trois points (et non le point)
2) pas d’espace avant mais une espace après… D’accord ?
3) espace après sauf si virgule, point d’interrogation ou point d’exclamation …!

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Les seuls coups dont vous êtes sûr du résultat sont ceux que vous avez déjà joués : cette phrase est juste

« dont » est le pronom relatif qui remplace les COI, complément du nom et complément de l’adjectif dans une proposition subordonnée relative. Dans tous ces cas, le nom qu’il remplace est précédé de la préposition « de ».==> On est sûr du résultat des coups : coups est le complément du nom, antécédent de dont. 

Exemples :  J’ai rendez-vous avec la personne dont je connais le fils. (complément du nom: le fils de cette personne).

C’est toi dont il est fier. (complément de l’adjectif: il est fier de toi).

solution sur laquelle il semble y avoir consensus ==>Il y a un consensus / il semble y avoir un consensus

Je te demanderai si j’ai envie de tester . juste
Je te demanderais si j’avais envie de tester ; autre possibilité