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  • Grand maître Demandé 8 heures auparavant dans Question de langue

    Votre phrase est maladroite, pour les raisons déjà évoquées par Bruno. On ne peut pas « avoir la conception d’être« , ça n’a pas beaucoup de sens.

    Vous pouvez plutôt dire :
    Je concevais mon rôle comme celui d’un ensemblier
    J’avais le sentiment que mon rôle était celui d’un ensemblier
    Je considérais mon rôle comme celui d’un ensemblier

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  • Grand maître Demandé 8 heures auparavant dans Accords

    Le PP employé avec l’auxiliaire « avoir » s’accorde en genre et en nombre avec le COD s’il est placé avant.
    Qui ont choqué qui ? M’, féminin-singulier, placé avant l’auxiliaire –> qui m’ont choquée.

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  • Grand maître Demandé 8 heures auparavant dans Accords

    Chers contributeurs,

    La question de PouetFairy est clairement posée : un garçon et deux filles –> Peut-on écrire : ils sont frère et sœurs ?
    Ma réponse est claire aussi : c’est OUI.

    Si vous ne lisez pas attentivement la question, vous répondez immanquablement à côté, c’est bien ça le problème…
    Aussi, vous aurez remarqué qu’ils ne sont pas « un frère et une sœur » comme le prétend Joëlle, et que l’on ne nous demande pas avec combien de frères et sœurs « il est venu » (cf Chambaron et Ouatitm).

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  • Grand maître Demandé 1 jour auparavant dans Accords

    À mon sens, le terme « escouade » est inadapté aux mouettes voir ICI
    On dira plutôt un vol de mouettes.

    De la même façon, le verbe « rallier » est inapproprié dans votre exemple voir ICI
    On dira plutôt « pressées de rejoindre la mer ».

    Le verbe « piailler » ne correspond pas au cri de la mouette voir ICI

    Votre phrase est difficile à accorder sous cette forme, car ce sont en effet les mouettes qui poussent ces cris, et également elles qui sont pressées.
    Je vous suggère de changer de tournure.

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  • Grand maître Demandé 4 jours auparavant dans Accords

    En toute logique vous devez pouvoir écrire « ils sont frère et sœurs ».

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  • Grand maître Demandé 4 jours auparavant dans Général

    Ces deux phrases sont maladroites, notamment à cause de la tournure « brûlant / brûlantes de froid« , oxymore assez peu naturel et peu parlant en français. On peut être « brûlant de fièvre« , ou « tremblant de froid« , dans le langage courant.

    1 / Il répare quelque chose de ses mains brûlant de froid : si vous ajoutez une virgule après mains, on peut comprendre que c’est le personnage qui « brûle de froid ».

    2 / Il répare quelque chose de ses mains brûlantes de froid : ici on comprend que ce sont ses mains qui « brûlent de froid ».

    On dirait plutôt :
    Il répare l’objet, les mains gelées, et tremblant de froid.

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  • Grand maître Demandé 5 jours auparavant dans Général

    Je suppose que votre correcteur confond avec la tournure « les unes les autres » raison pour laquelle il vous souligne « des autres ».
    On peut employer cette tournure dans le sens de « mutuellement », dans des phrases comme :
    Elles se félicitèrent / s’encouragèrent les unes les autres. (l’une encourage l’autre et inversement)

    Ce n’est pas le cas dans l’exemple qui vous préoccupe, elles se jettent dans les bras des autres.
    Si elles ne sont que deux, on dira :  Elles se jetèrent dans les bras l’une de l’autre (et non pas « l’une l’autre« )
    Et donc si elles sont plus nombreuses : Elles se jetèrent dans les bras les unes des autres.  

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  • Grand maître Demandé 6 jours auparavant dans Général

    En effet « ce dont j’en » ne convient pas, car cela revient à dire « ce dont de ».

    J’en ai marre / assez de –> ce dont j’ai marre / assez

    J’en ai soupé de ces tâches –> ce dont j’ai soupé

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  • Grand maître Demandé le 16 mars 2024 dans Question de langue

    Voici ce qu’en disent les Académiciens :

    Associé au pronom indéfini rien, dans des tournures que l’on confond souvent, bien que leur sens s’oppose.
    Ne… rien moins que signifie « nullement, en aucune façon ». 
    Il n’est rien moins que sage
    = il n’est pas du tout sage.

    Au contraire,

    Ne… rien de moins que signifie « véritablement, bel et bien ».
    Il n’est rien de moins que le meilleur spécialiste de la question = il l’est sans aucun doute.

    Rien de moins ou Rien moins s’emploient aussi, sans négation, avec une valeur ironique, dans le sens de « pas moins », pour souligner l’extravagance d’une demande, d’une prétention :
    Il se prend pour un héros, rien de moins ou rien moins.

    Aussi Jean, dans votre phrase la négation s’impose. Et comme le sens en est « il est vraiment stupide« , vous écrirez :
    On le croit capable de mener à bien ce projet, pourtant il n’est rien de moins que stupide.

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  • Grand maître Demandé le 16 mars 2024 dans Accords

    Ici « bien » est un adverbe, donc invariable, à ne pas confondre avec le nom, qui au pluriel _ « les biens » _ signifie   « ce que l’on possède ».

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