mis ou mises
Bonjour, comment faut-il écrire « mis » dans cette phrase? Merci
Pour entrevoir un bonheur fait de petites choses, qui mis bout à bout ressemblait fort bien à l’idée que je m’en faisais.
Pour entrevoir un bonheur fait de petites choses, qui mises bout à bout ressemblait fort bien à l’idée que je m’en faisais.
L’accord du PP se fait avec « qui » lui-même reprenant « choses », et donc féminin pluriel.
Pour entrevoir un bonheur fait de petites choses, mises bout à bout, qui ressemblait fort bien à l’idée que je m’en faisais. voilà ma proposition, dites-moi si c’est votre idée.
Il y a un problème avec la phrase et avec la conjugaison de « ressembler » ( qui ressemble???), la virgule et donc la subordination, bref… je ne suis pas sûre de bien comprendre.
Merci pour vos réponses. Je vais revoir la tournure de la phrase.
Bonjour,
Pas de doutes à avoir sur l’accord de « mis » avec les « petites choses ». « Mises bout à bout ».
C’est la double fonction du « qui », dans votre phrase, qui m’a interpelée. Il semble se référer à la fois aux « petites choses qui, mises bout à bout… », et au « bonheur, qui ressemblait »
Ce n’est qu’une suggestion, mais j’aurais mis ce « qui » en début de phrase, pour reprendre uniquement le bonheur : « Pour entrevoir un bonheur qui, fait de petites choses mises bout à bout, ressemblait fort bien à l’idée que je m’en faisais. »
Bonjour,
Dans votre phrases l’antécédent de qui ne peut être que « de petites choses » et qui est le sujet de ressembler.
Pour entrevoir un bonheur fait de petites choses, qui mises bout à bout ressemblaient fort bien à l’idée que je m’en faisais.
Ah mais oui, « ressemblaient » au pluriel, bien vu ! Après il y a le problème du « en » qui se rapporte au bonheur (l’idée que je me faisais du bonheur, pas des petites choses assemblées). On comprend l’idée (et c’est le principal), mais la tournure me gêne, peut-être à tort ? Qu’en dites-vous, tournure correcte ou incorrecte ?
La formulation est incorrecte. Je n’avais pas fait attention.
Il y a plusieurs incorrections.
D’abord la principale manque : j’en ajoute une
Ensuite il manque un verbe pour une des propositions
La phrase : Je considérai ma vie pour entrevoir un bonheur fait de petites choses, qui mises bout à bout ressemblait fort bien à l’idée que je m’en faisais.
Voici les propositions de base qui forment cette phrase complexe :
Je considérai ma vie
Pour entrevoir un bonheur fait de petites choses
ce bonheur ressemblait fort bien à l’idée
je m’en faisais cette idée
Et puis :
ces petites choses, mises bout à bout —-+ verbe——-———————–
Ces petites choses, mises bout à bout changeaient tout.
Il s’agit maintenant de relier ce propositions dans une phrase complexe :
Je considérai ma vie pour entrevoir un bonheur fait de petites choses mises à bout et qui changeaient tout, qui ressemblait fort bien à l’idée que je m’en faisais.
On essaie de dire trop de choses en même temps et mieux vaut faire deux phrases :
Je considérai ma vie pour entrevoir un bonheur fait de petites choses qui ressemblait fort bien à l’idée que je m’en faisais. Ces petites choses, mises à bout changeaient tout,