5180
points
Questions
0
Réponses
770
-
bonjour,
J’ajoute à ce qu’écrit (justement) Joëlle que votre phrase est incorrecte :
Vous devez soit supprimer le pronom, soit répéter la conjonction que. Dans les deux cas le verbe noyer doit être conjugué de la même manière que le verbe lever
« Le combat eut lieu et il dura longtemps, jusqu’à ce que la mer se levât et les noyât tous. »
« Le combat eut lieu et il dura longtemps, jusqu’à ce que la mer se levât et qu’elle les noyât tous. »
- 150 vues
- 4 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
la règle veut que la préposition soit répétée.
- 186 vues
- 4 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
les deux accords sont acceptés : toutefois votre verbe conjugués au pluriel commande l’accord avec « convives ».
« seuls une cinquantaine de convives sont venus » ou « Seule une cinquantaine de convives est venue »
- 208 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
C’est vous qui avez raison.
Voilà fait référence à ce qui est advenu.
Voici à ce qui va advenir.
« Te voilà en panne, voici ce que tu dois faire : mettre ton gilet… »
- 122 vues
- 1 réponses
- 0 votes
-
Bonsoir,
Pour simplifier :
Avoir droit à qqc-> « J ‘ai droit à un verre de vin »
Avoir le droit de + infinitif.-> « J’ ai le droit de boire un verre de vin »
Auquel signifie « à lequel » et non « de lequel », donc votre première phrase est la bonne.Cette réponse a été acceptée par NoManClatura. le 8 février 2024 Vous avez gagné 15 points.
- 146 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
Non elle ne l’est pas : ici « avoir » est auxiliaire de « laisser » pour marquer une antériorité, c’est une sorte de passé composé dont l’auxiliaire est à l’infinitif. (infinitif passé)
« Marie Thérèse n’est pas la première à avoir laissé glisser une coquille dans cette adresse mail. »Si l’on se place au présent :
« Marie Thérèse n’est pas la première à laisser glisser une coquille dans cette adresse mail. »
- 137 vues
- 1 réponses
- 0 votes
-
Bonsoir,
Pour moi c’est parfait : le conditionnel a également pour fonction de marquer le désir, l’envie, etc.- 148 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
Il faut considérer que le subjonctif de la subordonnée ne questionne en rien la réalité de ce qui est énoncé dans ladite subordonnée mais la réalité de l’opinion.
On écris donc « Tu penses que la terre est plate » parce que la pensée est avérée.
À la forme interrogative, cette pensée n’est pas avérée, elle est questionnée et dans ce cas-là, l’usage du subjonctif ne sera jamais fautif ! La seule forme interrogative qui soit, en théorie, acceptée s’écrit bel et bien avec l’inversion verbe-sujet.
« Penses-tu que la terre soit plate ? »
Cela écrit, hors théorie, l’usage nait de l’oralité et il est fréquent d’interroger sans inversion verbe-sujet : dans ce cas-là,l’usage de l’indicatif ne sera jamais fautif, le subjonctif le sera automatiquement alors que fondamentalement la pensée est questionnée.
« Tu penses que la terre est plate ? »
Cette réponse a été acceptée par Gombro. le 17 janvier 2024 Vous avez gagné 15 points.
- 196 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
il est vrai qu’user de la virgule, pour séparer à la fois des phrases et des incises, n’est pas très heureux.
Hélas, aujourd’hui l’usage du point-virgule tend à disparaître.- 157 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
Le sens de votre phrase mérite, selon moi, le singulier.
Quoique transformée, chaque personne n’a qu’une destinée.
Le pluriel se verrait en revanche dans une phrase du type :
» Certains scientifiques emblématiques de l’époque ont vu leurs destinées transformer profondément les connaissances de leur siècle » -> plusieurs destinées transforment une seul siècle.- 161 vues
- 1 réponses
- 0 votes