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Bonjour,
l’instant de l’énonciation -> présent
Instant du « souhait » -> présent, un souhait est un futur inaccompli : un subjonctif imparfait ou passé n’ont pas de sens ; il n’y a pas de subjonctif futur, c’est le subjonctif présent qui est en usage.
la bonne formulation : « je m’interroge quant à la façon dont je souhaiterais qu’il soit compris »- 133 vues
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Bonjour,
sans même tenir compte du fait que voire introduit en général une emphase alors que les deux verbes de votre phrase n’ont que peu de rapport « d’intensité » entre eux (voire même aucun), l’usage de même à valeur de renforcement (que l’on peut donc supprimer sans rien changer au sens de la phrase) ne pose aucun problème comme pour d’autres propositions ou adverbe qu’il renforce sans que personne s’en offusque.
« Ainsi engourdie, gelée, pétrifiée, à peine avait-elle remarqué deux ou trois fois le bruit d’une trappe qui s’était ouverte quelque part au-dessus d’elle, sans même laisser passer un peu de lumière… » V. Hugo
« …peut-être même aucune que l’on ne puisse obtenir sans leur secours… » D. Diderot.
Peut-on renforcer une emphase, telle est la question et la réponse est oui. Décider que ce petit mot apporte quelque chose au discours reste finalement l’apanage de celui qui le rédige.
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Bonsoir,
Aucun problème à user du conditionnel dans cette tournure qui a une valeur concessive et non conditionnelle
« Si je n’aurais jamais l’idée de contester dans le fond les préconisations de […], je peux faire fi de ces dernières » par exemple.
La concession est plus fréquemment marquée par la locution « même si » surtout si elle est suivie d’un verbe à la forme affirmative.
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La Cigale, ayant chanté
Tout l’été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue :
…- 141 vues
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Bonjour,
comme l’écrit marcel1, les « : » sont à supprimer.
Pour le reste il semble bien que le projet à gérer comporte 3 volets : 1 logistique, 1 administratif et 1 budgétaire.
Je laisserai sans hésiter au singulier.
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Bonjour,
Un l’ explétif étant par définition une coquetterie sans aucune fonction grammaticale, j’aurais tendance à penser que vous pouvez en user selon vos envies.
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Bonsoir,
ce qui est commandé, c’est le raccordement, donc l’accord est masculin singulier.- 162 vues
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Bonjour,
Dans votre phrase le subjonctif est nettement préférable .
L’usage veut que lorsque la principale montre un choix ou une volonté, le subjonctif soit requis dans la subordonnée comme dans les exemples : « Je préfère qu’elle vienne » ou « Je refuse que tu subisses cela ».
Le sens de votre phrase montre qu’il y avait potentiellement plusieurs idées dont une seule s’est imposée, a été « choisie ».
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Bonjour,
La négation ne change rien
C’est bien bien elle qui ne sort pas. Le Dieu de la grammaire a été sympathique, il n’a, heureusement pour nous, pas créé de COD négatif. 🙂
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Bonjour,
« L’auteur emploie l’imparfait pour narrer des faits. Puis, il y a une phrase qui introduit un suspens … » écrivez-vous.
Comme le dit Bruno, il peut s’agir d’un élément de dialogue, et alors vous pouvez sans problème utiliser le futur
« En automne, il était impossible de traverser la rivière sans canot : « Il faudrait y remédier, mais y arriveras-tu ? » demanda Pierre à Paul.
Sinon la formulation, introduisant une forme de suspense, sans préciser de dialogue et après un imparfait commande le conditionnel passé :
« En automne, il était impossible de traverser la rivière sans canot ; il aurait fallu y remédier, mais y arriverait-il ? »
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