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  • Grand maître Demandé le 25 juillet 2024 dans Accords

    Demain,
    j’apprends le B.

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  • Grand maître Demandé le 23 juillet 2024 dans Question de langue

    Bonsoir

    On pourra s’amuser du fait que même avec deux « objets » de genre différent, l’ambiguïté n’est jamais levée au présent :

    C’est le rossignol de la voisine qui se décide à chanter

    Alors qu’aux temps composés, parfois, tout s’éclaire parfois (tout au moins à l’écrit) :

    C’est le rossignol de la voisine qui s’est décidé à chanter… ou c’est le rossignol de la voisine qui s’est décidée à chanter.

    Comme le dit Bruno, il vous faudra l’écrire autrement( si c’est bien vous l’auteur de cette phrase) pour clarifier votre propos.

    Parce qu’écrire n’est finalement pas une épreuve de logique que l’on imposerait au lecteur ; écrire c’est tout simplement éclairer le lecteur, lever tous ses doutes.

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  • Grand maître Demandé le 22 juillet 2024 dans Question de langue

    Bonsoir,
    J’ajoute que lorsqu’il s’agit d’une personne clairement définie, « à qui » est de meilleur aloi.

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  • Grand maître Demandé le 18 juillet 2024 dans Accords

    Bonjour
    Le subjonctif ne possède que trois temps, car il n’a finalement qu’une faible valeur temporelle.
    Lorsque la principale est au futur, la subordonnée se conjugue au présent.
    Je devrai marcher seule bien que je préfère être accompagnée.

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  • Grand maître Demandé le 20 juin 2024 dans Accords

    Bonsoir,

    votre impératif n’est pas de la forme *chacun de », ce qui modifie quelque peu le sens.

    « Partons chacun de son côté pour voir où cela nous amènera. » reste parfaitement correct même si, comme l’écrit Bruno, l’usage tend grandement à privilégier « Partons chacun de notre côté pour voir où cela nous amènera. »

    Et l’usage est toujours le vainqueur final.

     

     

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  • Grand maître Demandé le 20 juin 2024 dans Question de langue

    Bonsoir,

    ce « de » facultatif, mais correct, est quasiment « explétif » et n’apporte aucune précision supplémentaire à l’énoncé.

    Comme tout explétif, sa fonction ne pourrait être qu’être…un marqueur social.

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  • Grand maître Demandé le 17 juin 2024 dans Conjugaison

    Bonjour,

    « Ce serait » est une formulation que l’on appelle présentatif, il sert à présenter quelque chose ou quelqu’un.
    Dans votre exemple si vous écrivez  « …lui qui conduira », vous affirmez présenter quelqu’un qui va réellement conduire.
    Vous ne pouvez pas en revanche utiliser le conditionnel pour présenter quelque chose qui est « affirmé ».

    « Ce serait lui qui conduirait » est donc la bonne tournure

    ou mais ce n’est pas la même chose :

    « Ce sera lui qui qui conduira » ou « c’est lui qui conduira ».

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  • Grand maître Demandé le 17 juin 2024 dans Conjugaison

    Bonjour,

    « Aussi, lorsqu’on l’autorisa à s’exprimer, n’eut-il aucune hésitation. »

    La proposition pour laquelle vous doutez de mode est une proposition principale, le subordonnée étant enchâssée en incise.

    « Aussi n’eut-il aucune hésitation  lorsqu’on l’autorisa à s’exprimer. ». »

    Qui dit principale dit indicatif et donc pour votre exemple le passé simple

    Cette réponse a été acceptée par BBFolk. le 17 juin 2024 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 7 juin 2024 dans Accords

    Bonjour,

    Ce conditionnel ne change rien à l’affaire, ni la locution  « Tant que » : si le subjonctif est requis c’est parce que le verbe de la principale est « suggérer » .

    Suggérer qqc, ce n’est pas l’affirmer, ni même le penser c’est comme préférer.

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  • Grand maître Demandé le 6 juin 2024 dans Accords

    Bonsoir,
    Le véhicule est assuré. C’est toujours l’objet qui est assuré, sauf pour les
    assurances dites de personnes auquel cas, c’est la personne physique ou morale (société) qui l’est, pour les événement pouvant l’affecter (perte d’exploitation, maladie, etc.)
    La société est le « preneur d’assurance ».

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