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Bonjour,
« débarquant de nulle part » est une proposition participiale, votre phrase est correcte.
Si l’infinitif n’est pas possible, vous avez le choix :
J’aurais bien aimé voir leurs têtes, quand ils remarquaient qu’une gamine débarquait de nulle part
ou
quand ils remarquaient une gamine débarquant de nulle part
ou
quand ils remarquaient une gamine qui débarquait de nulle part.- 167 vues
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Bonjour,
S’arroger est un verbe qui n’existe que sous cette forme pronominale, donc un verbe dit essentiellement pronominal.
Le participe passé de ces verbes s’accorde avec son sujet soit : elle s’est arrogée tous les pouvoirs.
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Bonjour,
vous avez le choix.
Avec l’adjectif, vous qualifiez le sujet, pas l’action. « Débordante d’imagination et pleine de vie, elle est aussi très organisée » alors que « Débordant d’imagination et pleine de vie, elle est aussi très organisée » n’est pas possible.
Avec le participe présent vous signifiez que les deux actions sont concomitantes et liées .
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Bonjour,
Solécisme indiscutable.
Que est censé être un pronom COD dont l’antécédent est idée et la proposition subordonnée n’admet pas de COD.
En revanche, il est possible d’écrire : « Ils n’avaient aucune idée qu’ils pourraient défendre devant un jury. »
Que est dans ce cas-là COD de défendre.
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Bonjour,
vous avez raison. L’accord doit être fait.
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Bonjour,
La virgule me semble le moins bon choix ; les deux-points, le point et le point-virgule sont possibles.
C’est simplement une question de rythme.- 132 vues
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Bonjour,
Vous avez ici un « si » qui introduit une hypothèse portant sur une action commençant dans le présent : Si les faits devaient se reproduire ( Sous-entendu : à partir de maintenant.)
Le fait d’utiliser un imparfait modal dans la subordonnée conditionnelle introduite par « si » permet d’informer que l’action de la principale est possible mais incertaine (potentielle) si la condition est réalisée : c’est toujours le conditionnel présent qui est requis -> « Si les faits devaient se reproduire, en ma présence où lorsque je m’absente, je saisirais les services compétents. »
L’autre usage de l’imparfait,, mais ce n’est pas le cas de votre phrase, est celui de constater la non-réalisation de l’hypothèse et l’irréalité de la principale : « Si j’étais riche, j’aurais un voilier et une villa ». ( C’est avec des « si » que l’on met Paris en bouteille 😉 )
La subordonnée conditionnelle introduite par « si » peut avoir son verbe au présent, cela permet d’informer que l’action de la principale est certaine voire automatique si la condition est réalisée : c’est toujours l’indicatif qui est requis, futur ou présent selon la temporalité souhaitée.
« Si tu fais un six avec le dé, tu gagnes la partie. »
« Si tu ne ranges pas ta chambre aujourd’hui, tu n’iras pas au théâtre ce soir. »- 186 vues
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Bonjour,
Comme c’est le critique qui use du « vous », il est très difficile de déterminer si l’auteur a fait ce choix ou non.
Le mieux est encore que le critique s’inclue dans le groupe : « L’auteur montre combien les sentiments humains nous rendent vulnérables. »
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Bonjour,
pour ma part la réponse est clairement non.
Au moment de l’action, c’est à dire au moment ou la possibilité d’en faire un « étalon » est étudiée, il était stérile, il ne l’est pas « toujours ».
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Bonjour,
puis signifiant « et ensuite », il lie deux sujets singuliers en un sujet pluriel.
« Marie puis Isabelle partiront pour Londres ».
Le singulier s’impose si « puis » relie deux propositions : « Marie partira pour Londres, puis les autres. »
Donc : « Je le faisais pour que Michel puis les autres sachent «
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