Restons courtois.

Souvent, faire remarquer une faute ne part pas d’un mauvais sentiment, on pense rendre service. Bien sûr, on prend le risque de faire remarquer ses faiblesses à son interlocuteur. Mais après tout, n’est-ce pas le but de ce site que de les corriger.

« en congés » : est-on sûr que notre interlocuteur n’ait pas fait une faute d’inattention ? Alors ? On signale ? On ne signale pas ? Allez… on signale, ça peut rendre service. C’est en ce sens qu’il faut le voir.

Quant à moi, j’ai du mal à laisser passer des fautes, même autour de moi (je ne m’en exempte pas non plus), c’est un devoir pour moi.

Quant à une faute du type « ce problème ne message », elle n’est, bien sûr, pas à relever.

Cela dit, nous sommes sur un site d’orthographe et sommes amenés à apporter des réponses de qualité, nous devons y apporter le plus grand soin, nous n’écrivons pas des textos, cela vaut pour les questions, quand on peut, bien sûr.

Vous pouvez toujours essayer de cliquer sur le petit triangle en haut à droite de la question.

Je suis comme vous et je m’en suis déjà plaint plusieurs fois (par le triangle). Cette fois, c’est une véritable invasion.

Il y a, effectivement, un modérateur, mais il doit être en congé… 😤

Si l’on parle des oiseaux, on écrira : ils sont blanc et noir (bicolores).

Si l’on parle des ailes, on écrira : elles sont blanches et noires (les unes sont blanches, les autres sont noires).

On n’a pas la liberté de créer des mots aussi facilement que ça. Un néologisme peut être créé mais il sera incorrect tant qu’il n’aura pas été adopté par l’usage et… par les dictionnaires.

Si l’on emploie un mot qui n’existe pas, il convient tout au moins de le mettre entre guillemets.

1. « président » ne prend pas de majuscule : le président de la République.

Tout est possible.

Je ne vois pas pourquoi la parenthèse ne conviendrait pas, elle permet d’isoler l’information sans rompre le cours de la phrase. On rencontre souvent dans les journaux des formulations du type :
« Dans les faits, le président obtient toujours – sauf cohabitation – la démission d’un Premier-ministre avec lequel il ne s’entend plus ».

2. Le contexte devrait permettre de lever toute ambiguïté.

« Ces photos, je les ai en partie, mais je les reposte ».

Il n’y a pas de problème d’accord ici, « avoir» étant simplement au présent de l’indicatif (il n’est pas au participe passé).

La victoire lui a coûté un rôle ? Bizarre.
De quel rôle s’agit-il ?

Peut-être fallait-il dire :
« Il a remporté une victoire épique et prend conscience de ce qu’elle lui a coûté ».

L’imparfait du subjonctif est ici employé comme un conditionnel (ne serait-ce qu’un instant).

On n’écrira pas « ne « fut »-ce qu’un instant » mais « ne fût-ce qu’un instant ».

En revanche, on écrit : « fut-ce l’alcool qui l’a mis de bonne humeur ? » (passé simple).

De même, il faut écrire :
« Il était prêt à la suivre, fût-ce au bout du monde. »

Le mot « majestatif » n’existe pas. N’est-il pas plus simple de dire « le « vous »  de majesté » ?
De plus, il s’agit ici du « vous » de politesse.

Certes, le pluriel convient, mais j’ai un faible pour la construction au singulier :

« […] ceux qui se sont heurtés aux résistances intellectuelles du commun face aux perspectives d’extension de vie radicale. »

Toutefois, cela dépend des intentions de l’auteur, et nous ne les connaissons pas.

S’il parle de plusieurs extensions de vie, ce sera au pluriel ; s’il parle de l’extension de la vie en général, ce sera le singulier.