Dans les écritures judiciaires (jugements, actes d’avocat), on divorce toujours d’avec et on est divorcé de (je suis avocat).

Comme avocat, je tiens à préciser que dans le domaine  judiciaire, on est toujours divorcé d’avec x et on divorce de y, C’est une formule constante. La précision n’est pas inutile car ce n’est pas une généralité, la langue judiciaire (pas seulement classique) présentant de nombreuses singularités, qui seraient très longues à énumérer.

J’entends les objections de Veso, qui apparaissent justes et légitimes.
Néanmoins je demeure partisan de la majuscule pour Papa et Maman et je veux citer un exemple qui plaide en sa faveur :  sous la monarchie, les écrits évoquaient le Roi en parlant du roi de France, des rois pour désigner la généralité désignée par ce mot. Papa et Maman sont clairement des personnes uniques pour leurs enfants, au contraire des oncles, tantes et chéries, même si dans ces cas, la majuscule ne serait pas non plus une incongruité à mes yeux, selon le contexte.