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Grand maître
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  • Grand maître Demandé 47 min auparavant dans Question de langue

    Les pages d’un livre se numérotent en continu.
    Pour les notes, on est libre.
    Pour les études, les articles, on recommence toujours à « 1 » à chaque nouvel article, mais pas à chaque page. Ainsi, indépendamment de la mise en page, on pourra toujours parler de la note (15), que celle-ci se trouve à la page 47, ou à la page 83 dans une réédition si un autre article a été ajouté avant le nôtre. Le numéro de la note lui sert d’identifiant.
    Sur OpenOfficeWriter, dans Outils –> Paramètres des notes de bas de page –> Comptage, il y a trois choix : Par page, Par chapitre, Par document.
    L’expression « bas de page » indique une disposition sur la page, et ne signifie absolument pas que la numérotation des notes se fait page par page, elle peut se faire en continu. Ce sont des notions indépendantes qu’on gère séparément.
    Pour un recueil de nouvelles, on a le choix entre « Par page » et « Par chapitre ». Mettez les nouvelles dans des sections/chapitres, et écrivez les notes sans vous soucier de l’apparence. C’est simplement au moment de l’impression que vous déciderez en trois clics.
    Les simples notes concernant par exemple la définition d’un mot n’ont pas besoin de s’enchaîner (si on a une note vers la page 15 et une note en page 30, inutile des appeler « 1 » et « 2 », deux « 1 » ou deux astérisques suffiront).
    Si les notes accompagnent le déroulement de l’histoire, si par exemple la première apparition de chaque personnage est accompagnée d’une note, la numérotation en continu est préférable. Et, s’il y a beaucoup de notes, c’est tellement plus simple quand (9) renvoie à la neuvième note, plutôt que d’avoir trente notes qui portent le même nom. Et alors on ne recommence à « 1 » qu’à la nouvelle suivante, dans la section suivante.

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  • Grand maître Demandé 2 heures auparavant dans Conjugaison

    Commençons au futur, parce que le problème se voit moins (il n’y a pas de subjonctif futur, et l’indicatif passe donc).
    À la question de savoir s’il viendra demain, selon votre avis, vous pouvez répondre :
    — je pense qu’il viendra
    — je pense qu’il ne viendra pas
    Ça c’est de la réponse bien claire et bien franche.
    Vous pouvez aussi répondre avec un plus flou :
    — je ne pense pas qu’il viendra
    Mais votre interlocuteur pourra s’agacer :
    « Tu ne penses pas qu’il viendra, ou tu penses qu’il ne viendra pas ?
    — C’est pareil.
    — Non ce n’est pas pareil. Si tu dis « je ne dis pas qu’il est grand », ça ne veut pas dire que tu dis qu’il est petit. Ne pas dire une chose, ce n’est pas équivalent à dire son contraire. C’est pareil avec le verbe « penser », si ne penses pas une chose, ça ne veut pas dire que tu penses son contraire. Dire que tu ne penses pas qu’il viendra, c’est quand même moins net que de de dire clairement que tu penses qu’il ne viendra pas.
    — Ce que je veux dire, c’est que je ne crois pas à la possibilité de son absence. »
    C’est là la nuance liée à la construction. En faisant porter la négation sur « je pense » et non sur « il viendra », vous créez une hypothèse, une possibilité, portant sur l’éventualité de sa venue, éventualité à laquelle vous croyez ou à laquelle vous ne croyez pas.

    Cette nuance a une implication importante au présent, la deuxième construction, celle qui consiste à examiner une hypothèse et à la récuser par un « je ne pense pas », demandant alors le subjonctif :
    — je pense qu’il n’est pas mort
    — je ne pense pas qu’il soit mort
    La deuxième construction dit : qu’il soit mort ? je n’y crois pas. On ne peut pas dire : qu’il est mort ? je n’y crois pas. C’est parce que la négation porte sur le jugement quant à la réalité d’un fait potentiel, et non sur le fait lui-même, que le fait se trouve présenté comme virtuel et à ce titre demande le subjonctif.

    Si vous aviez voulu parler plus clairement, vous auriez pu dire : ils n’ont pas le droit d’être là, je sais qu’ils n’ont pas le droit d’être là, voire je pense qu’ils n’ont pas le droit d’être là… Vous avez choisi, probablement par figure de style, de construire autrement, dans une phrase qui consiste à envisager l’éventualité que les chiens aient le droit d’être là (– vous avez vraiment le droit d’être là ? — wouf, wouf), et de la réfuter par une négation portant sur le verbe de jugement. C’est vraiment un cas typique d’utilisation obligatoire du subjonctif.
    Et que les chiens aient en réalité le droit ou qu’ils n’aient pas le droit, et que vous soyez certaine de ce que vous dites ou que vous en doutiez, cela n’importe pas. C’est la construction qui oblige ou non à considérer qu’un fait est ou non abordé dans sa virtualité.

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  • Grand maître Demandé 3 jours auparavant dans Question de langue

    * Pour ce qui est de la nature de « pour être religieuse », est-ce une proposition ? Plutôt non.
    Bien qu’on y trouve un verbe et un attribut, le fait qu’il manque le sujet conduit plusieurs grammairiens à ne pas y voir une proposition infinitive.
    Dans « j’entends Pierre parler », « Pierre parler » est une proposition infinitive
    Dans « je suis venu pour qu’il me parle », « pour qu’il me parle » est une proposition.
    Mais dans « je suis venu pour lui parler », « pour lui parler » n’est pas une proposition infinitive. Il faut plutôt rapprocher cela d’un syntagme nominal (je suis venu pour la conversation), comme l’est souvent un simple infinitif.
    Mais je ne pense pas que cela ait la moindre importance. Qu’on appelle ou non cela une proposition, c’est la fonction qui compte : ici, c’est un complément adverbial ou complément circonstanciel. Pourriez-vous nous dire pourquoi vous souhaitez identifier la nature syntaxique d’un morceau de phrase ? Ça ne sert absolument à rien si vous ne devez pas devenir linguiste. Connaître la fonction des mots et des groupes de mots, c’est utile, mais connaître leur nature, c’est une catégorisation assez arbitraire. Un adjectif peut s’utiliser adverbialement, un infinitif tout comme une proposition peuvent avoir la valeur d’un nom, un nom ou une proposition peuvent être apposés dans un sens adjectival… Classer les mots en catégories n’a pas d’intérêt pratique dans l’usage de la langue. Cela ne participe pas à l’analyse syntaxique des phrases.

    * Subordonnée ? Non si ce n’est pas une proposition.

    * Circonstancielle ? Oui, mais comprenez bien qu’en disant par exemple « proposition subordonnée circonstancielle », vous mélangez la nature et la fonction. Si tout est clair pour vous, pourquoi pas, mais ce n’est pas une notion qui existe en soi. La nature peut être par exemple : proposition, ou groupe nominal… La fonction peut être par exemple : sujet, ou complément circonstanciel…

    * L’alternative que vous nous proposez (complément circonstanciel ou suite de le complétive) n’est pas bien pensée, car c’est les deux à la fois.
    Il faut raisonner avec des imbrications.
    Dans « je pense qu’il est venu pour qu’on le voie », il y a une imbrication :
    — je pense [ qu’il est venu [ pour qu’on le voie ] ]
    — [qu’il est venu pour qu’on le voie] complète [je pense]
    — [pour qu’on le voie] complète [il est venu]
    Vous voyez que [ pour qu’on le voie ] est une subordonnée complétive de but à l’intérieur d’une subordonnée complétive.
    Ne cherchez donc pas de fonctions à des groupes de mots à l’échelle de la phrase, mais de façon imbriquée à l’intérieur d’une proposition.
    Dans votre phrase, à la fois, « pour être religieuse » fait partie intégrante de la proposition subordonnée conjonctive complétive, et a une fonction de complément de but à l’intérieur de cette complétive :
    — Elle me répondit ingénument [ qu’elle était envoyée (par ses parents) (pour être religieuse) ].

    * Et il n’y a bien évidemment aucune rupture syntaxique dans « elle a été envoyée pour être religieuse », pas davantage que dans « elle est venue pour être religieuse », oubliez ces bêtises, c’est parfaitement construit.

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  • Grand maître Demandé 3 jours auparavant dans Accords

    Votre question est très bien posée.
    Accordez les adjectifs selon le nombre :
    — Si l’aspirateur est solo, alors les aspirateurs sont solos.
    En revanche n’accordez pas les adverbes s’il s’agit de caractériser une façon de vendre les aspirateurs, et non les aspirateurs eux-mêmes :
    — Un aspirateur vendu solo, des aspirateurs vendus solo.
    Si vous ne savez toujours pas comment accorder, c’est que vous avez une phrase merdique. De toute façon, même la phrase où on est certain que « solo » qualifie l’aspirateur, et même la phrase où on est certain que « solo » est un adverbe qui s’applique à la façon de vendre, sont deux phrases merdiques.
    Pourquoi ne tenteriez-vous pas tout simplement d’écrire en français ?
    Êtes-vous conscient que quand vous inventez un mot ou un usage, vous ne pouvez pas ensuite venir nous demander comment il faut l’écrire ? Quand vous vous permettez d’inventer un mot, vous devez bien comprendre que c’est à vous de savoir si vous lui donnez un rôle d’adverbe ou d’adjectif.
    Et si ce n’est pas vous qui avez inventé cette façon de parler de la vente d’aspirateurs, le plus simple est de refuser de l’utiliser en disant clairement à votre hiérarchie que ce n’est pas du français. La démarche au-dessus consiste à leur dire que vous saurez comment l’accorder quand le concepteur de cette formule vous aura dit s’il a décidé d’appliquer le mot « solo » à un aspirateur de façon adjectivale (cet aspirateur est solo) ou à une façon de vendre les aspirateurs (ils sont vendus solo).
    Ce n’est pas vous qui êtes en tort de ne pas savoir comment accorder, c’est au créateur du concept (concept par ailleurs merdique) de décider.

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  • Grand maître Demandé 3 jours auparavant dans Accords

    Si vous pensez qu’on peut remplacer il mange le midi et le soir par il mange les midi et soir, alors n’hésitez pas à écrire il vient les lundi et mardi.

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  • Grand maître Demandé 3 jours auparavant dans Accords

    Il n’y a pas deux façons possibles d’accorder, mais trois.

    a) En précisant que le sujet est un homme, vous suggérez que l’accord pourrait se faire avec le sujet.
    Et pourquoi pas en effet. L’accord de l’adjectif avec le sujet a du sens :
    Elle était toute à sa jalousie (Dumas)
    La possession de mon cœur est une chose qui vous est toute acquise (Molière)
    Il est tout vue, tout ouïe, tout intelligence (Bossuet, parlant de Dieu, dans un sermon pour le premier dimanche de l’avent, en 1665)
    Cette façon d’envisager le mot « tout » comme un adjectif s’appliquant au sujet, dans la continuité du latin, est évidemment ancienne, et tend à s’effacer, mais elle reste syntaxiquement valide, et elle reste utilisée de nos jours, en particulier au féminin. Et pour peu que l’expression « être tout ouïe » soit ancienne, l’accord à l’ancienne, avec le sujet, serait défendable.
    — il est tout ouïe
    — elle est toute ouïe
    — (cette façon de dire ne supporte pas le pluriel, le mot « tous » ayant pris un sens différent)

    b) On rencontre aussi l’accord du mot « tout » en tant qu’adjectif avec le nom qui suit.
    Je ne vois pas de légitimité sémantique évidente à cette construction, mais elle a existé, et existe encore parfois :
    La solitude est tout mouvement et toute harmonie (Châteaubriand)
    Cet homme était toute sagesse (Montherlant)
    Je suis toute ouïe et tout regard (exemple théorique)
    Pour peu que que l’expression ait été ainsi figée par un auteur ou par l’usage dans cette forme, il serait acceptable de la faire perdurer en l’état.
    — il est toute ouïe
    — elle est toute ouïe
    — ils sont toute ouïe
    Mais je ne crois pas trop à la possibilité de cette orthographe il y a quatre siècles, comme on nous l’affirme sans source dans une réponse plus haut.

    c) L’utilisation moderne du mot « tout » est surtout adverbiale, avec l’adverbe « tout » invariable (sauf devant un mot féminin commençant par une consonne, ce qui n’est pas le cas ici) : il est tout rouge et tout intimidé, ils sont tout rouges et tout intimidés, elle est toute rouge et tout intimidée.
    Même devant un nom, même dans une expression, c’est l’utilisation adverbiale qui prévaut :
    — elle est tout feu tout flamme(s)
    Votre expression, dans un contexte moderne, demande clairement l’utilisation adverbiale du mot « tout », et donc son invariabilité :
    — il est tout ouïe
    — elle est tout ouïe
    — ils sont tout ouïe
    Et il n’y a évidemment là aucune élision, contrairement à ce qui est écrit dans une réponse plus haut, mais une simple utilisation de l’adverbe « tout ».

    Donc,
    Votre phrase, avec son style imitant une société aristocratique ou bourgeoise d’un temps ancien, pourrait mériter d’utiliser l’expression dans sa forme ancienne, mais :
    — elle n’est pas concernée pas la variabilité selon le sujet (point a) puisque votre sujet est un homme ;
    — faire du mot « tout » un adjectif caractérisant « ouïe » (point b) est dénué de sens (en quoi l’ouïe serait toute ? que serait toute l’ouïe ?), malgré l’apparition déjà assez ancienne de ce genre d’accords ;
    Vous devez donc utiliser le mot « tout » tel qu’on l’utilise actuellement (point c), comme un adverbe, l’exception à l’invariabilité (mots féminins commençant par une consonne) ne s’appliquant pas ici. Et vous devez écrire :
    Il est tout ouïe

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  • Grand maître Demandé 3 jours auparavant dans Général

    En parlant d’adjectif, vous parlez probablement d’un nom apposé dont vous estimez qu’il a la valeur d’un adjectif qualificatif, au point qu’on pourrait le faire basculer dans la catégorie des adjectifs, comme par exemple dans « des romans fleuves », qui sont des romans longs, ou « des pratiques tendance », qui sont des pratiques à la mode.
    Selon le sens, ces noms apposés s’accordent parfois en nombre, plus rarement en genre, et sont parfois invariables. Certains dictionnaires, de plus en plus, disent carrément qu’il s’agit d’adjectifs. Le mot « enfant » utilisé sans article, par exemple est dans certains dictionnaires qualifié d’adjectif.
    Ce n’est ni gênant ni déterminant de ne pas trouver le mot « shaolin » répertorié comme adjectif dans un dictionnaire. Si vous l’aviez trouvé, vous seriez certain qu’il n’y faut pas de majuscule, mais qu’en serait-il de l’accord (des pratiques shaolin, shaolins, shaolines) ?
    Considérons donc ci-dessous qu’on a un nom apposé.
    L’apposition d’un nom propre est rare, et un nom propre apposé est un nom qui est déjà utilisé métonymiquement et a déjà perdu sa majuscule : du thé darjeeling (car on peut déjà dire : du darjeeling comme on dit : du camembert). Et donc en fait, on n’appose pas de noms propres avec une valeur qualificative ; un nom apposé est déjà un nom commun.
    Pour ce qui est du moine Shaolin :
    — Soit on ne construit pas ainsi (en considérant que si ce thé est du darjeeling, ce moine en revanche n’est pas un shaolin).
    — Soit on considère que le moine de Shaolin est un shaolin, et dans ce cas, que ce soit comme noyau du syntagme ou comme nom apposé, on l’utilise sans majuscule : un moine de Shaolin, un shaolin, un moine shaolin.
    L’apposition de ce nom propre avec à la fois une majuscule et une valeur adjectivale est bien comme vous le dites une erreur collective.

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  • Grand maître Demandé 3 jours auparavant dans Accords

    « En solde » doit toujours s’écrire au singulier. Le pluriel serait fautif.

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  • Grand maître Demandé 3 jours auparavant dans Accords

    * Dans les phrases introduites par une formule de mise en exergue d’un superlatif relatif (c’est le seul qui, c’est la meilleure que…), utilisez le subjonctif dans la proposition subordonnée relative : c’est le seul qui soit venu ; c’est la meilleure que je connaisse.

    * N’utilisez pas de « ne » explétif après un superlatif relatif (la plus belle que je connaisse). Vous devez confondre avec le comparatif, qui autorise ce « ne » explétif (elle est plus belle que je ne croyais). Il ne faut pas non plus de « ne » exprimant une négation, car dans ce type de phrase, le mot « jamais » ne doit pas être pris dans une acception négative, il signifie « un jour », « ne serait-ce qu’une fois » : si jamais il vient… est-il jamais venu ? le plus grand que j’aie jamais vu…

    * Dans « la plus belle que », comme dans « celle que », « que » est un pronom relatif qui prend le genre et le nombre, ici féminin singulier, de son antécédent. Ce pronom est ici COD d’un verbe conjugué à un temps composé avec l’auxiliaire avoir (écrit quoi ? « que » mis pour « la plus belle lettre »), et placé avant le participe passé, qui s’accorde donc.

    –> C’est la plus belle lettre que j’aie jamais écrite.

    Cette réponse a été acceptée par Gae. 2 jours auparavant Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé 7 jours auparavant dans Conjugaison

    Il est référencé (mais également critiqué) que le verbe « s’assurer » peut avoir plusieurs constructions, avec deux sens différents :
    — Assurez-vous qu’il est venu = vérifiez qu’il est bien venu
    — Assurez-vous qu’il vienne = faites en sorte qu’il vienne
    L’idée générale est que pour l’objectif, il faut le subjonctif :
    — Faites en sorte qu’elles soient… Il faut qu’elles soient… Pour qu’elles soient… Cette coupe permet qu’elles soient…
    Si on utilise le verbe « assurer » dans ce sens (mais est-ce légitime ?), il faut le subjonctif :
    — La coupe asymétrique du truc assure que les jambes de la cavalière soient toujours recouvertes.
    Avec l’indicatif, le sens de la subordonnée me paraît plus flou. Je trouve qu’on y perd le rapport de cause à effet entre le fait que la coupe soit asymétrique et le fait que les jambes de la cavalière soient toujours recouvertes.
    Il faudrait peut-être chercher un autre verbe, portant le sens de « faire en sorte que », et autorisant clairement le subjonctif, comme « permettre »…

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