Virgule : « Il s’est, il s’était, trompé. »
Bonjour.
J’hésite entre deux usages de la virgule :
1. « Il s’est, il s’était, trompé. »
2. « Il s’est, il s’était trompé. »
Le 1 a mes préférences, car il insère l’imparfait, et le met en valeur.
Le 2 est sans doute moins compliqué.
J’attends vos lumières.
Merci
Bonsoir e_magnin.
Je retiens la phrase n° 2.
Je viens d’ailleurs de reproduire ici cette définition de leur, adj. possessif, donnée par l’Académie française :
« Qui appartient, qui est propre aux personnes, aux choses dont on parle. »
Merci, Prince.
Mais si j’avais voulu écrire l’analogue de : « Il s’est (il s’était) trompé. » ?
Certes, je vais dans le capillotracté.
Peux-tu préciser le contexte, STP ?
Il s’agit du début d’un livre (que j’ai écrit) ;
« Bruce Willis, à la sortie du « 5e élément » en 1997, avait prophétisé la mort de l’écrit au profit de l’image.
Il s’est, il s’était, trompé. »
