Il est vrai que votre phrase n’est pas claire, et on a tendance à se demander à quoi servirait d’arrêter un homme qui n’est plus en vie.
Aussi, j’en déduis qu’il y a deux personnes, celle qui se fera arrêter, et celle qui espère être encore en vie pour s’en réjouir.
Ma suggestion :
Si un jour on devait l‘arrêter (son ennemi juré) il (le narrateur) espérait que cela arriverait de son vivant.

Le subjonctif n’a pas lieu d’être ici. En effet, on ne dirait pas « Il espérait qu’elle prenne le bus »

« de son vivant » concerne sa mère, et non le narrateur

French a écrit : […]même si dans ce cas il faut utiliser le conditionnel.

Non ce n’est pas le mode conditionnel qu’a employé Lulamay mais bien le mode indicatif. Le futur du passé.
Le mode indicatif en réalité ne comporte pas 8 temps mais 10. Il faut ajouter aux tableaux généralement présentés le futur du passé et le futur antérieur du passé qui ont la forme du conditionnel mais pas sa valeur.

Il espérait que cette disgrâce interviendrait de son vivant.
Si on transpose la phrase au présent :
Il espère que cette disgrâce interviendra de son vivant.
On voit bien apparaître la valeur « futur ».

Bonjour,

le verbe espérer s’accorde avec l’indicatif ; en revanche, on l’accorde avec le subjonctif lorsqu’il est conjugué à la forme négative.
Donc, à mon avis, vous avez bien accordé les temps verbaux dans votre phrase, même si dans ce cas il faut utiliser le conditionnel.

de son vivant fait référence à sa mère dans cette phrase

Merci !