Ni ni
J’ai écrit une petite nouvelle contenant la phrase mi-poétique mi-badine : « Ni ne rougis ni ne pâlis à la vue de cet aréopage. »
La correctrice du journal me la rectifie ainsi : « Je ne rougis ni ne pâlis à la vue de cet aréopage. »
J’aimerais conserver le ni pour sa consonance en « i ». On pourrait considérer cela comme une licence poétique.
Qu’en pensez-vous ?
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