ne fût-ce/ne serait-ce
Bonjour, dans l’une des questions du programme « excellence » du Projet Voltaire, une phrase est ainsi corrigée : « Je dois lui parler, ne fût‑ce qu’une minute. » Comment expliquer ici le subjonctif, et pourquoi le préférer au conditionnel (« Je dois lui parler, ne serait-ce qu’une minute. ») ?
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