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Grand maître
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  • Grand maître Demandé le 2 mai 2018 dans Question de langue

    D’ailleurs, « déchirement du cœur pour deux frères de sang » ou « déchirement des cœurs pour deux frères de sang »
    S’il y a bien 2 cœurs, car 2 frères, je pense qu’on parle d’un déchirement du cœur pour deux frères de sang (sous-entendu pour chacun des deux).

    1- Déchirement d’un pays en deux, déchirement du cœur pour deux frères de sang.
    2- Scindement d’un pays en deux, déchirement du cœur pour deux frères de sang.
    3- Séparation d’un pays en deux, déchirement du cœur pour deux frères de sang.

    Je peux aussi reformuler avec des verbes exprimant une action.
    4- La guerre éclate, un pays se scinde en deux et les cœurs de deux frères se déchirent.

    Finalement, j’aime bien la dernière formulation (4-) ou la (2-)

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  • Grand maître Demandé le 2 mai 2018 dans Question de langue

    Bonjour, Kerglof.

    Quand je vous lis, j’ai toujours envie de prendre un Doliprane après avoir terminé, mais j’apprends toujours des choses très subtiles 😉

    Je ne vais répondre au points qui m’intéressent le plus, par faute de temps et de ne pas avoir tout capter, car ce n’est pas toujours simple à suivre.

    1) Le sens du mot « déchirement » et la possibilité de le mutualiser
    * Le premier déchirement.
    Merci pour la remarque, effectivement je parle de la guerre de Corée qui va scinder un pays en deux. Le pays ne pouvant être déjà scindé en deux avant le déchirement.
    *  Les autres points mélangés
    L’idée était pour moi de parler de déchirement d’un pays en deux, après l’annonce de la guerre. Quand au déchirement des deux frères de sang, tout d’abord alliés dans le camp de la Corée du Sud, ils vont devoir combattre par la suite chacun dans un camp, à cause d’un évènement particulier.
    2) La question du complément final
    Je vais réfléchir à une formulation du style suivant :
    Déchirement d’un pays en deux, déchirement des cœurs pour deux frères de sang.
    Je peux aussi changer le nom, afin d’éviter une répétition, mais en conservant l’idée :
    Scindement d’un pays en deux, déchirement des cœurs pour deux frères de sang.
    Séparation d’un pays en deux, déchirement des cœurs pour deux frères de sang.

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  • Grand maître Demandé le 2 mai 2018 dans Question de langue

    Bonjour, Clic, e_magnin.

    Pour « celui », je pense que cela fonctionne, bien que ce sont les 2 frères qui vont aussi se déchirer le cœur et non le fait que le pays a été divisé.
    Déchirement. D’un pays scindé en deux, du cœur pour deux frères de sang.
    Je ne pensais même pas cela possible, on me fait déjà la remarque quand une partie de ma phrase se rapporte à un nom trop éloigné dans la même, là c’est carrément une autre phrase.

    Pour l’utilisation des « : » et du « ; », je ne suis pas vraiment convaincu d’une utilisation très adéquate. Je vous laisse me dire dans quel cas, vous voyez leurs utilisations ?
    http://www.aproposdecriture.com/le-point-virgule
    http://www.la-ponctuation.com/deux-points.html

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  • Grand maître Demandé le 1 mai 2018 dans Question de langue

    Je pense qu’il faut bien répéter le nom, sauf avis contraire d’autres membres. Quant à votre dernière proposition, elle me plaît beaucoup, car elle allège la phrase. A vrai dire, j’ai toujours cru que le « et » était de rigueur quand on associe deux propositions et que la virgule était impossible, à priori non. Je pense que je vais retenir votre dernière formulation.

    Merci

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  • Grand maître Demandé le 1 mai 2018 dans Question de langue

    Bonjour, Christian.

    Actuellement, j’ai la formulation 1) dans ma critique, je dois la refaire, car je veux apporter une virgule de plus à ma seconde phrase (non présente, ici). Je dois avouer que dans la 2), on pourrait penser seulement à « du cœur pour deux frères de sang » sans parler de déchirement. Je préfère aussi votre proposition avec la virgule, mais je me demande si ce n’est pas pareil. On pourrait avoir tendance à penser que le déchirement ne concerne que le pays et qu’on parle de deux frères de sang ayant du cœur. Qu’en pensez-vous ?

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  • Grand maître Demandé le 23 avril 2018 dans Question de langue

    Bonsoir, Jean.

    Les choses me paraissent beaucoup plus claires avec cette réponse. Je retiens qu’il est préférable que l’apposition se fasse proche du nom et non à distance, afin de lever toute ambiguïté.

    Christian, Jean, ayant toujours la contrainte de mes 140 caractères, je vais donc opter pour la troisième phrase, vu que j’atteins justement cette limite.
    J’en profite pour vous conseiller chaleureusement de voir le film Les sentiers de la gloire (1957) de Stanley Kubrick qui dure 84 minutes seulement. Ce chef-d’œuvre atteint des niveaux d’émotions et des moments de grâce que l’on voit rarement. C’est un scénario adapté du roman du même nom, lui-même adapté de faits réels.

    Je tiens à vous remercier pour vos réponses et j’en profite pour vous partager ma micro-critique entière :
    Assurant le triomphe de l’injustice, la bêtise humaine est un ennemi intouchable. Les lâches ne sont pas dans les tranchées, mais médaillés.

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  • Grand maître Demandé le 23 avril 2018 dans Question de langue

    Christian, c’est ce que je m’étais dis, mais je voulais tout de même m’en assurer pour le terme « plat », tant qu’à refaire ma critique 😉

    Jean, Christian, je pense soudainement à l’apposition suivante :
    – La bêtise humaine, cet ennemi intouchable, assure le triomphe de l’injustice.
    J’ai l’impression que cette formulation sonne moins bien. Mais dans cette apposition, j’imagine peut-être à tort que les deux termes « la bêtise humaine » et « cet ennemi intouchable » assurent tout autant le triomphe de l’injustice ? En effet, l’apposition en milieu de phrase constitue également un sujet.

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  • Grand maître Demandé le 23 avril 2018 dans Question de langue

    Christian, au temps pour moi et je comprend mieux à la relecture.

    Finalement, j’ai envie de retenir : La bêtise humaine est un ennemi intouchable assurant le triomphe de l’injustice.

    En effet, l’idée que je veux surtout faire passer est que combattre un ennemi intouchable, c’est l’assurance de perdre le combat de la justice face à la bêtise humaine et donc d’assurer le triomphe de l’injustice. Bref, je préfère rapporter le triomphe de l’injustice pas seulement à la bêtise humaine, mais au fait qu’en tant qu’ennemi intouchable, l’injustice triomphe vu qu’il s’avère impossible de parer cette bêtise humaine lors d’un procès. Quand vous dite plat et moins chargé de sens, cela me semble donc moins bien vous plaire et c’est votre droit 😉 , mais je trouve pourtant que le sens est plus large en impliquant le fait que l’ennemi intouchable assure aussi le triomphe de l’injustice.

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  • Grand maître Demandé le 23 avril 2018 dans Question de langue

    Bonjour, Christian, Jean.

    Chrisitian, pour moi, les 3 phrases sont identiques, c’est juste l’endroit où je place « assurant le triomphe de l’injustice. » qui change. Le sens que je voulais donner est : le fait que la bêtise humaine qui est également un ennemi intouchable, que l’on ne peut donc combattre, assure le triomphe de l’injustice. J’ai l’impression que quand vous dites qu’en enlevant la virgule, cela rapporterait « assurant » à « ennemi intouchable » est en contradiction avec l’explication de Jean qui met sur un pied d’égalité « la bêtise humaine » et « un ennemi intouchable » ?

    Jean, le sens que je voulais donner est bien celui où je dois me passer de virgule. Cela met sur un pied d’égalité « la bêtise humaine » et « un ennemi intouchable ».  Sinon, en complément et pour en être certain, Est-ce que les 3 phrases suivantes ont le même sens ?
    La bêtise humaine est un ennemi intouchable, assurant le triomphe de l’injustice.
    La bêtise humaine, assurant le triomphe de l’injustice, est un ennemi intouchable.
    – Assurant le triomphe de l’injustice, la bêtise humaine est un ennemi intouchable.

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  • Grand maître Demandé le 17 avril 2018 dans Accords

    Finalement, je vais abandonner mon idée d’opposer 2 adjectifs, en les rapportant à un nombre indéfinis de personnes concernées par l’un ou l’autre.
    Je vais retenir la formulation suivante :
    – On peut user de son talent, mais le destin réserve quelquefois un tracé tourmenté.
    Le contexte du film rendra le message d’autant plus clair sur le choix des mots « talent », « destin » et « tracé ».

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