Bonjour Czardas, bonjour Joëlle,

Je trouve votre discussion intéressante et suis heureux de l’avoir initiée.

Vous semblez beaucoup plus qualifiés que moi ; pourtant tout ne semble pas couler de source ! Et si même Proust se plantouille…

Je suis pour ma part, psychologiquement et professionnellement (chef de projet industriel) quelqu’un d’assez ‘simple’, très pragmatique, concret. Ce débat entre gens de bonne volonté me fait penser que les formes les plus soutenues du subjonctif créent des complications qui desservent l’usage commun (outre quelques lourdeurs, très subjectives, à l’oreille). La subtilité n’est certes pas nuisible, du moins jusqu’à un certain point après lequel j’ai l’impression – un peu amère – d’être étranger à ma propre langue.

Merci Joëlle.

Merci Joelle !

Auriez-vous un texte de référence, des exercices à me conseiller. C’est un peu tard mais les formes du subjonctif me posent problème depuis des années, j’aimerais avoir les idées claires, enfin.

A part ça, c’est un peu hors-sujet mais je trouve les différences entre langue parlée / langue écrite ou littéraire de plus en plus étonnantes. Finira-t-on avec deux langues?

Bonjour,

« Je n’aime pas faire du tennis. »

=> « de la » (féminin), « du » (masculin, tennis)
– « je n’aime pas faire de la natation. »
– « je n’aime pas faire du surf. »

Bonjour,

La formule est inadéquate. Préférez « la majorité de la classe ».